Posté(e) : 19 juillet 201014 a Bonjour, Je vous écris depuis Luanda - Angola et je suis angolais. J'ai un Patrol 3.0 Di Turbo Diesel, je viens de faire changer le Turbo pour la troisième fois et pour le même problème. Le turbo siffle très fort même à bas-régime. Qu'est-ce que peut-être à l'origine de ce problème ? Le garage agréé Nissan, jusqu’à maintenant s'est contenté uniquement de changer de turbo. Je me demande s'il ne peut pas y avoir un autre élément associé au bon fonctionnement du Turbo qui est en panne ?... Quelqu'un a une idée du problème ? si c'est le cas, ça m'aiderait à ne pas acheter un autre turbo pour rien. Merci bien !
Posté(e) : 20 juillet 201014 a Référent Mécanique Le mien siffle depuis 9 ans .... Tu as quoi comme filtre à air ? il est propre ?
Posté(e) : 21 juillet 201014 a Auteur Salut Pierre, Le filtre à air que j'ai est sec et est nouveau. ça pourrai être un problème de lubrification du turbo lui même? J'aimerais comprendre, sera qu'ils montent mal le turbo chez Nissan? Une chose est certaine c'est pas le filtre à air. Merci!
Posté(e) : 21 juillet 201014 a Référent Mécanique Il y a sifflement et sifflement ... il faudrait pouvoir l'écouter ! Généralement c'est un bruit d'air provoqué par la turbine froide et certainement pas le palier. Tu n'as pas une durite un peu desserrée ?
Posté(e) : 21 juillet 201014 a Auteur Pierre, Maintenant que tu parles de "durite desserrée" j'entends un petit bruit...comme une petite fuite d'air dans le côté du turbo. Je vais faire contrôler ça ce week-end, après je dirais quelque chose. Merci
Posté(e) : 22 juillet 201014 a Auteur Bonjour, Pour vous les mécanos, voici quelques informations, que j'ai pu trouver sur le net pour une meilleur compréhension du fonctionnent du turbo à géométrie variable. Suit le sujet trouvé : Vu la multiplication des messages et sujets relatifs au turbo et plus spécialement à géométrie variable, il me semblait intéressant d'expliquer son fonctionnement afin que chacun puisse mieux comprendre ce qui se passe en cas de défaillance. Cette première partie expliquant aussi simplement que possible le fonctionnement sera suivie prochainement d'une seconde consacrée aux défectuosités, le diagnostic et éventuelles solutions. Bonne lecture. Le turbo à géométrie variable et sa gestion : Prenons un exemple simple : vous désirez faire tourner une machine grâce à un moulin à eau. Malheureusement la vitesse du courant de la rivière peut varier, votre machine va donc à certains moments avoir des difficultés à tourner quand il y aura peu de courant. http://img25.imageshack.us/img25/4527/turbo30.jpg Si vous construisez sur la rivière un canal de dérivation avec une vanne qui vous permet de dévier le flux vers votre roue à aubes, vous aurez une machine qui fonctionnera bien mieux car vous obtiendrez une augmentation de la vitesse du flux selon le principe suivant : à débit constant si vous diminuez la section, la vitesse du flux augmentera proportionnellement. Q = S1*v1 = S2*v2 Q = débit S = section v = vitesse Lorsque la vitesse du flux (courant de la rivière) augmentera il vous suffira d’ouvrir votre vanne de dérivation pour conserver à votre roue à aube une vitesse constante. C’est exactement le principe du turbo à géométrie variable, on va faire varier le flux en fonction des besoins. Principe du turbo compresseur : http://img25.imageshack.us/img25/4773/turbo1b.jpg Les gaz d’échappement sortant du moteur sont dirigés vers la partie turbine du turbo. Ils font tourner cette turbine qui est reliée sur un même axe à la partie compresseur. L’air frais servant à alimenter le moteur pénètre dans le turbo et y est compressé par ce compresseur. Il en ressort et est la plupart du temps dirigé vers un intercooler servant à le refroidir. En effet la compression de l’air provoque une augmentation de sa température, l’air chaud étant moins dense, on perdrait une grande partie du gain de la compression si on ne le refroidissait pas avant de le diriger vers l’admission du moteur (le sens même du turbocompresseur étant d’augmenter la quantité d’air que peut admettre le moteur). Lorsque la pression maximale est atteinte, la capsule de pression ouvre le bypass (c’est une simple capsule à membrane avec un ressort) et une partie des gaz d’échappement est déviée du turbo. Le turbo ralenti ce qui a pour conséquence de réguler la pression de suralimentation en la maintenant dans des limites acceptables. Deux soucis majeurs du turbocompresseur : - Lorsque le moteur tourne à régime élevé, la vitesse de rotation du turbo augmente plus que nécessaire ce qui si on laissait la situation en l’état finirait soit par détériorer le moteur soit le turbo (pression de suralimentation trop importante). - A contrario, à bas régime, le régime de rotation du turbo n’est pas suffisant que pour assurer des performances immédiates, c’est le fameux temps de réponse