Aller au contenu

Calais ?? jusqu'où ??


papikawa

Messages recommandés

Calais, beaucoup de choses cachées, une information tronquée, des gens excédés pour qui la vie est devenue impossible , et si l'affaire dérapait, une guerre civile dans le nord?? Je vous livre tel quel le compte rendu d'un CRS engagé dans le combat journalier, à vous de vous en faire une idée.

 

Ce reportage "journal d'un CRS" que vous ne verrez nulle part ailleurs car interdit !

PAROLES DE FLIC

Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre sol. Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de « La Jungle » à Calais. Comme nous le prévoyons, attendez-vous à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation. Contre vous.

CRS :

« Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas/jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’il aient tous, je dis bien TOUS, des Smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant) les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé… »

 

La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires… De jour comme de nuit. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous sommes là et las.

En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les Pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents… Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de priorité ni le code de la route… Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste. En d’autres endroits, nous jouons les « cônes de Lübeck », ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune. À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque !

Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé, des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense. Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas !

Les réparations elles aussi coûtent une fortune.

Levés à 04:30 du matin, nous arrivons à l’heure du repas.

13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre point. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner.

15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service. La nuit prochaine, nous travaillons. Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour terminer (en théorie) à 07:00 du matin…

Arrive l’heure de reprendre le service. Les mines sont fatiguées. Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit de plus en plus sur les visages, comme une écriture. Au rassemblement, la température de la journée est donnée : quelques grenades lancées, beaucoup d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée. En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des véhicules-recueil est active : « sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact. Ils lancent des barres de fer et des pierres. Un de chez nous est touché légèrement. Avons utilisé une dizaine de grenades MP7 [1]. » […] « 2 poids-lourds accidentés à cause de blocs de béton sur les voies rapides. Les avons dégagés. Demande renfort de 2 véhicules ». Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté. Il lance des balles de caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très réglementée et contraignante. Il nous est rappelé également que dans le cadre de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo !

Anarchistes des groupes NO BORDER

Les « NO BORDER » [2] incitent les migrants à nous tendre des embuscades (bien qu’ils n’aient pas besoin de conseil pour le faire) pour prendre des photos et des vidéos pour dénoncer des “failles” dans notre manière d’intervenir ou des images pour nous mettre en cause. Mais surtout, ils espèrent faire un maximum de blessés dans nos rangs.

Le chargement de l’armement collectif se fait au cul du camion-armurerie. Des blagounettes sont lancées ici et là pour faire oublier que nous serions mieux dans un lit bien chaud, dans nos foyers et non sous ce crachin permanent qui nous recouvre petit à petit… Femmes et enfants ou parents, pour beaucoup, sont la pensée du moment, mais seront relégués au second plan dans une minute ou deux. Les rôles de chacun dans le VR [3] sont distribués. « Qui est habilité LBD [4] ? » – « Moi » répond Julien. Comme les autres, je prends un LBD. Moi, je dis : « Perso, je prends en compte le lanceur Cougar [5] ». Il lance des grenades au coup par coup mais avec de l’habileté, il se manie très bien et se recharge vite. Son bruit détonnant ressemble à celui d’un mortier. – « OK » lance le chef de bord. « Qui veut des grenades à main ? » Elles sont réparties dans les gilets tactiques (qui n’ont de tactique que le nom) censés nous protéger de coups éventuels, absorber des chocs, mais aussi permettre le transport de matériel supplémentaire. La répartition des grenades et conteneurs lacrymo faite, je m’emploie à mettre le gilet de grenades pour le lanceur Cougar. Il est lourd. Il contient des grenades avec un dispositif de retardement [6] pour les lancer à 50 mètres, d’autres à 100 mètres. La fermeture est cassée. Sur les ondes, on apprend que les effectifs que nous allons relever sont pris à partie en de nombreux endroits. Il va falloir faire vite.Les jambières sont mises, les casques vont se visser sur nos têtes rapidement… Le LBD et le Cougar sont alimentés d’une cartouche chacun, prêts à être utilisés au besoin. À la radio, la station directrice ne sait plus où donner de la tête. Il faut des renforts partout, sur presque tous les points. Ordre nous est donné, bien que nous soyons en dynamique cette nuit, de renforcer ponctuellement un point situé juste derrière le camp des migrants : « la Jungle ».

