Posté(e) : 4 avril 20187 a Auteur NISSAN NAVARA X-PEDITION Nissan revoit la gamme de son Navara. Le pick-up reçoit aujourd'hui une nouvelle finition haut de gamme ainsi qu'une énième série limitée. Il y a du nouveau dans la gamme du Nissan Navara. Premièrement, les finitions intermédiaire "Optima" et haut de gamme "Tekna" sont supprimées sur la version Double-Cab, tandis que le niveau "Tekna+" fait son apparition. Placé au sommet de la pyramide, celui-ci se distingue par une sellerie cuir, des sièges électriques, la navigation GPS ou encore la vision à 360° de série. Deuxièmement, le pick-up de Nissan se décline dans une nouvelle série limitée. Baptisée X-Pedition, cette édition reprend les équipements de la finition coeur de gamme "N-Connecta" (climatisation automatique bizone, caméra de recul, système multimédia Nissan Connect 7 pouces...) et dispose de série "d'un bac de benne composite, d'un arceau de benne chromé, d'un roll-cover et de tapis de sol spécifiques brodés X-Pedition". 200 exemplaires pour le nouveau Navara X-Pedition Extérieurement, elle se reconnaît à sa décoration de carrosserie spécifique et à son logo "X-Pedition". Disponible en trois coloris ("gris lunaire", "gris glacier" ou blanc), avec les dCI 160 ou 190 ch, et proposé uniquement en version Double-Cab, le Nissan Navara X-Pedition est accessible à partir de 34.500€, sous condition de reprise. Seuls 200 exemplaires sont proposés sur le marché français.
Posté(e) : 4 avril 20187 a Auteur NISSAN NAVARA "TUNGSTEN CARBIDE" EDITION Seulement dispo en Nouvelles-Zélande !!! Chez MANUKAU, en NZ, ils ont pris leur très populaire NP300 Navara Tungsten et fait encore mieux. Les caractéristiques du NAVARA de série comprennent une motorisation diesel double turbo 450Nm, une suspension arrière à cinq bras, une caméra de recul, une lunette arrière à commande électrique, une vitre de protection etc ... La superbe édition Tungsten CARBIDE ajoute un traitement de peinture personnalisé avec des ornements de corps noirs codés ou en couleur, des marches pieds latéraux peints sur mesure, et un grillage face et insert, poignées de porte, pare-chocs arrière et entourages antibrouillards; noir mat 20 Jantes en alliage avec pneus tout terrain; Barre Nudge avant Nissan GENUINE et Barre Sports arrière (tous deux spécialement enduits de poudre noire); Nissan GENUINE Deck Liner; Crochet d'attelage Nissan GENUINE et l'impressionnant ensemble graphique Tungsten CARBIDE. Prix à partir de 52 490 $ pour 2WD Manuel avec garniture en tissu standard, ajouter 3 495 $ pour l'intérieur en cuir Sports sur mesure en option pour compléter ce qui doit être le pick-up ultime!
Posté(e) : 4 avril 20187 a Auteur NISSAN NAVARA "TUNGSTEN CARBIDE X" Seulement dispo en Nouvelles-Zelandes !!! Voici l'étonnant nouveau NAVARA Tungsten CARBIDE X Le nouveau Tungsten CARBIDE X s'ajoute à la gamme très recherchée Tungsten (Ne cherchez pas, il n'y en a pas dans nos concessions NISSAN) Cette bête est elle le NAVARA ultime ? Certainement pas, rien de neuf au niveau moteur, ni intérieur, ni.....Bref, malgré tout pas grand chose de neuf Le pack CARBIDE X comprend : Des jantes en alliage noir mat de 20 pouces avec des pneus tout terrain, des protections de phares et de feux arrière, une barre de poussée avant et barre de sport arrière en noir satiné, revêtement de pont, attelage et tungstène CARBIDE X + pack graphique d'édition. Prix à partir de 54 490 $ pour 2WD Manuel, également disponible avec transmission automatique à 7 vitesse et options 4 roues motrices et en variantes ST-X -
Posté(e) : 6 avril 20187 a Auteur MERCEDES CLASSE G (LES TARIFS...) Mercedes vient de dévoiler les prix de son nouveau Classe G. Sur le marché français, le 4x4 débute à 110.700€ ! Dévoilé en tout début d'année puis exposé en mars à Genève, le Classe G de seconde génération s'apprête maintenant à faire ses débuts sur le marché français. Mercedes vient en effet de révéler les prix de son nouveau 4x4. Dans l'Hexagone, celui-ci débute donc à 110.700€ dans sa version 500 animée par un V8 4L biturbo de 422 ch et 610 Nm de couple (boîte automatique à 9 rapports). L'entrée de gamme "Style Line" est très bien fournie. Elle comprend de série les jantes de 18 pouces, le démarrage sans clé, la climatisation automatique trois zones, les sièges avant et arrière chauffants, le volant sport multifonctions en cuir Nappa, le système multimédia avec écran de 12,3 pouces et navigation GPS, l’aide au stationnement, la détection de fatigue du conducteur ("Attention Assist"), l'avertisseur de franchissement de ligne actif, le régulateur/limiteur de vitesse ou encore le système Dynamic Select avec quatre modes de conduite. Au-dessus, "Executive Line" ajoute le combiné d'instrumentation numérique "Widescreen" de 12,3 pouces, les projecteurs LED ainsi que le "Pack Acier Inoxydable" (marchepieds, seuils de portes...) Enfin, "AMG Line" dispose en plus d'un kit carrosserie spécifique, d'un système d'échappement sport et de jantes alliage de 20 pouces. Le féroce G 63 fait le plein d'équipements La version radicale G 63 (V8 4L biturbo de 585 ch et 850 Nm) reprend elle les équipements de la finition "Style Line" avec en plus : des jantes alliage de 20 pouces, un kit carrosserie AMG, des projecteurs LED, le combiné "Widescreen", un pack intérieur spécifique (sièges en cuir, buses d'aération chromées...), un système audio à 15 haut-parleurs, un toit ouvrant électrique en verre, l'amortissement adaptatif réglable ("AMG Ride Control") ou encore le système de freinage hautes performances AMG. Tous les prix du nouveau Mercedes Classe G G 500 V8 422 BVA9 Style Line : 110.700€ G 500 V8 422 BVA9 Executive Line : 115.600€ G 500 V8 422 BVA9 AMG Line : 119.100€ G 63 V8 585 BVA9 : 164.500€
