ok je pensais tous les ans !  ben tant mieux 👍

Je vous invite sur ce lien à aller au point 5.3.1 et vous aurez les textes officiels Concernant les suspensions.

vous verrez qu il n y a pas à avoir d inquiétude dans le cadre d une rehausse ce qui n est pas le cas lorsque les ressorts sont trop rabaissés 

http://www.utac-otc.com/METHODES DE CONTROLE/Instructions Techniques applicables à compter du 20 mai 2018/IT PL F5B-LIAISON AU SOL 010218.pdf

 

ben si nos engins ne passent pas le controle ont roulera sans.ont jouera avec le feu.🤬.adishatz

la lecture du reste est tout aussi intéressante, notamment concernant les pneumatiques 😉

Il y a 4 heures, Jandre77 a dit :

Je vous invite sur ce lien à aller au point 5.3.1 et vous aurez les textes officiels Concernant les suspensions.

vous verrez qu il n y a pas à avoir d inquiétude dans le cadre d une rehausse ce qui n est pas le cas lorsque les ressorts sont trop rabaissés 

http://www.utac-otc.com/METHODES DE CONTROLE/Instructions Techniques applicables à compter du 20 mai 2018/IT PL F5B-LIAISON AU SOL 010218.pdf

 

Suivant les contrôleurs (plus ou moins regardants), tu pouvais déjà te faire recaler avec l’ancien CT ( j’en connais à qui c’est arrivé, et pas qu’un ou deux). Je vois pas pourquoi avec le nouveau contrôle plus strict, cette mesure ne serait plus appliquée.

Un véhicule est homologué avec un certain type de pneumatique (dimensions, indices de charge et vitesse). Tu sors des clous, c’est pas bon. Pas de discussion là dessus.

Un peu de lecture > Ici !

Par prescription, il faut comprendre prescription du constructeur du véhicule en matière de monte pneumatique possible.

Apres comme dit au dessus, y’a contrôleurs et contrôleurs.

Modifié 25 mai 20187 a par jch@11

La monte pneumatique est encadrée très strictement en fonction de la monte  d origine qui est lié au type du véhicule.

ok sur ce point mais la question initiale était lié à la rehausse de la voiture et non aux pneumatiques

nous sommes donc d accord, en plus sachez que si votre monte n'est pas conforme à celle d'origine ou une monte considérée comme équivalente selon les tableaux homologués, en cas d'accident grave, votre assureur ne vous couvrira pas. Et là bonjour la m...e

il y a 17 minutes, Jandre77 a dit :

La monte pneumatique est encadrée très strictement en fonction de la monte d'origine qui est lié au type du véhicule.

ok sur ce point mais la question initiale était lié à la rehausse de la voiture et non aux pneumatiques

nous sommes donc d'accord, en plus sachez que si votre monte n'est pas conforme à celle d origine ou une monte considérée comme équivalente selon les tableaux homologués, en cas d accident grave, votre assureur ne vous couvrira pas. Et là bonjour la m...e

Si il faut respecter les règles avec nos 4x4 autant rester sur la route et acheter un break. 

On connaît tous les règles, après on fait avec ou sans. 

95% de l’efficacité d’un 4x4 (mais c’est valable pour tout engin mécanique) se situe entre le siège et le volant.

Avant d’attaquer les préparations de la mort, apprendre a connaître et savoir utiliser son véhicule d'origine est la première chose à faire. Combien de fois j’ai vu des 4x4 stocks bien menés qui passaient mieux que d’autres full équipés conduits par des burnes. 🤨

On a passé la Focus (16 ans) haut la main le 17 mai mais on avait un peu pris les devants... (Plaquettes, disques, pneu neufs, vidange, pré-contrôle).

Il y a 6 heures, piersophie71 a dit :

On a passé la Focus (16 ans) haut la main le 17 mai mais on avait un peu pris les devants... (Plaquettes, disques, pneu neufs, vidange, pré-contrôle).

T'as eu raison  ;  comme ça le contrôleur voit bien que le véhicule est entretenue ; si c'est pour prendre une contre visite pour des plaquettes ou pneus défaillant ou ampoules grillées (si si on en voit) c'est un peut dommage. (ça s'arrose .... a la Focus  et a son propriétaire  santé  )

Le 29/05/2018 à 10:03, jch@11 a dit :

95% de l’efficacité d’un 4x4 (mais c’est valable pour tout engin mécanique) se situe entre le siège et le volant.

Avant d’attaquer les préparations de la mort, apprendre a connaître et savoir utiliser son véhicule d'origine est la première chose à faire. Combien de fois j’ai vu des 4x4 stocks bien menés qui passaient mieux que d’autres full équipés conduits par des burnes. 🤨

Je connais les limites de mon 4x4 et il est stock, si je le prépare pas plus que ça il y a beaucoup d'endroit ou je ne pourrais pas mettre les roues. Donc oui je serai hors la loi avec un +10, des 37", un ratio comme à l'origine et des freins améliorés. Qu'on me prouve que mon 4x4 est dangereux... 