00:15 ― À notre arrivée, l’atmosphère est tendue. Le bleu des gyrophares inonde la nuit et se reflète sur nos visages à moitié protégés. Les consignes sont prises. Nous voilà seuls. Deux VR montés de cinq hommes chacun, casque sur la tête. À nos côtés, une vingtaine de personnes viennent à notre rencontre. Certains sont en treillis camouflé, bonnet ou cagoule noire. Ce sont les hommes et les femmes du collectif « Les Calaisiens en Colère » [7]. Ils tentent de protéger leurs biens, mais donnent aussi de bonnes informations sur les événements passés ou à venir, sans avoir peur, le cas échéant, de combattre aux côtés des Forces de l’Ordre La semaine avant notre arrivée, « Les Calaisiens en Colère » ont apporté une aide considérable aux collègues présents. Assaillis de tous côtés, les policiers ont utilisé toutes leurs grenades et se sont retrouvés face à des migrants armés de couteaux et barres de fer. N’écoutant que leur courage, « Les Calaisiens en Colère » sont venus se battre au coude à coude aux côtés des Forces de l’Ordre qui, bien qu’ayant informé la hiérarchie qu’elles n’avaient plus de moyens intermédiaires pour contenir les assauts répétés, ont reçu l’ordre de rester sur place.

Ça bouge sur un petit chemin plongé dans le noir complet, longeant la voie rapide. Nous intervenons pour dégager des amas de barres de fer, de blocs de béton et je ne sais encore quels autres projectiles de fortune entassés et abandonnés par un groupe de migrants qui voulaient les lancer sur les voies de circulation. 01:20 ― La situation est calme pour nous. Les pompiers interviennent dans le camp, escortés par une de nos patrouilles (5 hommes) pour secourir un individu blessé par arme blanche.

02:00 ― Au loin, des silhouettes traversent la petite route sur laquelle nous sommes implantés en direction d’habitations civiles. Ici et là, sur les ondes radio, on entend signaler des vagues de migrants de 40 ou 50 individus.

02:30 ― Les riverains et amis du Collectif quittent les lieux. Nous sommes plongés dans le calme de la nuit, avec un éclairage faible.

02:45 ― Sur les ondes et partout alentours, on entend hurler que de nombreux camions sont arrêtés, assaillis par des vagues de 50 migrants, dont certains accidentés sur la voie rapide. À pied en courant, nous venons prêter main forte à l’effectif originaire de l’information ; dessous, une multitude de véhicules immobilisés, presque au contact les uns des autres qui, miraculeusement, ne se sont pas percutés les uns les autres.

Pareil à des gremlins, de « petits démons noirs » surgissent de toutes parts des fourrés Ils prennent d’assaut les cabines de poids lourds, armés de barres de fer.

Déchaînement de violence

La Sécurité retirée, du haut du pont, quatre salves de 3 Cougars (soit 12 grenades) arrivent à mettre en fuite les assaillants qui se trouvent à 80 mètres. Nous arrivons, malgré l’excitation collective, à ne toucher aucun camion avec nos projectiles ! Une fois les assaillants repoussés par des effectifs venus en renfort sur la voie rapide, le déblai des gravas peut commencer.

À notre tour, nous arrivons à bord du véhicule venu nous récupérer sur ce qui ressemble à une « zone de guerre », zigzaguant entre les véhicules arrêtés et des débris de toutes sortes. Sur les ondes, ordre nous est donné de remonter sur le même axe pour prêter main forte aux collègues qui se trouvent en niveau bas de grenades, à quelque 300 mètres plus haut. À leur hauteur, nous sautons de notre véhicule encore en marche car nous constatons qu’un effectif se trouve contre la rambarde de sécurité. Des projectiles arrivent à les atteindre.

Les objets sont jetés depuis une zone boisée sans que l’on puisse distinguer les individus… Seuls des cris venant des fourrés dans des dialectes inconnus. Parfois un NIQUE LA POLICE ou FUCK THE POLICE se mêle aux ALLAH AKHBAR ! et à leur slogan favori : VIVE DAESH !