Posté(e) : 9 avril 20187 a Auteur JAGUAR J-PACE En 2015, il avait été plusieurs fois question de voir Jaguar positionner un SUV au-dessus de son F-Pace. Depuis, les rumeurs avaient disparu. Les Anglais de Autocar reviennent aujourd’hui à la charge en assurant qu’un J-Pace est bien prévu pour l’année 2021. Son principal concurrent serait tout désigné : il s’agit du Porsche Cayenne. Pour concevoir ce J-Pace, Jaguar ne partira pas tout à fait d’une feuille blanche, sachant que la marque fait cause commune, au sein de l’entité JLR, avec Land Rover. Ainsi le J-Pace reprendrait-il les boîtes et les motorisations du Range Rover. Il pourrait donc être proposé dans une version hybride. Les prix du J-PACE devraient débuter aux alentours de 92 000 euros Au moment de l’arrivée sur le marché du J-Pace, Jaguar disposera de trois SUV à son catalogue avec, en plus, le E-Pace et le F-Pace. Offre à laquelle il conviendra d’ajouter le crossover électrique I-Pace dévoilé au salon de Genève 2018.
Posté(e) : 29 avril 20187 a Auteur VENUCIA X Marque low cost du tandem Dongfeng-Nissan lancée au début de la décennie, Venucia a dévoilé au salon de Pékin un concept-car baptisé tout simplement X. Présenté comme une étude stylistique, « l’objectif du design du “X” est de dégager un fort impact visuel, avec une impression mêlant luxe et puissance », annonce Nissan. L » objectif est atteint avec un gabarit proche de l’Infiniti QX80 et des roues de grande taille. Le Venucia X est plutôt réussi même si on ne peut s’empêcher de lui trouver un air de Range Rover. Nissan ou Venucia n’ont fourni aucun autre détail. Nous ne pouvons pas vous dire si elle utilise un moteur à combustion interne, un moteur hybride ou un moteur électrique
Posté(e) : 29 avril 20187 a Auteur il y a 5 minutes, Samarien a dit : c'est vrai qu'il a des airs de l'evoque . C'est vrai....Evoque by NISSAN
Posté(e) : 29 avril 20187 a Auteur HYBRID KINETIC K350 by PININFARINA Hybrid Kinetic doit encore commercialiser son premier véhicule, mais présente déjà à Pékin son projet numéro 5 avec le crossover K350 dû comme tous les autres projets au crayon de Pininfarina. La nouvelle marque chinoise présente cette année un modèle « compacts » avec le K350, que l’on positionnerait face aux X3, GLC, XC60 ou Q5. A bord, l’univers du SUV se fait plus ouvert, avec un très grand écran panoramique face aux occupants des place avant, et qui disparaît totalement en se repliant dans la planche de bord à l’arrêt. Un écran de commande central, « flottant » au niveau de la console centrale et à portée de main. Question mécanique, le K350 est entrainé par une motorisation électrique annonçant pour l’heure « plus de 300 kW » (408 ch), une autonomie de 1000 km, une vitesse maximale de 250 km/h et un 0 à 100 km/h en 4,7 s pour le SUV. Rappelons toutefois qu’Hybrid Kinetic se propose d’équiper ses véhicules de générateurs d’électricité embarqués, sous la forme de turbines. Les 1000 km d’autonomie ne représentent donc pas ici un roulage 100% électrique.
Posté(e) : 29 avril 20187 a Auteur BMW iX3 BMW avait jusqu’à maintenant gardé ses véhicules électriques en dehors de sa gamme principale. Avec le BMW iX3 Concept dévoilé au salon de Pékin, le constructeur entre dans une nouvelle ère. Basée sur la troisième génération du X3, cette version électrique en diffère par la plupart des prises d’air fermées et l’absence de tuyaux d’échappement. Au final, le BMW iX3 Concept affiche un dessin plus épuré. Comme l’avait annoncé le teaser, la version électrique du X3 reçoit une nouvelle calandre fermée qui se démarque par l’absence de séparation entre les deux fameux haricots. Certains y verront une certaine familiarité avec la calandre « Tiger Nose » de Kia. La vraie nouveauté ici est cependant ce qui se cache derrière cette calandre. le BMW iX3 Concept embarque un moteur électrique de 200 kW (270 ch), soit un peu plus que les X3 xDrive30i et xDrive30d, mais moins que le M40i. Pour le moment, le moteur électrique reste le roi chez le constructeur bavarois. BMW n’a pas donné de précisions quant aux performances. Ce moteur est annoncé comme plus compact que celui de la BMW i3. Le constructeur annonce également que ce moteur peut être produit sans terre rare. Le moteur électrique est alimenté par un pack de batteries de 70 kWh qui permet à BMW d’annoncer une autonomie de 400 km en cycle WLTP. À l’instar de l’Audi E-tron, l’iX3 Concept est équipé d’un système de recharge 150 kW permettant de recharger la totalité de la batterie en 30 minutes. Prévu pour arriver sur le marché courant 2020, le BMW iX3 sera produit en Chine et exporté vers l’Europe et les États-Unis.
