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Posté(e) :

Carrefour Ivry 94 = 4,77 Euros le bidon de 5 litres d'huile de tournesol (il n'avaient pas de colza)

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Posté(e) :

Salut,

Le gouvernement a annonce sa volonte de passer de 1 a 10% la dose de biocarburant ajoutee au carburant traditionnel.

Resultat : les paysans sont en train de remplacer les champs de tournesol par des champs de colza qui sera destine a la filiaire biocarburant.

du coup le prix du tournesol augmente (presque plus personne n'en fabrique) et le colza etant reserve pour le biocarburant il en reste tres peu pour la filiaire alimentaire et son prix grimpe aussi.

Il ne faut pas oublier que les paysans sont subventionnes pour le colza (carburant).

a l'heure actuelle la production de colza est insufisente pour repondre aux besoins des biocarburants en france.

Posté(e) :
  • Référent Mécanique

Slt,

pas si simple que tu le dis ....

Le colza existe en plusieurs variétés (double zéro, triple zéro ....)

De plus un céréalier doit mettre tous les ans un certain pourcentage de ses terres cultivées en "jachère" : si volonté de bio-carburant ces surfaces seront récupérées ....

Posté(e) :
Slt,

pas si simple que tu le dis ....

Le colza existe en plusieurs variétés (double zéro, triple zéro ....)

De plus un céréalier doit mettre tous les ans un certain pourcentage de ses terres cultivées en "jachère" : si volonté de bio-carburant ces surfaces seront récupérées ....

 

avec plus de pesticides puisque non alimentaire :2 (22):

  • 4 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...
Posté(e) :

article recu dans ma boite mail ce matin,

 

Avec le réacteur Pantone, j'économise 30 à 40 % de gasoil

Eleveur à Téloché au sud du Mans, Jean-Luc Coulon recherche l'autonomie énergétique sur son exploitation. Depuis plusieurs mois, il a équipé un tracteur du réacteur Pantone.

Rouler avec de l'eau : tout le monde en a rêvé, et bien le réacteur Pantone l'a fait. Celui-ci suscite bien des passions chez les bricoleurs et chez les agriculteurs. Le but du procédé est de faire diminuer la consommation de gasoil, la pollution du moteur et de prolonger sa durée de vie. Le réacteur carbure à un mélange de 20 % d'hydrocarbures (essence, fuel, etc.) et 80 % d'eau, qui est chauffé dans un bac grâce aux gaz d'échappement du moteur qui y sont conduits. En fait, ce n'est pas l'eau qui est intéressante, mais l'hydrogène qu'elle contient.

On prépare un mélange de 20 % d'hydrocarbures et 80 % d'eau.

Les vapeurs dégagées par le réchauffage passent dans un réacteur chauffé également par les gaz d'échappement, avant d'être injecté dans le moteur à la place du mélange air + carburant habituel.

« Depuis qu'un de mes tracteurs roule avec un moteur Pantone, j'économise 30 à 40 % de gasoil. Dans des conditions optimales, les économies peuvent aller jusqu'à 50 %. Le procédé est simple, c'est un artisan local que m'a installé le moteur » déclare Jean-Luc Coulon. Grâce à ce principe, des mécaniciens enthousiastes se penchent sur leur tondeuse ou leur tracteur pour y insérer des bidons remplis d'eau dans lesquels ils font barboter les gaz d'échappement. D'ailleurs, les artisans et les agriculteurs défilent à Ricordaine pour voir fonctionner le moteur.

Le système s'applique pour tous moteurs thermiques (moteurs de tondeuse et motoculteur quatre temps, moteurs de voiture et camion à essence ou diesel, groupe électrogène, chaudière de chauffage central à fuel, etc.

Aujourd'hui, seul le tracteur de cour de Jean-Luc fonctionne avec le moteur Pantone. Au vu du succès, son deuxième tracteur sera bientôt équipé du même procédé.

Le système Pantone fonctionne pour tous les moteurs thermiques.

« Sur l'exploitation, le cap a été mis sur l'autonomie énergétique. C'est dans cette même logique que nous avons installé une chaudière à bois déchiqueté. Pour le carburant, faute de surface suffisante, je ne peux pas produire de colza. Le moteur Pantone me paraissait donc une des seules alternatives possibles ». Il est vrai que l'éleveur consacre 85 % de son assolement à l'herbe. La colza n'a donc pas de place.