M. Bernard Cazeneuve s’adressant à des réfugiés… « syriens » peut-être (?) David, l’un de ceux que nous sommes venus appuyer par le tir, braque son faisceau lumineux et me demande d’envoyer une MP7 (lacrymo) dans la direction d’où il pense que partent les lancers. Avec 3 tirs de Cougar, j’arrive enfin à saturer l’endroit et à mettre en fuite le petit groupe de perturbateurs. Le vent nous est favorable. On en profite, mais les effets psychologiques ne sont pas négligeables non plus. Juste au dessus, 300 mètres plus loin, un groupe de 20 à 30 individus virulents, armés de barres de fer, prennent le temps de jeter des panneaux de signalisation, des poteaux métalliques arrachés plus loin et des poubelles par dizaines au milieu de la voie rapide. Nous progressons avec un effectif de la section 3 : 2 Cougars et 2 agents munis de conteneurs lacrymo. La progression se fait sous la protection de tirs Cougar. Les migrants ripostent avec des objets métalliques qui s’écrasent à nos pieds en formant des étincelles et rajoutant des décibels au vacarme environnant. Certains sont presque au contact. Visage barbu pour les uns, imberbe pour les autres, âge moyen de 20 à 30 ans. Robustes. Regards pleins de haine. Des yeux à la flamme meurtrière nous font face.

Il faut prendre cette partie haute. Mais l’endroit d’où viennent les pierres nous est caché par la végétation qui les protège. Avec le Cougar, le tir devient tendu pour tenter de pénétrer l’épaisse végétation. Effet immédiat : ça les fait reculer et descendre jusqu’à l’entrée du camp. Pendant que je m’occupe de cette partie, les autres, derrière moi, protègent mes arrières et mon latéral.

La place devenue nôtre. Je me mets en protection avec le Cougar, le temps que les collègues sortent les nombreux débris accumulés. En bas, une centaine d’individus (pour beaucoup masqués) vocifèrent, tendent les poings en notre direction et des barres de fer de plus de 1,50 m. D’autres se sont regroupés sous le pont, juste en-dessous de nous. Une bonne cinquantaine, qui attendent en guet-apens et ramassent de nombreux projectiles. Un petit groupe de 5 individus rejoint les autres en courant, leur tendent les mains et se séparent à droite et à gauche du camp.

L’évacuation des gravats n’étant pas terminée, je reste sur le point fort, ce qui semble leur poser un problème quand tout à coup, venant de droite à l’entrée du camp, des projectiles sont lancés vers nous pendant que d’autres assaillants tentent de se rapprocher. Une vraie stratégie de guérilla. J’effectue un premier tir en cloche. Mais la MP7 avec un DPR 100 mètres (dispositif de retardement) – il ne me reste plus que ça dans le gilet – tombe juste derrière eux. Le vent ne m’étant pas favorable, je décide de tirer en direction des pieds à 10 mètres devant ceux qui arrivent au contact. Le tir parfaitement exécuté, repousse les assaillants. Rechargé rapidement, j’utilise une seconde fois le Cougar contre le groupe dont les projectiles arrivent jusqu’à nous. Je réussis à l’aide du rebond sur un baraquement visé, à atteindre ma cible avant que les plots de lacrymo ne soient expulsés hors du corps de la grenade. Un des individus tente de la saisir. Trop tard. Boum !

Au passage, protégeant un groupe de chez nous venu en soutien sous le pont pour couper l’assaut des migrants en leur direction, je tire une grenade qui arrive droit sur un homme en train de jeter des pierres sur l’effectif d’en bas, le percutant vers le visage. Le carton rouge étant brandi, ce dernier regagne les vestiaires sans demander son reste.

La situation est maîtrisée sur le point maintenant tenu par d’autres effectifs de chez nous.

Nous sommes requis par notre station directrice qui nous envoie en renfort d’un équipage de l’autre côté du camp, endroit où nous avons commencé à grenader en début de soirée. Sur les lieux, nous effectuons encore des tirs sporadiques de MP7 sur des migrants qui nous arrivent dessus en courant et en hurlant.

06:50 ― La nuit se termine. Nous sommes relevés. Esprit calme. Une nuit comme on aimerait passer plus souvent… (!)

La vacation suivante se révélera être beaucoup moins valorisante. Le véhicule est posé sur un rond-point donnant vue sur 2 entrées du port, avec 2 effectifs au sol de 19:30 à 02:00 du matin. Un vent d’au moins 120 km/h et une pluie battante n’épargnent même pas le dessous du pont juste à côté. En tout et pour tout, un seul migrant est venu tenter sa chance sur notre point pendant que de l’autre côté de la ville, des grenades tombent à foison.

J’en passe… C’est trop long.

Je suis fatigué.

[1] Type de lance-grenades utilisé par les Forces de l’Ordre.

[2] Réseaux anarcho-libertaires transnationaux investis dans les luttes pour la liberté de circulation et l’abolition des frontières, contre les politiques de contrôle de l’immigration. Apparition : 1999.

[3] Véhicules-Recueil.

[4] Lanceur de Balles de Défense (arme sublétale ou incapacitante, plus connue sous le nom de « Flash-Ball », marque commercialisée par Verney-Carron).