Posté(e) : 1 mai 20187 a Auteur FORD F150 VELOCIRAPTOR 6X6 By HENNESSEY L'heure est venue de se pencher sur le prix du Ford Vélociraptor 6X6, présenté en décembre 2017,qui vient d'être officialisé par le préparateur texan : comptez quand même 349'000 $, soit à peine moins de 300'000 €. Quand on sait que le F-150 Raptor commercialisé par la firme de Dearborn coûte de base 49'520 $, un peu plus de 41'000 €. Ça fait quand même 150'000 $ (127'700 €) la roue supplémentaire ! C'est évidemment un raccourci un peu facile puisqu'en réalité, le VelociRaptor 6x6 est un peu plus préparé que ça dans les ateliers de Hennessey, connu également pour des préparations moteur musclées. C'est ainsi que le V6 3.5L biturbo délivrant 450 ch d'origine sur le F-150 Raptor grimpe à 600 chevaux sur ce VelociRaptor 6X6, pour un couple 843 Nm. Côté performance, on parle d'un 0 à 96 km/h en 4,9 secondes. Le mastodonte est chaussé de jantes de 20 pouces et de pneus Toyo Open Country, de suspensions Fox... Seuls 50 exemplaires du Hennessey VelociRaptor 6x6 seront produits. Pour ceux qui seraient passés à côté du Mercedes... À noter enfin qu'une version 4 roues du Hennessey Raptor est également proposée sur le même modèle, bodybuildé lui aussi à 600 chevaux. 100 exemplaires seront assemblés.
Posté(e) : 12 mai 20187 a Après Bentley c'est au tour de Rolls-Royce de présenté son SUV le Cullinan .. (5,34 m de long pour 2,16 m de large), avec un long capot abritant le célèbre V12 de 6,75 litres, produisant ici 571 chevaux. Avec un couple maxi de 850 Nm présent... dès 1,600 tours/minute Modifié 12 mai 20187 a par Gr a donf!!
Posté(e) : 12 mai 20187 a Je le trouve aussi imposant que le SUV Bentley, le devant est plutôt sympa. Reste à connaître le prix dans les mois à venir 😱
Posté(e) : 23 juillet 20186 a Auteur PORSCHE CAYENNE COUPE 2019 Il aura fallu attendre la troisième génération de Porsche Cayenne pour que l’emblématique SUV se mue enfin en coupé. Voila près d’un an que la rumeur enflait, quant à l’arrivée d’un rival du BMW X6, chez Porsche. De récents clichés, émanant de paparazzi, confirment le développement de ce Cayenne à « profil bas ». Une rumeur qui se confirme Selon Autocar, lors du salon de Francfort 2017, un responsable de la firme de Zuffenhausen aurait lâché le morceau : Porsche envisagerait sérieusement une déclinaison coupé du Porsche Cayenne. Qu’on apprécie ou pas ce type de silhouette, Porsche afficherait cependant davantage de légitimité que ses concurrents, en raison de sa filiation avec la 911. Assumer sa filiation avec la 911 BMW fût le premier à oser cette chute de pavillon caractéristique sur un SUV, en dégainant son X6 dès 2007, suivi par le X4 en 2014. Mercedes patientera jusqu’en 2015 pour s’offrir les services du GLE Coupé, puis du GLC Coupé, plus récemment. Audi, de son côté, résiste encore à l’appel des sirènes… ou plutôt des cachalot, dixit les esprits chagrins. Même le récent Q8 se refuse à un costume aussi radical. Coupé… mais 5 portes Bien qu’on le jargon automobile le considérera comme un SUV coupé, cette future déclinaison de Porsche Cayenne reconduidra une architecture 5 portes. En effet, les crossovers 3 portes ne font pas recette, comme le prouvent les ventes anecdotiques du Range Rover Evoque, dans cette configuration. D’ailleurs, Land Rover n’offrira pas de descendance à la prochaine génération, attendue en 2019. Sous le capot du futur Porsche Cayenne Coupé, toutes les motorisations de l’actuel « break » seront les bienvenues, ainsi que les prochains blocs hybrides rechargeables. De même, il fera l’impasse sur les moteurs diesel, suite aux soupçons de tricherie aux émissions polluantes ayant affecté le précédente opus. Potentiellement révélé fin 2018 à Los Angeles, ou début 2019 à Détroit, il pourrait aussi attendre Genève, en mars prochain pour faire ses premiers pas, juste avant sa commercialisation. Son tarif de base devrait approcher les 80 000 €, selon notre estimation.
