Posté(e) : 23 janvier 20187 a Auteur Une ancienne pub NISSAN commercialisé par FORD dans ce pays....LE BIG MAVERICK ( Donc le 60 long !)
Posté(e) : 13 février 20187 a Auteur LE FILM OFFICIEL DE L'HISTOIRE DU CAMEL TROPHY L'aventure du 4 x4 par excellence. Pour l'instant imbattable et inimitable
Posté(e) : 13 février 20187 a là c"était l'aventure avec un grand a, avec de sacrés franchissements de gués
Posté(e) : 13 février 20187 a LAND ROVER dans toute sa splendeur , une vrai institution ce CAMEL TROPHY l'heure de gloire des 4x4 ça faisait rêver étant jeune . Véhicule très rare en occasion .
Posté(e) : 13 février 20187 a il y a 38 minutes, ouargla a dit : 1h29 ! je vais me le garder pour une nuit sans sommeil ! pff elles sont courtes les nuits chez toi.
Posté(e) : 22 février 20187 a Auteur Un fantastique et monstrueux 4x4 : Le MERCEDES 280G PORSCHE V8 de 1985 A l’occasion de l’engagement officiel des Porsche 959 en rallye en 1985, le département sportif de Porsche a construit un véhicule d’assistance sortant de l’ordinaire : un Mercedes-Benz 280 G (aussi appelé 280 GE en France) motorisé par un moteur V8 de 320 ch (235 kW) issu de la Porsche 928 A l’occasion de l’exposition “Neue Wege. Jedes Ziel. Immer Porsche.” qui se tenait du 25/07/2017 au 25/02/2018 au Porsche Museum à Zuffenhausen, Porsche a sorti de sa réserve l’un de ses anciens véhicules d’assistance en rallyes qui a une spécificité alors inconnue du grand public : un moteur V8 Porsche dans un Mercedes-Benz 280 G. C’est la première fois que Porsche expose ce modèle unique. En plus des traditionnels gros camions d’assistance MAN aux couleurs du principal sponsor Rothmans, Porsche avait engagé au Rallye Paris-Dakar 1985, via l’équipe Porsche officiellement dénommée Team Jacky Ickx aux couleurs du cigarettier Rothmans et menée par Peter Falk – Directeur de Porsche Motorsport, un véhicule d’assistance plus léger et rapide : un 4×4 Mercedes-Benz 280 GE portant le numéro 402 et piloté par Roland Kussmaul et Hendrick Hunger. Roland Kussmaul était à cette époque un ingénieur-essayeur chez Porsche qui est devenu directeur du programme sportif de la 959. Il était également un excellent pilote. Hendrick Hunger était quant à lui ingénieur spécialiste chez Porsche à Weissach. Son immatriculation était BB-MK 527, immatriculation qui sera par la suite gardée. Pour l’occasion, son moteur d’origine Mercedes développant 156 ch a été préparé afin d’avoir plus de puissance et de couple nécessaire aux épreuves de rallyes. A ce rallye, trois Porsche 959 avaient été engagées mais elles ont toutes abandonnées. La Porsche 959 #185 avait pour équipage Jacky Ickx et Claude Brasseur, la #186 René Metge & Dominique Lemoyne et la #187 Jochen Mass / Ekkehard Kiefer. Cette assistance était en 18ème position à Agades, en milieu du rallye. Suite à l’abandon de la Porsche 959 pilotée par René Metge, toute l’équipe Porsche s’est retirée de la course et notamment cette voiture d’assistance qui n’avait pleinement pu jouer son rôle avec un moteur pas assez puissant pour intervenir à temps. Amélioration du Mercedes-Benz 280 G Afin d’assurer un meilleur soutien technique à ces 959 durant les prochaines courses et tirant les erreurs du précédent rallye, Porsche a décidé de modifier en 1985 son Mercedes Classe G 280 d’assistance développant 156 ch en configuration d’origine en lui greffant le moteur 5,0 l V8 entièrement en aluminium de la Porsche 928 S4 (information confirmée par Porsche), développant 320 ch (235 kW), avec une cylindrée de 4957 cm3. Ce 4×4 d’assistance rapide pouvait alors atteindre 180 km/h, amplement suffisant en tout-terrain. En regardant le moteur de plus près, le haut du moteur est celui de la Porsche 928 S3 lui aussi de 5.0 l et développant à l’origine 288 ch. Alors est-ce un moteur de S4 avec un haut moteur de S3? Mystère! Du côté de Porsche, aucune information supplémentaire n’est disponible sur cette question. Le Classe G (G pour Geländewagen : véhicule tout terrain) a été choisi pour ses qualités de franchissement, son châssis robuste et sa fiabilité. Ce 4×4 avait d’ailleurs été adopté par l’armée