du turbo (Lag). Pour répondre à ces deux soucis, deux solutions ont principalement été envisagées : - A partir d’une certaine pression, on va dévier une partie du flux des gaz d’échappement qui ne transiteront plus par le turbo, le régime de rotation du turbo va donc être limité et la pression maintenue dans des limites acceptables (solution expliquée dans le croquis de principe). Cette solution ne résout cependant pas le problème de la réponse à bas régime. - Pour résoudre ce second problème on peut évidemment opter pour un turbo de plus petite taille qui grâce à cette taille moindre sera plus prompt à répondre dès les bas régime, cela représente cependant l’inconvénient de réduire le passage des gaz d’échappement et comme il manquera de débit à haut régime, ce petit turbo ne pourra assurer une puissance suffisante dans ces hauts régimes de rotation du moteur. Les hauts régimes sur un véhicule diesel de tourisme ne sont pas forcément ce qui est recherché, il fallait donc trouver une autre solution. On va donc faire varier le flux des gaz d’échappement au moyen d’aubes orientables et tant qu’à faire piloter ces aubes en fonction des besoins : c’est le turbo à géométrie variable. En fonction du pilotage des aubes on pourra obtenir une réponse immédiate avec peu de flux (cfr le croquis du moulin à eau). Turbo à géométrie variable : http://img25.imageshack.us/img25/2928/turbo3.jpg Comme on le voit par rapport au croquis précédent (turbo avec bypass), ici le flux des gaz d’échappement n’est plus dévié pour détourner le turbo mais on adapte la section via les aubes en fonction des besoins. C’est la géométrie variable. Afin de commander celle-ci en fonction des besoins on va utiliser une capsule à dépression. Pour la piloter il faudra donc agir sur la quantité de dépression lui parvenant, pour ce faire on utilisera une électrovanne, on y viendra par la suite. Le fonctionnement de la géométrie variable : Revenons à notre principe de restriction de passage qui augmente la vitesse du flux des gaz d’échappement. A bas régime, le flux des gaz d’échappement est lent, le turbo tournerait donc lentement et la pression de suralimentation serait basse. Pour que le moteur réponde rapidement à une sollicitation, on va donc diriger les aubes de façon à augmenter cette vitesse du flux afin d’obtenir le plus rapidement possible une vitesse de rotation plus élevée du turbo et donc une pression de charge élevée malgré le bas régime. http://img25.imageshack.us/img25/5995/turbo4.jpg Une fois le moteur tournant à une vitesse plus élevée, la vitesse du flux des gaz d’échappement étant suffisante, on va piloter la géométrie variable afin de maintenir ou limiter la pression de suralimentation. http://img25.imageshack.us/img25/6564/turbo5.jpg Schéma en coupe du turbocompresseur à géométrie variable : http://img25.imageshack.us/img25/8351/turbo6.jpg Comment sont actionnées les aubes de la géométrie variable : http://img25.imageshack.us/img25/2605/turbo7.jpg La tringle de commande est actionnée par la capsule à dépression. Il s’agit d’une simple capsule munie d’une membrane et d’un ressort. http://img25.imageshack.us/img25/3065/turbo12.jpg Le mouvement est transmis à l’anneau qui pivote. Ce dernier est relié aux aubes via une commande et un axe. Les aubes adoptent donc un angle particulier selon l’action de la dépression. La quantité de dépression est régulée par le calculateur moteur via une électrovanne de commande (dénommée N75 chez VW). A quoi correspond la position des aubes : Bas régime et flux de gaz d’échappement lent, les aubes forment un angle fermé, le flux des gaz d’échappement va accélérer pour permettre une augmentation de la vitesse de rotation et une montée en pression. http://img25.imageshack.us/img25/9095/turbo13.jpg http://img25.imageshack.us/img25/10/turbo4y.jpg'>http://img25.imageshack.us/img25/10/turbo4y.jpg http://img25.imageshack.us/img25/433/turbo26.jpg La pression nécessaire est atteinte et suffisante. Les aubes forment un angle plus ouvert. C’est aussi la position de sécurité en cas de dépassement de pression. http://img25.imageshack.us/img25/5106/turbo14.jpg http://img25.imageshack.us/img25/5533/turbo5a.jpg'>http://img25.imageshack.us/img25/5533/turbo5a.jpg http://img25.imageshack.us/img25/6551/turbo27.jpg La régulation par l’électrovanne N75 : Selon les conditions d’utilisation et de conduite le calculateur moteur va déterminer quelle est la pression de suralimentation estimée nécessaire. Pour cela il est informé par divers capteurs qui le renseignent non seulement sur les intentions du conducteur mais aussi sur l’état de fonctionnement du moteur (nous y reviendrons plus tard). Le calculateur va donc piloter par le biais d’une succession d’impulsions électriques (Duty cycle) une électrovanne (N75). Cette électrovanne est reliée à la pompe à vide et va s’ouvrir ou se fermer afin de mettre ou