Posté(e) : 26 juillet 20186 a Auteur SKODA KODIAQ SCOUT 4X4 Peu de gens osent aventurer leurs SUV sur des chemins hostiles empruntés par des 4X4 de franchissement. Nous, nous avons amené un Skoda Kodiaq sur un terrain au premier regard bien trop rude pour lui… Avec les beaux jours, nous avons mis à l’épreuve une déclinaison 4X4 TSi de 150 chevaux au cœur du vignoble bourguignon et sur le terrain d’un club 4X4. On découvre ainsi le SUV tchèque sous un nouveau jour. On est plutôt bien installé dans ce grand véhicule, qui s’appréhende assez facilement avec une bonne position de conduite. Les premiers kilomètres de route nous permettent d’en apprécier paisiblement le bon confort, bercé par la musique de notre smartphone. Puis nous nous sommes rapprochés des coteaux, pour emprunter des chemins serpentant au milieu des vignes. Une garde au sol correcte pour les chemins Ces étroits et escarpés axes utilisés principalement par des engins agricoles, on ne peut pas vraiment les qualifier de « billard ». Sauf qu’au volant d’un Kodiaq, on avale les bosses et autres creux sans difficulté, là où avec une berline on passerait son temps à ralentir par peur de faire frotter les soubassements. Ici, la garde au sol fait surtout la différence. Avec ce temps sec, on ne note pas de problème de motricité, et ça nous paraît bien normal. En s’enfonçant dans la forêt, tout d’abord on avoue que sans notre guide, nous n’y serions pas allés. Là encore, la hauteur de notre Kodiaq suffit à se jouer des trous et autres flaques qui jonchent notre chemin. Un Octavia Scout qui faisait partie de notre petit convoi s’en sortait tout aussi bien. Même la transmission 4X4 intelligente dans ces conditions n’apportait pas un gain important. La forêt ne lui fait pas peur Évidemment on aurait peut-être un discours différent sur ces mêmes chemins un jour de pluie. A cet instant on culpabilisait juste d’avoir allégrement sali notre SUV tchèque, que nous avions récupéré tout propre au départ. Après cette petite balade forestière qui nous a permis de découvrir les paysages des vignes de Grand Crus, nous nous dirigions vers notre pause déjeuner, avant d’entamer le plus gros morceau de la journée. Rendez-vous était pris sur le terrain du Team 4X4 Bourgogne à Arcey près de Dijon. L’association dispose ici de pentes rocheuses très escarpées, mais aussi de trous d’obus pour mettre à l’épreuve les plus remarquables franchisseurs. Croyez-nous sur parole, même au volant d’un Classe G ou d’un Defender, vous n’oseriez pas vous aventurer ici sans inquiétude. Alors avec un Kodiaq… Nul besoin de modes spéciaux Franchement, on manquait de confiance avant de s’atteler à gravir tout ça. Pour nous guider, un instructeur à pieds nous devançait pour nous assister dans le placement idéal des roues. Mais pour le reste, la voiture et votre serviteur allaient devoir faire le travail. Avec des pneus pour la route et la transmission intégrale 4X4 automatique, la mission s’annonçait plutôt périlleuse, voire impossible. Point donc de modes « grimpe aux arbres » ou « Camel Trophy » pour nous assister. Non, ce ne fut pas une mince affaire, à cause du grip des gommes. Il faut ainsi oser mettre de l’accélération progressivement, dans un endroit on a peur de voir la voiture bondir dans un arbre, ou basculer en contre-bas. On augmente doucement le régime moteur, pour forcer le patinage sur la roue qui grippe le moins, et ainsi modifier la distribution du couple qui se transfert là où ça accroche le mieux. Finalement, grimper ne fut pas le plus difficile pour notre Kodiaq. On reste toutefois bouche bée, on ne s’imaginait pas réussir. Il lève la patte comme les vrais 4X4 Ensuite, il nous fallait affronter des trous d’obus pour le mettre dans des positions délicates, avec un croisement de ponts à la clé. Sur ce terrain sec fait d’herbe et de terre, là aussi il s’en sort, avec juste une gestion du frein ou de l’accélérateur. Pour rappel, nous ne disposions pas de modes sophistiqués. La garde au sol (194 mm) s’avère malheureusement assez pénalisante ici, ce qui expose les jolis boucliers. Toutefois, il n’hésite pas à lever allégrement la patte pour passer là où on a envie de mettre plutôt la marche arrière… ou de chercher une pelle pour aplanir le chemin. Cela au prix toutefois de quelques frottements dus aux angles d’attaque (20,1°) et de fuite (22,8°) qui ne favorisent pas les manœuvres. Malgré les quelques coups de griffes sur ses dessous, il a passé l’examen ! Bon sur route, étonnant en tout-terrain ! Logiquement, les meilleurs du genre nous auraient rendus l’atelier bien plus aisé. Néanmoins on découvre ici que le Skoda, un SUV de tous les jours, peut se révéler bien plus polyvalent qu’on ne le pense. Le compromis nous paraît même meilleur, car il couvre plus de situations, avec le reste du temps un confort sur route impérial. Ce qui n’est pas toujours le cas d’un 4X4 plus spécialisé. LES CHIFFRES