allemande dans le milieu des années 1970 Premier engagement au Rallye des Pharaons 1985 A peine motorisé et amélioré (incluant le poste de pilotage avec un nouveau compteur central et de nouvelles jauges), ce véhicule a aussitôt été enregistré sous le numéro 3 en tant que voiture de course participant au Rallye des Pharaons en octobre 1985, afin de rester au plus près des Porsche 959, elles aussi engagées dans ce rallye avec les numéros 1 et 2. Ses pilotes étaient Roland Kussmaul & Kiefer. Roland Kussmaul transportait dans son véhicule préparé pour les besoins des Porsche 959 du carburant Avgas, une essence aviation spécialement conçue pour les avions à moteur à pistons qui possède un haut indice d’octane (minimum 80). Suite à l’incident de la Porsche 959 #1, cette voiture et son équipage étaient chargés de l’assistance rapide de la Porsche 959 #2 du pilote Saeed Al-Hajri. Cette idée surprenante a porté ses fruits : après des milliers de kilomètres, cette voiture a terminé à la seconde place derrière la Porsche 959 victorieuse pilotée par Saeed Al-Hajri (Qatar) & John Spiller (Royaume-Uni), malgré quelques petites pannes et le remplacement complet de l’essieu arrière. La seconde Porsche 959 #1 pilotée par Jacky Ickx & Unger Hendrick a brûlé et a été détruite. Paris Dakar 1986 Après quelques petites modifications (pare-chocs avant, aménagement intérieur, pose de l’emblème autocollant Porsche sur les ailes avant, …), la voiture fut ensuite engagée quelques mois plus tard au Rallye Paris Dakar 1986 (débutant le 1er janvier 1986) sous le numéro 437. Ce sera d’ailleurs la dernière course de ce véhicule d’assistance rapide pour soutenir les Porsche 959. Elle a du abandonner avant la moitié du parcours, lors de la première spéciale longue de 397 km en Algérie, suite à une casse de la boîte de vitesse automatique. Elle a pourtant bien aidé les Porsche 959 en les assistant très rapidement en cas de problèmes. Ce fut sa dernière course. La voiture exposée au Porsche Museum porte ce numéro et la décoration de cette édition 1986 avec pour pilotes Ekkehard Kiefer, mécanicien Porsche, et Hans Koerkemeier, ingénieur Porsche. La voiture semble tout droit revenu du rallye. Elle est dans la configuration de sa dernière course comme l’atteste un certain nombre de marquages. Trois Porsche 959 ont été engagées et ont été cette fois-ci (enfin) victorieuses dans ce rallye légendaire : #186 (Metge / Lemoyne) – 1ère place, #185 (Ickx / Brasseur) – 2ème place, #187 (Kussmaul / Unger) – 6ème place. Après cette belle victoire, les Porsche 959 ont pris leur retraite pour laisser la place à la Porsche 961 dans des courses d’endurance comme les 24 Heures du Mans.
Posté(e) : 19 mars 20187 a il y a 24 minutes, Pierre Grosjean a dit : le patrol ne le fait pas .... Ah bon pourquoi Pierre ?
Posté(e) : 19 mars 20187 a Il y a 1 heure, Ghislain36 a dit : Ah bon pourquoi Pierre ? trop long ou pas assez de garde au sol ? Modifié 19 mars 20187 a par torrot
Posté(e) : 19 mars 20187 a Mais si le patrol le fait ! tout dépend du rayon et du secteur à franchir! Regarede à 21 secondes!
Posté(e) : 19 mars 20187 a Référent Mécanique là la rampe a un angle de 45° soit 100% le patrol est officiellement donné pour 39° maxi
Posté(e) : 19 mars 20187 a 39° est l'angle d'attaque frontal max mais comme il y a une légère courbe entre le sol entre la rampe, ça pourrait peut-être monté, non ? L'autre question est est-ce qu'il arriverait à redémarrer dans la cote avec la position de son centre de gravité assez haut ?
Posté(e) : 20 mars 20187 a Référent Mécanique non, non ! maintenant nini doit se garder une sécurité sous le pied mais en toute sécurité le Y61 c'est bien 39°
Posté(e) : 15 avril 20187 a Auteur Allez, on retourne 54 ans en arrière (j'étais même pas né) pour de superbes images en noir et blanc du AFRICAN SAFARI KENYA
Posté(e) : 29 mai 20187 a Auteur Un superbe film de Jean louis MOUREY : "Aventure pour un Dakar" ou les péripéties de Peugeot et Ari Vatanen pour le lancement de la 405 T16
Posté(e) : 30 mai 20187 a Référent Mécanique Ohlala nous resservir le coup du vol de la 405 .... les tricheurs !