pas en communication avec la dépression la capsule de commande de géométrie variable. Dans les phases intermédiaires l’électrovanne équilibrera en fonction de la demande du calculateur entre pression atmosphérique et dépression. Cette mise à l’air libre est aussi nécessaire pour assurer un retour en position repos du système de dépression. Le conducteur sollicite le moteur en accélérant : http://img25.imageshack.us/img25/3376/turbo15.jpg http://img25.imageshack.us/img25/10/turbo4y.jpg La pression de suralimentation nécessaire est atteinte : http://img9.imageshack.us/img9/1892/turbo16.jpg'>http://img9.imageshack.us/img9/1892/turbo16.jpg http://img25.imageshack.us/img25/5533/turbo5a.jpg Situation intermédiaire : http://img9.imageshack.us/img9/9160/turbo17.jpg L’électrovanne N75 : Voici deux modèles de N75 http://img9.imageshack.us/img9/1391/turbo24.jpg http://img9.imageshack.us/img9/3809/turbo25.jpg Circuit de suralimentation : http://img9.imageshack.us/img9/4936/turbo23.jpg La gestion de la pression de suralimentation : Comme nous l’avons vu, la pression de suralimentation doit être adaptée aux conditions d’utilisation requises, c’est le calculateur moteur (J248) qui va se charger de cette gestion. http://img9.imageshack.us/img9/4413/turbo29.jpg Calculateur J248 avec correcteur altimétrique et capteur pression suralimentation. Pour la gestion de la pression de suralimentation, le calculateur va principalement utiliser les signaux venant des capteurs suivants : - capteur de température d’air du suralimentation (G72) - capteur de vitesse moteur (G28) - correcteur altimétrique (F96) - capteur de pression de suralimentation (intégré au calculateur ou séparé G71). En fonction de ces signaux il agira sur l’électrovanne N75 pour piloter la géométrie variable du turbo. Le capteur de pression de suralimentation (G71) : Selon les versions moteurs il est soit intégré au calculateur moteur, dans ce cas il est relié au conduit d’air de suralimentation via un tuyau, soit être un capteur indépendant (G71) et fournir un signal électrique au calculateur. Son rôle est bien entendu d’informer le calculateur de la pression de suralimentation régnant dans le conduit d’air. Utilisation de l’information fournie par le signal : Le signal sert à piloter via la N75 les aubes de la géométrie variable du turbo. Fonctionnement en cas de défaut du signal : Les aubes de la géométrie variable sont orientées de telle façon à obtenir la pression la plus basse, c’est une position de sécurité. http://img9.imageshack.us/img9/5106/turbo14.jpg Correcteur ou capteur altimétrique (F96) : La pression et la densité de l’air variant avec l’altitude, le calculateur moteur doit être informé afin de pouvoir adapter ses calculs. Fonctionnement en cas de défaut du signal : A défaut de signal le calculateur adoptera une valeur fixe prédéterminée. Capteur de température d’air du suralimentation (G72) : Le capteur de température d’air d’admission est installé sur la conduite d’air de suralimentation en aval de l’intercooler. Il sert à informer le calculateur sur la température de l’air admis. Utilisation de l’information fournie par le signal : La calculateur adopte ses réglages en fonction de la température de l’air de suralimentation (pour rappel l’air froid est plus dense que l’air chaud). Fonctionnement en cas de défaut du signal : Le calculateur adopte une valeur par défaut qui réduit la puissance. Capteur de vitesse moteur (G28) : Il informe le calculateur sur la vitesse de rotation du vilebrequin moteur et donc sur la vitesse de rotation du moteur. Utilisation de l’information fournie par le signal : Ce signal est indispensable au calculateur pour gérer de multiples paramètres (quantité de carburant injecté, point d’injection, contrôle du ralenti, pression de suralimentation). Fonctionnement en cas de défaut du signal : Le moteur ne peut pas être démarré en cas d’absence de signal ou il s’arrête si le signal fait défaut alors qu’il tourne. Actuateur, électrovanne N75 : En fonction des informations reçue le calculateur pourra agir sur la géométrie variable du turbo. Pour ce faire il va utiliser un actuateur nommée électrovanne N75. Cette électrovanne va gérer la quantité de dépression agissant sur la capsule à dépression de commande de la géométrie variable, et ce, en fonction du signal reçu du calculateur (duty cycle). Fonctionnement en cas de défaut du signal : En cas de défaut du signal, l’électrovanne s’ouvre et reste en communication avec l’air libre. Plus aucune dépression n’est donc communiquée à la capsule à dépression de commande de la géométrie variable. Ceci correspond à la mise en sécurité. http://img9.imageshack.us/img9/1892/turbo16.jpg Une fois le fonctionnement de ces divers éléments connu, on pourra lors d'un prochain sujet envisager le diagnostic des problèmes et les solutions pour y remédier. A bientôt pour la suite.