[5] Lance-grenade simple action de cal. 56 mm / portée : 50, 100 ou 200 mètres / poids : 3,7 kg.

(6] Le DPR (Dispositif de Propulsion à Retard, réglé en fonction de la longueur du lancement de la grenade).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut ,

 

Effectivement , pas un mot aux infos .

Un collègue qui se rendait en Angleterre où sa fille étudie s'est trouvé bloqué sur la route avec une scène irréele d'affrontements il y a 2 mois

J'avais jeté un oeil sur le net , il y a un paquet de vidéos à priori sincères (de routiers ,de riverains ,de Calaisiens ,de touristes ) qui foutent franchement les jetons (camions pris d'assaut , barrages avec des débris sur la route pour forcer à s'arrêter ,cadenas forcés et portes des semis ouvertes , intrusions ,vols de marchandises , jets de pierres sur les voitures et cars de tourisme ect..)

Ca fait peur ,c'est même miraculeux qu'un conducteur excédé n'en ai pas shooté avec son camion ..

Je ne sais pas comment cela va finir et qu'elles solutions possibles maintenant???

Phil:2 (22):

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Cette mission revient vite en plus: il va y avoir jusque dix compagnies de Crs sur le site par période de 15 jours, 60 compagnies en France, faites le calcul. Perso j'y suis à partir de mercredi prochain... Et pour améliorer les relations police/migrants les penseurs(:2 (21):) veulent qu'on patrouille en binôme dans la jungle dans la journée....

J'y étais à l'automne et un collėgue d'une autre unité à chopé la tuberculose. Chouette retour en famille.....

Je pourrais vous en raconter mais ce forum n'est pas fait pour ça mais sachez que nous côtoyons la misėre du monde tous les jours avec une considération de nos dirigeants s'approchant du zéro absolu( sauf période d'election:2 (22):)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut ,

Bon courage pour cette mission...

Perso je ne sais pas quoi penser de cette situation , sur ce que peuvent espérer les migrants et sur la conduite de la France à tenir pour s'en sortir dignement .

j'ai le sentiment que quelle que soit la décision prise (s'il y a une décision un jour, car ça en laisse pas le sentiment ) ,il y aura des effets négatifs et de la casse .

Il va bien falloir que nos dirigeants prennent des mesures courageuses et tant qu'à faire les moins mauvaises

Phil

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut,

 

J'ai connu Calais(je faisais la traversée toutes les semaines) du temps de Sangatte, il n'y avait aucun échauffouré de cette importance, bien sur, fallait vérifier les camions... Jamais d'agressions de chauffeurs, pas de police en force sur Calais, franchement, jamais eu d'embrouille...

Ce qui ce passe à l'heure actuelle, (avis perso), est clairement voulu, une volonté quelque part, de faire craquer certains habitants du secteur, afin qu'il vident les lieux... Je vois bien un gros truc immobilier/état dans le secteur(y'avait un projet de je c plus quoi en 2000) quand le souci aura été réglé ????

 

Bonne chance aux forces de l'ordre, z'étes pas le cul sorti des ronces !!!!!

Et si vous avez un poil le temps d'une bouffe, "le pied du phare" un 'tit resto routier sympa et derrière y'a des boites de nuit pour adultes.....:2 (17):

 

Yves.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

BONSOIR

Que voulez vous,en France,on n'a plus rien dans le pantalon et la France se doit d'accueillir toute la misere du monde,au detriment de ses ressortissants....

Toutes les associations soutiennent cette politique et prennent la defense de toute cette fange...

quand on a ete en guerre,nos aieux ont pris les armes et le maquis,mais pas la poudre d'escampette comme le font tous ces gens...

bon courage a tous les riverains,policiers,crs et autres....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

BONSOIR

 

quand on a ete en guerre,nos aieux ont pris les armes et le maquis,mais pas la poudre d'escampette comme le font tous ces gens...

bon courage a tous les riverains,policiers,crs et autres....

 

Tu as entendu parlé de l'exode de juin 40 ?

Plusieurs millions de français sur les routes pour fuir les allemands ....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Modérateur
La situation n'était pas la même,à l'époque les gens fuyaient en zone libre,ils ne partaient pas à l'étranger pour se mettre les pieds sous la table et de l'argent dans les poches.

 

Tout à fait, et les hommes valides partaient à la guerre.

Là c'est l'inverse, les hommes valides se sauvent laissant la famille derrière pour beaucoup d'entre eux.