Posté(e) : 26 juillet 20186 a Auteur VOLKSWAGEN T-ROC 150CH 4MOTION Où se place ce fameux T-Roc ? En dessous du Tiguan et au-dessus du futur T-Cross. Et question look il va se différencier nettement du reste de la fratrie des modèles T, qui désigne désormais tous les SUV du constructeur. Direction le Cap Corse pour en prendre le volant. Un 4motion suffisant pour le tout chemin Entrons directement dans le vif du sujet en nous rendant au cœur du massif de la pointe nord de l’Ile de Beauté. C’est armé de la transmission 4X4 4Motion que nous nous attaquons à une piste défoncée, qui nous mène à chapelle Notre Dame Des Grâces. Et sur ce terrain cabossé, notre valeureux T-Roc s’en sort sans trop de difficulté. L’opération s’avère en plus simplifiée par la boite automatique et les programmes électroniques gérant la motricité et la distribution du couple entre les essieux. Toutefois, malgré des porte-à-faux courts, on garde on garde un œil sur le placement de nos roues, pour éviter d’abimer les parechocs et les soubassements, car il n’est pas non plus fait pour le franchissement. D’autant que l’essentiel des ventes se fera sur les versions à 2 roues motrices… Un style atypique dans la gamme Volkswagen Mais prenons le temps maintenant de nous arrêter pour faire le tour de notre camarade de jeu du jour. C’est sous la bienveillance des cieux corses que nous observons ce T-Roc, dans un coloris particulièrement démonstratif. Il arbore un style qui le démarque franchement du reste de la gamme Volkswagen par trop classique. L’avant reprend presque trait pour trait celui du concept qui annonçait son arrivée. Les feux de jours à LED en forme de flèches lui donne une personnalité bien à lui. Son profil plutôt ramassé pour un crossover, dynamise son style. En revanche à l’arrière, on se rapproche clairement du Tiguan, mais avec une vitre de coffre bien plus pentue. Une finition en retrait La présentation du T-Roc joue la carte de la couleur, à laquelle la marque ne nous a pas habitué. Les grandes zones de couleur, jaune ici, sont habillées d’un plastique satiné assez agréable au toucher. Et si les assemblages sont précis et semblent robustes, les plastiques employés ne sont pas tous du meilleur niveau. Durs, ils sonnent creux et leur aspect n’est pas aussi bien harmonisé entre planche et porte qu’il le devrait… Le T-Roc fait ainsi figure de mauvais élève sur le segment surtout à ce prix, et des C-HR ou HR-V, deux de ses concurrents les plus proches, font bien mieux. Couple moteur / boite efficace En repartant sur les routes tortueuses de cette belle partie de Haute-Corse, on profite de notre moteur 2 litres TDi de 150 chevaux, bien connu de la maison Volkswagen. Associée à la boite DSG 7, il facilitait la gestion de la puissance dans l’épreuve des chemins défoncés. Sur la route, on profite aussi du couple qui arrive avec douceur quand on ne le sollicite pas. Bonus, sans pour autant rager haut dans les tours, il permet des reprises énergiques dans toutes les phases de conduite. On le trouve juste un trop sonore quand on sonne la charge. En termes de comportement, il y a peu à dire, du moment qu’on ne le prend pas pour ce qu’il n’est pas, une sportive. Malgré la hauteur de caisse, le T-Roc limite le roulis et va peu tâter ses butées. On le trouvera surtout un peu raide sur les raccords de bitume et les bosses abordées à basse vitesse. Rien de rédhibitoire pour autant (quoique vu l’état de certaines routes…), mais les Français notamment gèrent bien mieux à ce niveau le compromis confort / dynamisme. Des prestations de Tiguan, pour moins cher À 35 380 €, oui notre T-Roc paraît plutôt cher. Toutefois il s’agit d’un joli coup pour Volkswagen qui propose une alternative à ceux qui trouvent le Tiguan trop onéreux. On peut ainsi profiter de prestations quasi similaires à celles du grand frère, si on n’a pas nécessairement besoin d’autant de place. Le tout en évitant l’explosion du portefeuille. De façon général, ce T-Roc reste néanmoins plus cher que des C-HR, HR-V ou même Qashqai, et se rapproche en fait plus de la référence 3008… LES CHIFFRES
Posté(e) : 26 juillet 20186 a Auteur JAGUAR E-PACE P300 Avec son E-Pace, Jaguar propose certainement l’un des plus beaux SUV du marché. Un modèle compact mais qui souffre d’un léger embonpoint. Cela ne l’empêche pas d’offrir de solides performances dans la version P300 essayée, ce qui se paye toutefois cher à l’heure de calculer le malus. Avec le F-Pace apparu en 2015, les équipes design de Jaguar avaient déjà signé un très beau SUV, parvenant à rendre un véhicule de cette catégorie directement reconnaissable en tant que Jaguar. Un travail consacré par le titre de plus belle voiture du monde en 2017 mais aussi par de belles ventes au sein de la gamme. Deux ans plus tard, Jaguar se relance dans la catégorie des SUV avec un modèle plus compact. Le Jaguar E-Pace présente un style plus musclé avec des hanches puissantes et des roues repoussées aux quatre coins. Bien que les catégories soient très différentes, l’inspiration du coupé F-Type est bien sensible, notamment avec les optiques arrière mais aussi avant. Et pour plus de dynamisme encore, l’E-Pace peut être chaussé de jantes de 21 pouces. Tous les goûts sont dans la nature mais en toute… subjectivité, il s’agit d’une belle réussite sur le plan stylistique et sans doute l’un des plus beaux SUV existants. Derrière ces attributs extérieurs et malgré une longueur limitée à 4,39 mètres, le Jaguar E-Pace parvient à ménager un bel espace pour ses occupants. Le coffre offre un généreux volume de 577 litres grâce à la compacité de la suspension arrière. Un volume facilement exploitable qui peut passer à 1.234 litres si l’on rabat la banquette 60/40. À l’arrière, l’espace aux jambes atteint 892 mm et deux voire trois passagers peuvent être accueillis confortablement. Ils profiteront d’une prise 12 volts ou, en option, de trois ports USB de 5V. Les connexions se montrent d’ailleurs généreuses avec au total cinq ports USB, quatre prises 12 volts et une borne wifi 4G permettant de connecter huit appareils. Une possibilité dont l’intérêt nous paraît limité, chacun ou