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DAKAR 2018


kriyo

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  • 1 mois plus tard...

LE RÉSUME OFFICIEL DE L'ETAPE 1 :

 

L’œil dans l’objectif… 

Avec une superbe liaison sablonneuse longeant l’océan pacifique suivie d’une spéciale sous la forme d’un sprint de 31 km, la première étape du Dakar 2018 représentait la parfaite mise en bouche nécessaire pour aborder les premières grosses difficultés du rallye à venir ces prochains jours. Les concurrents ont ainsi pu se familiariser avec les premières dunes du désert d’Ica, en bordure de Pisco où est produit la célèbre eau-de-vie de vin péruvien, avant d’aborder une belle descente qui a permis aux spécialistes de se mettre en valeur.

L'essentiel

Nasser Al-Attiyah a réaffirmé ses intentions de mettre fin à l’hégémonie Peugeot avec une première victoire de spéciale qui en appelle d’autres. Son coéquipier Bernhard Ten Brinke confirme l’excellente forme de la nouvelle Toyota quand Stéphane Peterhansel roulait sur la défensive. Tout le contraire d’Ales Loprais qui s’est offert sa sixième victoire d’étape sur le rallye en camion et est toujours en quête de son premier Dakar. Martin Van Den Brink et Eduard Nikolaev sont pointés à moins de 30 secondes. 

La perf du jour

Bryce Menzies pouvait difficilement espérer mieux pour ses grands débuts sur le Dakar. L’Américain, virtuose des Bajas, terminait sa première spéciale en troisième position à seulement 38 secondes du grand Nasser Al-Attiyah. Il réussissait même l’exploit de figurer en tant que première Mini du classement, devant son chef de fil Nani Roma.

Coup dur du jour

Première journée à oublier pour Sébastien Loeb. L’Alsacien a essuyé des problèmes de freins sur sa Peugeot 3 kilomètres seulement après avoir pris le départ de la spéciale. Le nonuple champion du monde WRC cède déjà plus de cinq minutes à Nasser-Al Attiyah et va devoir cravacher pour les reprendre.

La réaction du jour

Stéphane Peterhansel : « Je n’ai pas eu un bon feeling avec cette lumière très haute, je ne suis pas parti très en confiance, alors j’ai un peu roulé comme un facteur. J’étais sur la défensive du début à la fin. En proportion, on perd beaucoup de temps sur Nasser puisque 2’ sur 30 kilomètres c’est énorme. Mais il faut rentrer dans la course, ça va venir »

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LE COMMUNIQUE :

 

CYRIL DESPRES

Auteur d’un sans-faute en navigation, Cyril Despres remporte la spéciale  en boucle autour de Pisco. La deuxième de sa carrière sur le Dakar en autos.

« Je ne m’attendais pas à une spéciale comme ça… je suis très content d’être passé sans encombres. Il y a des grandes dunes qui sont faciles à monter, puis des plateaux qui sont très très souples. Nous avons vu Carlos posé, Przygonsky posé et plusieurs autres… on préfère que ça ne nous arrive pas. Notre force, c’est d’avoir quatre bons équipages, donc on ne s’est pas affolé. David a fait une bonne navigation, aucun demi-tour et aucune mauvaise surprise. C'est important de prendre du bon feeling. Aujourd'hui je sens que mes muscles sont détendus... c'est bon signe ! »

STEPHANE PETERHANSEL

Le tenant du titre signe le deuxième temps du jour derrière son coéquipier Cyril Despres, nouveau leader de la course.

« On en a doublé quelques-uns, c’est sûr ! On a vu aussi quelques accidents : Menzies, qui a dû détruire son buggy, Alvarez aussi qui a fait un tonneau dans les dunes. On a essayé de faire une navigation propre, mais ce n’était pas simple. On se remet dans la bagarre. Hier, la mise en route était un peu dure, c’était un peu inquiétant. »  

 

SEBASTIEN LOEB

Le pilote Peugeot a été confronté à une étape de navigation délicate. Avec son copilote Daniel Elena, il a assuré  l’essentiel.

« C’était une meilleure journée qu’hier. On l’a faite ! Mais c’était hyper compliqué, on a tourné deux ou trois fois pour aller chercher des way-points. On doit faire un temps qui n’est pas catastrophique, et on n’ouvre pas la route demain, donc ça va aller. On se fait toujours emmener par la trace et quelquefois on sent bien qu’elle n’est pas tout à fait juste. Mais on lui fait confiance parce qu’on n’a pas en vie de la perdre. Notre objectif, c’est de franchir le Pérou sans y laisser trop de plumes. Il y a beaucoup à perdre, si on ne trouve pas un way-point. Sur la fin par exemple, on a tourné pour  trouver le dernier. »

 

SAINZ ET AL-ATTIYAH LÂCHENT BEAUCOUP


A plus de 13 minutes de son coéquipier Cyril Despres, Carlos Sainz n’a pas réalisé l’opération escomptée à Pisco. C’est encore pire pour le vainqueur de la première étape Nasser Al-Attiyah qui concède près d’un quart d’heure sur la tête de la course...

 

 

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