Lâches et crapules de surcroît !

 

Et il en est encore pour défendre ces mecs, c'est bien ça le pire en France ! :2 (10):

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tout a faits! Ils ne respectent pas le pays dans lequel ils e réfugient! Il sont nouris( Accueillons dignement les réfugiés - Croix-Rouge française )soigné (ameli.fr - L'aide médicale de l'État) logé (Logistic Solutions va déployer des conteneurs pour loger des migrants à Calais : Lignes de défense) ils sont même payé ( Les aides dont bénéficient les migrants en France) 11 euros 45 par jour alors que ma compagne en attente de reconnaissance RQTH touche 2 euros par jour et ne peux pretendre a rien car nous sommes juste audessus du seuil de pauvreter....

et il ne respectent rien dégrade et attaques les forces de l'ordre.Je suis en rage!!!Ils se comporte de la pire façon!Un animal qui fait ça on l'heutanasie!Ils mordent les mains qui les nourissent!!!! Qu'on les parque!!! Purement et simplement.

Nous sommes le seul pays qui accorde se genre de choses. C'est une honte l'état n'en faits pas autant pour ses resortissant. Et tout ça avec la bien veillance et les encouragement du medef! Chercher l'érreur!

Vous voulez que je vous dises je suis Calaisien j'en suis fier. Mais mon père militaire pendant de nombreuses années qui a été au feux pour la grandeur de la france ou pour des raisons encore plus obscure , mes arrières grand pères qui se sont faits gazé à Salonic en 14 et qui engagé dans la resistance en 39 passaient des messages entre calais et douvre. Ils doivent se retourner dans leur tombe à l'heure qu'il est et si ce n'est pas encore faits il le ferons surement si il savait a quel point j'ai honte d 'être français. Et que je comprends que les Allemand s'en soit pris à une partie de la population en 36. L'état voudrait le même résultat il ne s'y prendrait pas autrement. Donc ayons conscience que des milices se mettent en place telles que "les calaisiens en collére" soutenons les !!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je répondais justement à un membre qui comparait la situation des réfugiés actuels avec celle de nos aïeux :2 (26):

 

Ils n'ont pas de zones libre en Syrie??? Enfin je dits en Syrie car depuis plus de 15ans que ça dur ils changent de nationalité au fur et a mesure de l'evolutions des conflits... Un coup Iranien,un coup Irakien, un coup afghan, maintenant soudané...Septembre 1999. Ouverture du centre d?accueil de réfugiés à Sangatte

Si il y'a un changement a faire c'est a la grande bretagne qui accorde la nationalité à tous étranger posant le pied sur son sol et qui demande asil!!! Et avec notre super systeme européen ils font ce qu'il veulent une fois sujet de sa majesté! Que le royaume unis changes ses texte hors d'ages ça n'attireras plus ces caffards!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les politicards ne parlent jamais de ce sujet brûlant.

 

Les médias non plus.

 

C'est désolant.

 

...pfff...quelle truite, j'ai cliqué "j'aime pas ", au lieu de cliquer "j'aime"...Désolé Pierrot.

 

Le fait est que l'on préfère amplement nous enfumer avec des conneries, avec des "chocs de simplification", et tout le verbiage habituel. Il y a là un vrai grave problème qui s'amplifie très vite, et on n'apporte aucune solution véritable au nom du respect des droits de l'Homme.

Le souci, c'est que l'homme, avant d'avoir des droits, il a des devoirs. Et là, ni les migrants, ni les politiques ne respectent leurs devoirs élémentaires respectifs. Résultat la population trinque et nos forces de l'ordre sont surexposées.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est bien connu les droits de l'hommes ne sont qu'une fumisterie qu n'a fait que servir les interets de nos oligarque.

On faits des guerres en leurs noms et dans nos accords comerciale on se fout qu'ils soient baffoué.

Et si on va par là les comportement des ces non nationaux vont à l'encontre de Article 3

Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut ,

Evoqué ce soir aux info TV suite aux nouveaux incidents et à la manif des Calaisiens , ce qu'ils en disent :

 

-pas de solutions en vue

-un deuxième camp en train de s'installer à 40km de là

-6500 migrants estimés sur la "Jungle" , qui est devenue le plus gros bidonville d'Europe ...

-les forces de l'ordre sont dépassées en nombre et en moyens , le budget actuel pour assurer leur présence serait de 100 000,00 euros / jour ....

Phil:2 (22):

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...

Information importante

Ce site web utilise les cookies pour améliorer votre expérience de navigation.