presque disposant désormais d’un smartphone connecté. À l’avant, le Jaguar E-Pace offre deux sièges plutôt confortables même si on peut leur reprocher un soutien parfois gênant pour le haut du dos. Chauffants, ventilés et électriques sur notre modèle d’essai, ces sièges sont séparés par une console centrale pouvant accueillir quatre grandes bouteilles d’eau. De manière générale, les finitions sont soignées même si on déplore l’aspect visuel des plastiques entourant les boutons de la climatisation et l’écran du système d’info-divertissement. Appelé Touch Pro, ce système a recours à un écran de 10 pouces en série et affiche une interface déjà vue dans d’autres modèles des marques Jaguar Land Rover. Si elle se montre plutôt esthétique, on pestera en revanche contre quelques détails ergonomiques et certains ralentissements. Derrière le volant, on retrouve un deuxième écran de 12,3 pouces qui remplace les compteurs et permet d’afficher la carte en plein écran. En matière de sécurité, le Jaguar E-Pace fait le plein d’aides à la conduite. Une caméra stéréo est utilisée pour le freinage d’urgence avec détection des piétons ainsi que l’assistance au maintien de trajectoire, la reconnaissance des panneaux de signalisation, le limiteur de vitesse adaptatif et le détecteur de fatigue du conducteur. On peut aussi citer la présence d’un airbag pour les piétons, d’un système de surveillance des angles morts ou d’un très pratique système d’affichage tête haute. le Jaguar E-Pace a récolté les 5 étoiles lors de la séance de crashs-tests de l’Euro NCAP fin 2017. Un peu lourd le petit Jaguar Contrairement à son grand frère, le Jaguar E-Pace ne repose pas sur une structure en aluminium (à 80%). Il emprunte la base technique du Range Rover Evoque et repose sur un châssis inédit qui s’appuie sur le concept de suspension arrière Integral Link compacte qui offre un débattement généreux. Utile pour les rares clients qui emmèneront le Jaguar E-Pace hors des sentiers battus. Mais ce qui concernera plus largement les utilisateurs, c’est le surpoids du Jaguar E-Pace qui se montre plus lourd que nombre de ses concurrents et même que son grand-frère ! Ainsi, quand le F-Pace au 2,0l essence affiche 1.770 kg sur la balance, le petit E-Pace fait grimper l’aiguille jusque 1.894 kg ! Une valeur qui concerne la version essayée équipée du 2,0l Ingenium essence de 300 chevaux associée à une transmission intégrale et à une boite automatique à neuf rapports mais comptez encore 120 kg de surpoids pour le diesel de 150 chevaux traction à boite manuelle. Dans le cas de notre modèle, ce poids élevé ne s’est pas traduit par un quelconque manque de performances. Bien aidé par son bloc de 300 chevaux et 400 Nm ainsi que par sa transmission à quatre roues motrices et sa boite rapide, le Jaguar E-Pace P300 peut abattre le 0 à 100 km/h en 6,4 secondes. Les reprises se montrent tout aussi promptes et permettent au SUV compact de se montrer plutôt dynamique. Il se veut agile grâce à son empattement assez court mais ne peut toutefois masquer son embonpoint en courbe. On apprécie la direction plutôt précise tandis que la suspension offre aussi un bon mix entre dynamisme et confort. Malgré ses bonnes dispositions, on reprochera au Jaguar E-Pace P300 la sonorité de son quatre-cylindres 2,0l qui manque clairement de raffinement. Budget Au moment d’aborder le chapitre budgétaire, l’embonpoint de l’E-Pace révèle toute son importance. Dans cette version P300, la consommation mix officielle est donnée pour 8,0l/100 km. Lors de notre essai, nous avons noté une consommation réelle proche des 11l sur parcours mix et de 7,5l aux vitesses légales sur autoroute. Attaquer pendant quelques kilomètres aura fait monter l’indicateur de l’ordinateur de bord jusqu’à 24l/100km La consommation officielle élevée expliquée par la puissance, le poids et la transmission intégrale se paye cash au moment de calculer le malus. Avec des émissions de CO2 de 181 g/km en cycle combiné, le malus grimpe ainsi à 9.353€ qui s’ajoute au montant de 53.750€, prix de la version d’accès de la P300. Un malus qui paraitra malheureusement rédhibitoire à certains clients potentiels. Heureusement, l’E-Pace diesel de 150 chevaux ne souffre d’un malus que de 90€ avec ses émissions de CO2 fixées à 124g/km Quant au tarif de notre version d’essai richement équipée, il atteint 76.911 €. LES CHIFFRES
Posté(e) : 26 juillet 20186 a Auteur JEEP GRAND CHEROKEE SRT Nouveau restylage pour le Jeep Grand Cherokee. Une mise à jour esthétique et technique qui profite également à la turbulente version SRT. Un 4×4 version dragster qui, avec son énorme V8 et sa gueule de yankee pourrait bien séduire les lassés de la rigueur germanique. Style extérieur On aurait pu imaginer que cet américain en ferait des tonnes pour suggérer ses velléités sportives. Et pourtant, ce SRT ferait presque dans la discrétion. Le très léger restylage est loin de bouleverser le look de ce gros bébé gavé aux hormones. Le bouclier largement ouvert, la calandre noire et affinée, les prises d’air sur le capot les jantes noires de 20 pouces et les deux grosses sorties d’échappement à l’arrière… Voilà les éléments qui vous permettront de reconnaître la version SRT. Et si cela ne vous suffit pas à reconnaître cette déclinaison, tendez l’oreille… Style intérieur et équipement A bord, le restylage n’aura pas non plus chamboulé le dessin de l’habitacle. Tout juste pouvons-nous noter la présence d’un nouveau levier de vitesse. Pour le reste, on retrouve l’agencement des Jeep Grand