Posté(e) : 20 juillet 20186 a Auteur Il y a 30 ans, Vatanen domptait Pikes Peak et la Peugeot 405 T16 En 1988, Peugeot Sport vient pour la première fois défier la montée vers les nuages de Pikes Peak. Victoire au général, record d’Audi battu, et un film devenu mythique « climb dance ». En 1985, Audi remporte la montée de Pikes Peak avec une certaine Michèle Mouton au volant d’une Audi Sport Quattro S1. C’est la première Française à remporter la course. Pour l’anecdote, elle avait remporté la catégorie Open Rally l’année précédente mais échoué d’un rien au général. Audi met les moyens et domine durant 3 années consécutives la montée du Colorado. La dernière victoire, c’est 1987 avec Walter Röhrl et une version encore plus préparée pour l’épreuve de l’Audi Quattro. Revenons-en à Peugeot. Peugeot Talbot Sport (PTS) est créée fin 1981 sous la houlette de Jean Todt. Direction le rallye avec la 205 Turbo 16, épouvantail des rallyes 85/86. En 1987, Peugeot remporte le Dakar avec la 205 T16 et Ari Vatanen au volant. Elle remporte aussi l’épreuve en 1988. Peugeot tente de remporter Pikes Peak avec la 205. 3 voitures sont envoyées dans le Colorado en 1987 mais buttent sur le grand Walter et son Audi. La grande voiture lancée par la marque sochalienne à cette époque, c’est la Peugeot 405 (1987). Pour faire de la publicité à sa familiale, Peugeot exploite les 24 heures du Mans. Il y aura le record de vitesse des Hunaudières de 407 km/h mis à 405 km/h pour des raisons marketting, mais aussi le projet 905 avec une première version singeant les faces avant des voitures de route. Il y aura aussi le Dakar avec la 205 T16 remplacée par la 405 T16 Grand Raid pour les victoires 1989 et 1990, toujours avec Ari Vatanen. Et, il y aura donc cette montée de Pikes Peak, la revanche ! Peugeot prend ses pilotes maison, Vatanen et Kankkunen et deux 405 Turbo 16 aux couleurs PTS. L’objectif est la victoire au général, mais aussi de battre le record qu’Audi a abaissé à 10:47.850. A cette époque, la piste est encore en terre, recouverte de graviers, avec des morceaux en vieil asphalte, et la conduite est spectaculaire. Ari Vatanen remporte l’épreuve, et bat le record pour 630 millièmes ! 10:47.220. Le record tiendra 5 éditions avant d’être abaissé régulièrement jusqu’à atteindre 10:01.408 par Nobuhiro « Monster » Tajima sur Suzuki. Ensuite, c’est 2011 et la transformation définitive de l’épreuve. Kankkunen termine second et est très souvent oublié dans cette victoire de Peugeot à Pikes Peak 1988. A noter que la Peugeot 405 T16 remportera aussi l’épreuve en 1989 avec Robby Unser, fils de la légende de Pikes Peak Bobby Unser (10 fois vainqueur) et cousin de Al Unser Jr (double champion de CART et double vainqueur des 500 miles d’Indianapolis). Il faudra attendre 25 ans pour voir Peugeot retourner à Pikes Peak, avec la 208 T16 Pikes Peak et Sébastien Loeb. Climb dance Jean-Louis Mourey montera toutes les images disponibles de la victoire de Vatanen et produira le film « Climb dance ». Le court-métrage remportera 4 prix prestigieux, en France ou aux Etats-Unis. Il restera, et reste toujours, dans les esprits. C’était il y a 30 ans, c’était en terre, c’était une autre époque. Depuis 2002, la ville de Colorado Spring a été forcée de bitumer la montée de Pikes Peak. En effet, elle remettait régulièrement de la terre et des graviers pour refaire la route utilisée en temps normal surtout par des camping-cars. Attaquée en justice par une association de défense de l’environnement, la ville a perdu et a donc d s’engager à bitumer la route, seule solution pour ne plus déverser des tonnes de graviers. En 2011, la dernière portion de terre est supprimée et depuis, l’épreuve a complètement changée. La dernière production filmée, la montée victorieuse de Romain Dumas en VW électrique, est un exploit technique et humain, mais, ne procure pas la même sensation que cette montée il y a 30 ans. Pour le plaisir, on la regarde encore une fois, en version « remasterisée ».
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