Posté(e) : 22 juillet 201014 a Ici, on a ça : http://www.patrol-gr.net/forums/viewtopic.php?t=50985 http://www.patrol-gr.net/forums/viewtopic.php?t=48214 http://www.patrol-gr.net/forums/viewtopic.php?t=71112
Posté(e) : 22 juillet 201014 a Référent Mécanique Ca n'explique pas le sifflement dont se plaint notre ami ..... Il eut mieux valu créer un topic à part ! En gros c'est pareil sur le 3.0 sauf que le capteur de pression n'a pas le même rôle : il est là en sécurité pour couper l'injection si 1,2 bar pendant qq secondes Je ne pense pas qu'il y ait un correcteur altimétrique
Posté(e) : 13 octobre 201014 a Auteur Bonjour Pierre, J'ai toujours le même problème de turbo-compresseur sur mon Patrol, mais j'ai aussi du nouveau sur ce sujet. Est-ce que ça pourrait venir du catalyseur si il est bouché ?? et que sur le renvoi du turbo vers l'échappement a une résistance que affecte le turbo ???. Où ce trouve le catalyseur sur un Patrol 3.0 turbo Di ?? D'avance, merci pour ta réponse !
Posté(e) : 13 octobre 201014 a Il se peut que ton catalyseur ait disparu depuis longtemps, c'est courant en afrique. S'il ne s'agit pas d'une version "tropicale" qui n'en serait pas pourvue ... JFPAT
Posté(e) : 13 octobre 201014 a Auteur Salut et merci de ta réponse. J'ai observé et constaté qu'il a un catalyseur, il est juste après le turbo. Est-ce qu'il peu être bouché ? et si c'est le cas, ça peut affecter le fonctionnement du turbo ? provocant un sifflement très prononcé à l’accélération ?? Comment nettoyer le catalyseur ? Est-ce qu'il peut être supprimé ??? Merci
Posté(e) : 13 octobre 201014 a Référent Mécanique si le cata était bouché il ne sifflerait pas et tu te trainerais sur la route
Posté(e) : 13 octobre 201014 a je vous suis avec curiosité, je vienst de commander un turbo, le mien siffle aussi (mais vraiment très fort ) et quand je débranche le tuyaux du poumon de turbo il ne siffle plus
Posté(e) : 13 octobre 201014 a Référent Mécanique ben oui dans ce cas il ne compresse que dans les hauts régimes .. Le mien siffle aussi mais difficile de dire l'intensité du bruit ... Vérifiez le serrage des durits qui vont à l'IC et au collecteur il y a peut-être une fuite
Posté(e) : 13 octobre 201014 a Je ne sais pas si la suppression du cata fait allumer des voyants sur le 3l ... C'est vrai qu'en Ouganda , tu devrais pouvoir gérer le contôle technique sans ... JFPAT
Posté(e) : 13 octobre 201014 a Rien à voir , mais ... Je me suis interessé à l'histoire de l'Ouganda , sa guerre de libération impliquant à l'époque presque la planète toute entière (3 mouvements de libération contre les Portugais , et qui se sont mis dessus ensuite ...même les Cubains étaient là !) . Ton nom témoigne du passé colonial portugais ...Tu es d'origine africaine portant un nom portugais ? Beaucoup de noms portugais ont été donnés aux locaux ? Car je crois qu'il n'y a pratiquement plus de personnes d'origine portugaise restés là bas apres ce conflit ... JFPAT
Posté(e) : 13 octobre 201014 a ben oui dans ce cas il ne compresse que dans les hauts régimes ..Le mien siffle aussi mais difficile de dire l'intensité du bruit ... Vérifiez le serrage des durits qui vont à l'IC et au collecteur il y a peut-être une fuite ça fait le même bruit qu'une courroie qui patine mais en permanence ... pour les durites je les ai déposées, dégraissées et remontées et c'est pareil .... Mais pendant qu'il est démonté je vais en profiter pour supprimer le pot catalytique !!! (j'ai déjà remplacé le pot de détente et le silencieux par un glass-pack avec sortie latérale)
Posté(e) : 14 octobre 201014 a Auteur C'est sympa jfpat, Ouganda non. Le pays c'est l'Angola et la capitale Luanda. :-) Oui beaucoup d'angolais ont des noms d'origine portugais parce que les noms locaux étaient interdits, mais seulement la plus part des gens née à la capitale, c’était trop compliqué les noms des natives pour les portos écrire dans les acte de naissance. Donc une minorité des angolais ont des noms portos, en dehors de la capitale ils étaient mois rigoureux. La plus part des angolais ont des noms africains!!! Moi par exemple dans ma famille notre nom angolais est "Uandala" qui veut dire vouloir en français. A plus.