Cherokee classique, seul le logo SRT trônant fièrement au centre du volant est là pour vous rappeler la férocité de la bête. Dans l’ensemble le dessin de la planche de bord manque de modernité (l’actuelle génération du Grand Cherokee est sur le marché depuis 2011 tout de même) malgré les quelques améliorations portées par ce restylage présenté au dernier Mondial de Paris. La qualité de fabrication, très US, ne peut évidemment pas rivaliser avec les productions d’Outre-Rhin d’où sortent des 4×4 tirés à quatre épingles. Le Jeep Grand Cherokee SRT se rattrape avec un niveau d’équipement généreux comprenant notamment les sièges sport en cuir Nappa et daim, des jantes en alliage de 20 pouces, le toit ouvrant panoramique, la sono Harmann Kardon de 825 watts (!) et quelques aides technologiques comme le régulateur de vitesse adaptatif, l’aide au maintien en file, l’avertisseur d’angle mort, la caméra de recul ou l’assistance au stationnement. Châssis et motorisation Sous le capot de ce bodybuilder, on retrouve une pièce rare, même unique dans le segment : un énorme V8 cubant pas moins de 6,4l. Particularité maison, ce moteur présente des chambres de combustions hémisphérique (d’où son nom, HEMI) lui permettant d’y intégrer de plus grosses soupapes. Sans aucune assistance respiratoire, ce monument développe 468 ch. C’est plus ou moins la puissance développée par des rivaux plus affûtés comme le Porsche Cayenne GTS (440ch) ou pourquoi pas le Audi SQ7, malgré son V8 diesel de 435 ch. Au démarrage, le glouglou typique des big blocks américains est absent, il n’y a qu’en plein charge que la sonorité vous hérisse le poil. Et c’est malheureusement la plus grosse sensation qu’il vous procurera. Plutôt linéaire, la puissance déboule progressivement, quand des rivaux – allemands toujours – affichent des performances plus percutantes, il faut dire, c’est vrai, avec des moteurs souvent gavés par des turbos et autres compresseurs. Mais le Jeep Grand Cherokee SRT est loin d’être ridicule avec un 0 à 100 km/h bouclé juste en dessous de la barre des 5 secondes. Un mode Launch Control chronométrant vos performances vous permettra de vous exercer à cette épreuve. Sur la route Bonne surprise. Les origines de ce 4×4 supersonique et son poids de 2,4 tonnes auraient pu laisser augurer d’un comportement pataud et d’un châssis à la précision aléatoire. Mais bien aidé par des réglages spécifiques et une suspension pilotée, ce SRT ne crée aucune mauvaise surprise. Le comportement est sain à défaut d’afficher la légèreté et la vivacité d’un BMW X5M par exemple. Il est facile d’atteindre ses limites mais vous pourrez le mener à un bon rythme sans trop d’arrière-pensée. Au final son plus gros défaut sur la route, c’est sa direction, beaucoup trop démultipliée pour un voiture à vocation ‘‘sportive’’. Les plus pointus d’entre vous pourront entrer dans les pages spécifiques du système d’infotainment UConnect pour peaufiner indépendamment les réglages de la direction, de la boîte de vitesse ou des trains roulant. Tarifs et conclusion Affiché à partir de 84.700 euros, le Jeep Grand Cherokee abat sa carte maîtresse dans la bataille budgétaire. Ses rivaux ne peuvent s’aligner, s’affichant à minima 20 à 40 000 euros plus chers. Alors oui, un Mercedes GLE 63 AMG est plus puissant et plus luxueux, un BMW X5M affiche de meilleures dispositions sur la route et un Porsche Cayenne GTS mènent les débats en matière de sportivité. Mais le Jeep Grand Cherokee SRT s’adresse davantage à ceux qui veulent rouler différent, avec un 4×4 exotique doté d’un moteur gros comme ça et à la sonorité dantesque. Une carte d’identité qui le rend terriblement attachant malgré ses défauts. LES CHIFFRES
Posté(e) : 26 juillet 20186 a Référent Mécanique j'aime le commentaire sur le moteur de la Jeep SRT qui possède des chambres de combustion hémisphériques (présenté comme une nouveauté) ... Le moteur de la 203 en 1949 avait déjà ces chambres
Posté(e) : 26 juillet 20186 a Et ce n'est pas non plus la 1ère américaine à en être équipée @kriyo fais nous un petit article sur ce 4x4 à l'ancienne comme on les aime et vert pomme comme un cayenne coupé
Posté(e) : 27 juillet 20186 a Auteur SUZUKI JIMNY 2018 Il n'y a qu'à demander Guislain @Ghislain36 Après plusieurs fuites, le nouveau Suzuki Jimny se montre enfin de manière officielle, à travers plusieurs images, montrant ses formes modernisées. Sous son capot, un seul moteur sera disponible en Europe, un 1,5 litre essence de 100 chevaux. On ne peut pas vraiment dire que le secret autour de la révélation du nouveau Suzuki Jimny eut été bien gardé. Et pour cause, ce n’est qu’après plusieurs fuites que le petit baroudeur nippon se dévoile enfin officiellement, tout du mois de manière partielle avant sa présentation définitive en juillet prochain. Après 20 ans au catalogue, le Suzuki Jimny troisième du nom laisse place à une nouvelle génération commercialisée ce 5 juillet 2018 au Japon. Le constructeur dévoile à cette occasion les caractéristiques de son nouveau petit baroudeur, qui reste fidèle au concept original Extérieurement, les évolutions sont assez nombreuses, avec un design globalement plus carré, évoquant çà et là le Mercedes Classe G. Il est légèrement plus court que son prédécesseur avec 3,48m de long hors roue de secours accrochée au coffre, ou 3,65m avec. Il est en revanche un peu plus large et plus haut avec respectivement 1,65m et 1,73m. L'empattement est toujours de 2,25m. Le tout-terrain trois-portes dispose de quatre places et d'un coffre