Seul ce qui se trouve entre le volant et le siège est dangereux.

Comme pour une arme, une voiture n'a pas de volonté. Seul l'utilisateur l'a rend dangereuse.

Modifié 30 mai 20187 a par Charles34

pas tout à fait d'accord car un +10 suppose un certain nombre de modifs et si elles ne sont pas faites le troll devient dangereux .... Le Code de la Route devrait autoriser ces modifs mais comme en Suisse après un examen approfondi de la modif.

J'ai passé le contrôle hier pour mon Troll et pas de pb ...

Pour les modifications comme la réhausse il m'a dit qu'il n'y a pas de règles exactes c'est au jugé du contrôleur.

Le 31/05/2018 à 08:47, Pierre Grosjean a dit :

pas tout à fait d'accord car un +10 suppose un certain nombre de modifs et si elles ne sont pas faites le troll devient dangereux .... Le Code de la Route devrait autoriser ces modifs mais comme en Suisse après un examen approfondi de la modif.

C´est aussi le cas  en Espagne après contrôle de l´ingénieur des mines. 

 

Bonjour Messieurs,

Après une longue absence, je reviens vers vous au sujet du contrôle technique. J'ai trouvé un document Excel avec la liste des irrégularités et leur classement.

J'ai un doute concernant mon troll, je ne trouve plus de clignotant avant. Je me demande si on peut mettre des éléments de substitution ou non. Il semble que les textes imposent de l'OEM.

Cordialement

Wood stock, bûcheron des Corbières qui aimerait conserver son troll...son outil de travail !

table défaillances 201445-230212018-site.xlsx

Rejouissez vous, "l'amélioration" des CT le 20 mai dernier, c'est du pipi de chat.

Regardez ce qui arrive au 1er janvier 2019

http://www.europe1.fr/economie/controle-technique-vers-de-nouvelles-normes-anti-pollution-des-le-1er-janvier-2019-3687635

Et là, c'est pas au jugé du contrôleur. Y'a une sonde qui enregistre un résultat et qui valide, ou pas, les émissions d'échappements. Comme pour le freinage, c'est les chiffres qui tranchent.

On est mal 🤬

Modifié 21 juin 20187 a par jch@11

Je l'avais vu . On en parle au club des youngtimers. 

Merci a toi

Il y a 1 heure, jch@11 a dit :

On est mal 🤬

non si ton véhicule est entretenu, tous les filtres bon, injecteur remplacer en temps et en heure

Il y a 2 heures, jch@11 a dit :

On est mal 🤬

Le plus inquiétant est aussi l'egr et le cata ..... Tant que c'est ce gouvernement de merde ils vont tous faire pour que les gens roulent électrique

J'ai entendu à la télé qu'au 1er janvier 2019, les véhicules diesels de plus de 10 ans qui auront été modifiés (admission ou échappement) seront refusés au contrôle et les propriétaires devront faire en concession les réparations nécessaires pour retrouver les normes d'origine. Ce qui pourra coûter plus cher que la valeur du véhicule.

Effectivement, on est plus que mal et je ne parle même pas de la corrosion...

On pourra toujours trouver une solution avec çà

https://www.groupe-psa.com/fr/actualites/innovation/scr-selective-catalytic-reduction/

et çà :

https://www.bardahlindustrie.com/techni-line/303-adblue.html

jusqu'au jour où ils interdiront purement et simplement les moteurs thermiques.

 

 

Dans le cadre d’un symposium sur la thématique de l’éco-entretien organisé par le syndicat des experts en automobile, Cathy Bieth, responsable du bureau contrôle technique au Ministère de la transition écologique et solidaire (Direction générale de l’énergie et du climat), est revenue sur les différentes phases d’évolution du contrôle technique automobile. La responsable a tenu à dédramatiser la portée de ces changements en trois actes tant redoutés par les contrôleurs comme les automobilistes.

Acte un : renforcement du contrôle technique

Acte un : celui du 20 mai prochain et le passage de 123 à 133 points de contrôle. Cette première étape ne constitue pas une révolution pour Cathy Bieth, même si le nombre de défaillances explose avec 610 défauts possibles, dont 342 « majeurs » et 129 « critiques », une nouveauté. Ces deux derniers classements seront sujets à contre-visite avec un délai de deux mois pour effectuer les réparations. Avec un défaut « critique », le véhicule sera considéré comme en défaut de contrôle technique dès le lendemain de son passage en centre. Son conducteur est alors verbalisable. Libre à lui de rouler ou pas avec son auto non conforme.