Posté(e) : 14 octobre 201014 a Mille excuses...J'ai écrit Ouganda en pensant Angola... Merci pour ces précisions très intéressantes ! Je savais que les portugais n'avais pas fait semblant là bas , mais je ne savais pas qu'ils avaient interdit les noms africains ... Jusqu'à la fin ? On trouve aussi des noms portugais pour des natives de l'Afrique de l'ouest , qui avaient été esclaves et qui portent toujours maintenant le nom des maîtres installés dans les comptoirs à partir du 16e siècle . Et aussi pour de très rares cas d'Africains revenus après l'abolition , peut-être plus fréquents au Libéria . Je n'ai jamais pensé à leur demander s'ils connaissaient leur nom africain d'origine , mais c'est moins probable , vu que c'est de l'histoire très ancienne comparé à l'Angola , qui a connu une tenue de registre d'état civil portugaise jusqu'en 74... Dernier pays africain décolonisé , l'Angola, si je ne me trompe ...! Je me rappelle des images de cette guerre à la télé quand j'étais gosse , et des images du rapatriement des 500 000 personnes d'origine portugaise .( surnommés les "retornados" , les revenants en français , tellement ils avaient l'air perdus !) Eh oui , entre droit légitime à l'indépendance et déracinement douloureux de personnes ayant vécu sur ce sol depuis parfois plusieurs générations ... Ce n'est pas toujours facile . Et la france a connu aussi celà avec son million de compatriotes revenus d'Algérie ... Ce sont à ma connaissance les deux cas européens de retour post colonial massif . Mais , tout celà appartient maintenant à l'histoire , et je n'aurai qu'un mot en conclusion : vive l'Angola ! JFPAT
Posté(e) : 23 octobre 201014 a tu en es où avec ton turbo ??? j'ai changé le mien (j'ai mis un d'occas) et j'ai supprimé le pot catalytique, 10h de travail et ça siffle toujours pareil :2 (25): j'ai fini hier soir à 1h du mat, quand j'ai démarré et que j'ai entendu siffler j'ai failli mettre un jerrycan d'essence et une allumette
Posté(e) : 23 octobre 201014 a Après ça il aurait eu nettement moins de chances de siffler ! Pas de voyant qui s'allume sur un 3.0 l sans cata ? JFPAT
Posté(e) : 23 octobre 201014 a non aucun voyant .... tu peux y aller, coté perf avec mon souci de turbo je ne peux pas te dire ....
Posté(e) : 23 octobre 201014 a j'ai supprimé aussi la grosse gamelle et le silencieux, j'ai juste un Glasspack avec une sortie latérale ...
Posté(e) : 4 novembre 201014 a Auteur Salut Pierre, On a démonté l'IC jusqu’à l’entrée d'admission d'air où ce trouvent les deux actionneurs de soupapes de commande pour nettoyage, Après remontage tout est bien resserré, toutes les durites et vérifié toutes les connexions électriques touchées pour le démontage le turbo ne marche plus et à l’accélération ça n'avance plus et fait beaucoup de fumée noire épaisse mais légère. Ps. Sera un problème de flexibles de dépression bouché ? ils ont tous éé montés comme avant, ou Wast-gate à régler ? Je vu sur le site un schéma des flexibles à dépression pour un Z30DDTi ici: http://www.patrol-gr.net/forums/download.php?id=99984 Le mien est aussi un Z30 mais n'a pas de réservoir de dépression comme sur le schéma c'est la saule différence.
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