allant de 85L à 377L. Il pèse 1.090kg à vide et repose sur des jantes de 15 pouces. Le nouveau Jimny affiche un angle d'attaque de 37°, un angle de crête de 28° et un angle de fuite de 49° grâce à ses porte-à-faux courts et sa garde au sol de 21cm au centre. Il repose sur un châssis-échelle et dispose d'une suspension à trois bras avec essieu rigide à l'avant comme à l'arrière. Le petit SUV est sans surprise livré de série avec la transmission intégrale Allgrip. Il se dote par ailleurs de plusieurs systèmes d’aide au franchissement, dont le Hill Hold Control, ainsi que le Hill Descent Control, permettant de monter et descendre des côtes sans effort de la part du conducteur. Sous son capot, le nouveau Suzuki Jimny embarque un bloc quatre-cylindres essence 1,5L atmosphérique développant 102ch à 6.000 trs/mn et 130Nm de couple à 4.000 trs/mn., associé à une boîte manuelle à cinq rapports de série, ou automatique à quatre vitesses en option. Il est couplé à une transmission intégrale débrayable, faisant alors du Jimny une propulsion, et un boîtier de transfert permet de raccourcir les rapports de boîte. Suzuki a doté ce Jimny d'un système de gestion du couple agissant sur les freins simulant un blocage de différentiel. La firme nippone annonce une vitesse de pointe toujours modeste de 145 km/h. Coté taxe carbone Pas de modèle à hybridation légère ou de 2 roues motrices au programme. Suzuki n'a donc pas dénaturé le Jimny, il reste un vrai baroudeur, tendance rustique ! Et cela se sent en matière de bilan écolo, avec des consommations en cycle mixte comprises entre 6,8 et 7,5 l/100 km et des rejets de CO2 de 154 et 170 g/km en fonction de la boîte de vitesses, selon le cycle de mesure NEDC, ce qui entraînerait des malus de 2.940 et 6 300 €. Pire, avec le nouveau cycle plus sévère WLTP, c'est 178 et 198 g. Côté design, le nouveau Jimny reprend des attributs des trois générations qui l'ont précédé parmi lesquels un look anguleux, des feux avant ronds, une calandre à lamelles verticales, un capot presque horizontal ou encore des feux arrière combinés dans le bouclier. Un intérieur modernisé Alors que l’extérieur change de manière notable par rapport à la précédente génération, l’intérieur évolue également beaucoup. Si l’ensemble reste évidemment très rustique, véritable marque de fabrique de ce Suzuki Jimny, il se modernise néanmoins, avec l’arrivée d’un nouvel écran tactile flottant de 7 pouces, surmontant la planche de bord, qui accueille un système d’infodivertissement modernisé. L'habitacle à la finition noire se veut avant tout fonctionnel selon le constructeur, et simple d'utilisation même avec des gants. D'après Suzuki, l'angle droit entre la planche de bord et la console centrale, surmontée d'un écran, aide le conducteur à déterminer l'inclinaison du véhicule. L’ensemble gagne en qualité perçue et opère un véritable coup de jeune, par rapport à une version précédente très vieillissante. Sans surprise, le Jimny quatrième du nom fait un bond en avant par rapport à celui qu'il remplace en termes d'équipement et de sécurité. Aide au démarrage en côte, contrôle de descente, freinage d'urgence autonome, six airbags, reconnaissance des panneaux, alerte de franchissement de ligne, aide au maintien dans la voie ou encore feux de route adaptatifs sont au catalogue. Le Jimny est produit au Japon, à Kosai. Sa date de lancement, ses spécifications et ses tarifs pour la France restent à connaître et pour ça, Il faudra patienter jusqu’à sa présentation officielle au prochain Mondial de Paris...
Posté(e) : 28 juillet 20186 a Quand le Lada Niva a été retiré du catalogue il y en avait pour plus cher de malus que de véhicule . Le malus devait être plafonné à 10% du prix catalogue du véhicule de sorte à ce qu'un gars qui se paye une Ferrari il banque car il a les moyens mais l'agriculteur dans les montagnes qui achète ce type de 4x4 peut se le payer. Et quand on pense que les gens qui ont fait exploser les malus se disent SOCIALISTES ça fait froid dans le dos .
Posté(e) : 30 juillet 20186 a Auteur HUMMER H1 by MSA MSA fait revivre le Hummer H1 A l’instar d’une Lotus 7 ou d’une AC Cobra, il y aura sans doute longtemps encore des initiatives pour permettre au Hummer H1 de continuer à exister. MSA vient de dévoiler le Hummer H1 Launch Edition. MSA (Mil-Spec Automotive) est une entreprise basée à Detroit qui dispose d’une unité de production à Wichita, dans le Kansas (aux Etats-Unis bien entendu). Sous son capot, ce Humvee reçoit un bloc V8 6,6 litres Duramax turbodiesel d’une puissance de 500 ch qui peut toutefois bénéficier, en option, de davantage de puissance. Il permet au Humvee d’atteindre une vitesse maximale de 154,5 km/h. Pas mal pour un tel véhicule dont le poids est donné pour 3,4 tonnes. Il est proposé en cinq configurations, quatre 4-porte et un deux portes, ce dernier se présentant comme un bed pick-up. La boîte de vitesses automatique est une Allison à six rapports. Cinq configurations possibles Le châssis bénéficie de modifications alors que l’habitacle est un peu plus soigné (un volant Momo Prototipo, du cuir, etc.). Son équipement a également été mis à jour avec par exemple un éclairage intérieur par LED. Et le prix ? Il est logiquement conséquent. Comptez 218 499 dollars, soit l’équivalent de 185 600 euros.
Posté(e) : 30 juillet 20186 a Je bave devant mon PC.... Il est splendide !!!! Je trouve le tableau de bord un peu vide comparé à l'original. A quel ordre le chèque ?
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