Selon les propos de Cathy Bieth, ces nouvelles dispositions n’ont pas de raison d’entraîner un surcroît de contre-visites. Elles n’existent que pour mieux sensibiliser les conducteurs à l’état de leur véhicule. D’ailleurs, les nouveaux procès verbaux, qui se veulent plus pédagogiques, comporteront les valeurs limites pour un défaut afin que les automobilistes puissent juger de l’étendue des défaillances. Président de Sécuritest, Laurent Palmierestime, après avoir réalisé des simulations, que le taux de contre-visites pourrait passer de 18 à 40 % avec ces nouvelles mesures. Une estimation haute qui ne considère évidemment pas les dispositions que prendront les conducteurs avertis avant de se rendre dans un centre.

Acte deux : contrôle des émissions polluantes

Acte deux : celui du 1^er janvier 2019 avec le contrôle de l’opacité des fumées émises par les diesels. Dans le cadre de la loi de transition énergétique pour la croissance verte, le Gouvernement a décidé que le contrôle des émissions polluantes des échappements (CO, CO₂, O₂, HC, NOx, particules et opacité) doit être renforcé. Il s’agira de vérifier que le moteur est à l’optimum de ses capacités thermodynamiques.

Durant dix mois, les services de l’État ont mené – non sans mal – des expérimentations pour établir les méthodes, les règles et les seuils de mesure dans dix-sept centres pilotes. Vingt-deux équipements analyseurs de gaz et bancs de charge moteur (Actia, AVL, Bosch, Capelec et Fog) ont été testés sur près de 16 000 véhicules.

Il en résulte que les mesures sont loin d’être simples dans leur mise en œuvre. « Les méthodes proposées sont incompatibles avec certains véhicules. Il y a un manque de cohérence des résultats avec une impossibilité d’établir des valeurs limites, en particulier sur les NOx », reconnaît Cathy Bieth. En effet, les tests ont montré que seule l’utilisation d’un banc de charge moteur avec un cycle de régimes bien défini (tests dynamiques) permettait la mesure des NOx et autres gaz. Les valeurs doivent être alors comparées aux maximums donnés par les constructeurs lors de l’homologation de leurs véhicules (valeur plaquée).

En attendant de poursuivre les expérimentations, le législateur a pris la décision, au travers des arrêtés du 21 décembre 2017, de renforcer dès l’année prochaine le contrôle de l’opacité des fumées diesel conformément à la norme NFR 10-025 : 2016. Celle-ci permet une meilleure détection des surémissions de particules fines comparables alors à la valeur d’homologation. De plus, seront indiquées sur les procès verbaux les anomalies « pollution » décelées par la gestion électronique EOBD.

En parallèle, les tests se poursuivent sur les véhicules à essence avec la collecte des niveaux d’émission de monoxyde de carbone, dioxyde de carbone, oxygène et hydrocarbures imbrulés en vue de déterminer à terme une traduction de l’état thermodynamique du moteur.

Acte trois : mesure des NOx

Acte trois : celui qui se jouera en 2022 avec la mesure des NOx. Le Gouvernement poursuit ses expérimentations. Il espère cette année développer et mettre au point un cycle spécifique pour mesurer en charge (véhicule sur banc de charge et moteur tournant) les émissions d’oxyde d’azote. Il lui faut caractériser les équipements nécessaires, le cycle (vitesse, régime et passages de rapport) et le protocole d’essais. Échéance envisagée pour la mesure des NOx : 2022.

On va être tranquille un moment.

Laissons au gouvernement la surprise de constater qu'en situation "réelle" les émissions sont bien loin des valeurs annoncées à grand renfort de pub par les constructeurs qui dépensent une énergie folle pour tenir des "normes" qui ne veulent rien dire sur leurs bancs optimisés avec des voitures toutes neuves et préparées pour l'occasion.

y'a qu'à voir les diesels "de ville", avec leur EGR, leur collecteur d'admission, et leur vanne papillon complètement  encrassées.... et les fumées qu'ils dégagent.

Voilà ce qu'on obtient lorsqu'on laisse des bobos parisiens qui roulent en vélo et prennent le métro, dont certains sont certainement très intelligents, décider de donner un grand coup de barre à gauche ( TOUT DIESEL ), puis à droite (TOUT ESSENCE), jusqu'à ce qu'on aille tout droit .... dans le mur en TOUT ELECTRIQUE si on ne prépare pas et n'anticipe pas les transitions correctement.

Comme tu le dis le parisien veut tout gérer et surtout les affaires des autres dont il n'a aucune connaissances et c'est pareil dans tous les domaines infrastructures, agriculture... qu'ils commencent à s'occuper d'eux et qu'ils nous foutent la paix dans nos campagnes, comme disaient les anciens chacun chez soi et les vaches seront bien gardées