Posté(e) : 22 janvier 200718 a Administrateur Henri Grouès, dit l’abbé Pierre, né le 5 août 1912 à Lyon est mort le 22 janvier 2007 à Paris à l'âge de 94 ans En février 1954, il lança un appel resté célèbre sur les ondes de Radio-Luxembourg en faveur des sans-abri « Mes amis, au secours ! Une femme vient de mourir, gelée, cette nuit à trois heures, sur le trottoir du boulevard Sébastopol, serrant sur elle le papier par lequel, avant-hier, on l’avait expulsée. Chaque nuit, ils sont plus de deux mille recroquevillés sous le gel, à la rue, sans toit, sans pain, plus d’un presque nu. Devant tant d’horreur, les cités d’urgence, ce n’est même plus assez urgent. Ecoutez-moi. En trois heures, deux premiers centres de dépannage viennent de se créer : l’un au pied du Panthéon, rue de la Montagne Sainte Geneviève, l’autre à Courbevoie. Ils regorgent déjà, il faut en ouvrir partout. Il faut que ce soir même, dans toutes les villes de France, dans chaque quartier de Paris, des pancartes s’accrochent sous une lumière dans la nuit, à la porte des lieux où il y ait couverture, paille, soupe, et où on lise sous ce titre « Centre Fraternel de dépannage », ces simples mots : « Toi qui souffres, qui que tu sois, entre, dors, mange, reprends espoir, ici, on t‘aime. »
Posté(e) : 23 janvier 200718 a ce qui me fait sortir de ma culotte a reculon c'est la recuperation politique de l'action de cet immence personnage qu'a ete l'abbe Pierre ,soudain ces messieurs dames se sentent tres proche de lui notre ministre du logement a meme dit que "sont message avait ete entendu" ,ils ont vraiment honte de rien!!! sa fait 60 ans que l'abbe lutte pour les plus demunis et c'est maintenant qu'ils le trouve formidable et qu'ils ecoutent sont message sont vraiment pres a tout pour avoir la place l'abbe merite seulement notre recueillement et notre profonde admiration le reste n'est qu'agitation sterile et strategie polititiennes alors : salut l'abbe ,tu est enfin en vacance pas a la droite de dieu mais face a lui
Posté(e) : 23 janvier 200718 a Quel Exemple! Quelle vie riche! Si le monde pouvait être dirigé par des gens comme lui,Il y aurait moins de malheureux! Sincères regrets pour le grand Abbé Pierre.
Posté(e) : 23 janvier 200718 a Un homme fabuleux dont on entendra encore longtemps parler. La béatification et même la canonisation seront, je pense, les reconnaissances de l'Eglise à tout ce qu'il aura su faire pour le genre humain. Dommage que peu d'hommes aient ce courage et cette ténacité !!!
Posté(e) : 23 janvier 200718 a respect a cette homme qui a vouait ça vie pour les plus démunis pour qu'ils trouvent un peu chaleur et de dignitée honte a tous c'est politiciens de tous bord qui paradent dans les journaux télévisés en exprimant de la compassions alors que cette misère qu'il dénonçait ne date pas hier
Posté(e) : 23 janvier 200718 a hypocrate disait : "la grandeur de l'homme parvient quand il arrive à se reconnaitre tel qu'il est".et lui il savait qui il était.
Posté(e) : 23 janvier 200718 a Moi qui me suis pas croyant je le remercit pour tous ce qu'il a fait pour les personne qui vivé dans des situations vraiment critique et qui malheuresement continu aujourdhui
Posté(e) : 23 janvier 200718 a Respect. C'était un grand homme comme il en existe très peu dans l'histoire.
Henri Grouès, dit l’abbé Pierre, né le 5 août 1912 à Lyon est mort le 22 janvier 2007 à Paris à l'âge de 94 ans
En février 1954, il lança un appel resté célèbre sur les ondes de Radio-Luxembourg en faveur des sans-abri
« Mes amis, au secours !
Une femme vient de mourir, gelée, cette nuit à trois heures, sur le trottoir du boulevard
Sébastopol, serrant sur elle le papier par lequel, avant-hier, on l’avait expulsée.
Chaque nuit, ils sont plus de deux mille recroquevillés sous le gel, à la rue, sans toit, sans
pain, plus d’un presque nu.
Devant tant d’horreur, les cités d’urgence, ce n’est même plus assez urgent.
Ecoutez-moi. En trois heures, deux premiers centres de dépannage viennent de se créer : l’un
au pied du Panthéon, rue de la Montagne Sainte Geneviève, l’autre à Courbevoie. Ils
regorgent déjà, il faut en ouvrir partout. Il faut que ce soir même, dans toutes les villes de
France, dans chaque quartier de Paris, des pancartes s’accrochent sous une lumière dans la
nuit, à la porte des lieux où il y ait couverture, paille, soupe, et où on lise sous ce titre « Centre
Fraternel de dépannage », ces simples mots :
« Toi qui souffres, qui que tu sois, entre, dors, mange, reprends espoir, ici, on t‘aime. »