 

Le réacteur Pantone

Le réacteur Pantone fonctionne aussi bien sur des tracteurs que sur les automobiles. Les exemples dans le Grand-Ouest ne manquent pas. L'Adeas Civam de la Sarthe les suit de près.

Avec le réacteur Pantone, les économies de carburants font rêver. Le 16 décembre, la journée de formation organisée par l'Adeas-Civam de la Sarthe a permis à environ 80 ligériens de faire le point sur le système mis au point par l'ingénieur américain Pantone.

Lors de cette journée, un paysan breton a estimé qu'avec ce système, il a réduit sa consommation de moitié, passant de 20 l à l'hectare à 10 l et même 6 l après avoir revu son système. Sur un tracteur Belarus, un autre agriculteur a évalué ses économies à 30 %. Un troisième a monté un réacteur Pantone sur un générateur d'énergie pour du séchage en grange. Le moteur consomme 5 l par heure de fonctionnement contre le double auparavant. Sur un tracteur de ferme, un cost-armoricain ne consomme plus que 1,28 l pour 200 heures de travail contre 4 l auparavant. « Attention, ces résultats ne sont pas mesurés par huissier » commente l'animateur de la formation. Prudence donc.

Un principe simple

Le principe du réacteur est simple, à la portée de tous les bricoleurs. Il s'agit d'un astucieux assemblage de plomberie. Pour vulgariser, on parlera d'un bulleur dans lequel un mélange (eau + essence ou simplement eau) se vaporise et d'un tuyau dans lequel s'effectue la transformation du gaz. A l'intérieur du tuyau chauffé par les gaz d'échappement, des vapeurs d'eau sont transformées puis aspirées et brûlées par le moteur. Ces vapeurs aident à une meilleure combustion et permettent de faire baisser la consommation sur des régimes stabilisés. Ce système ne fonctionne pas seulement sur les tracteurs mais sur tous les moteurs : voitures, générateurs, tondeuses à gazon. S'il est à la portée de beaucoup, il ne faut pas se lancer tout seul dans le principe car plusieurs ont quand même cassé des moteurs.

Autre avantage du Pantone : son rendement, la combustion est presque totale. Résultat, si on place, à la sortie d'échappement, un mouchoir blanc, celui-ci reste immaculé. Avec un diesel classique, le mouchoir se noircit. « Avec le Pantone, le moteur peut utiliser toute sorte de carburant. On ne l'explique pas » souligne un ingénieur ayant étudié le procédé. D'ailleurs, un utilisateur arrive à faire fonctionner un moteur de 2 CV avec du gasoil comme avec de l'essence.

Posté(e) :

l'huile végétale

 

Le gouvernement s'intéresse aux biocarburants, les agriculteurs aussi. Jean-Yves Rousselet, éleveur dans le Sud-Mayenne, utilise de l'huile végétale pour ses tracteurs. Depuis quatre ans, ça fonctionne.

Etre pionnier, c'est un boulot à temps plein, au départ, c'est pour se faire entendre, et ensuite, c'est pour informer ceux qui veulent entendre. Or depuis quelques temps, avec la flambée des prix du pétrole, ils sont de plus en plus nombreux à tendre l'oreille. Mardi, Jean-Yves Rousselet recevait un groupe de l'Orne sur son exploitation, à Bierné. « De la Sarthe, ils sont venus à 60 ! Du Maine-et-Loire, j'ai accueilli deux groupes [lire ci-dessous]. Je me suis aussi déplacé en Loire-Atlantique pour le lancement de leur projet. » Ironie, « aujourd'hui, avec 40 adhérents, ils sont plus nombreux que nous » constate cet éleveur bio laitier. « Nous », c'est la Cuma Cepvil1, pionnière de l'Ouest pour l'utilisation d'une presse à huile. « Jusqu'en juin, nous étions 20 à utiliser la presse, et pendant l'été, nous sommes passés à 30. »

Jean-Yves Rousselet et quelques collègues ont démarré l'expérience en 2001 : ils ont pressé des graines de tournesol ou de colza et on utilisé l'huile comme carburant dans leurs tracteurs. Nous avions rencontré l'agriculteur il y a deux ans et demi. Il expérimentait à ses risques et périls.

Aujourd'hui ? L'éleveur déplore que la recherche publique ne soutienne pas ces démarches. Il parle donc avec prudence : « On est toujours dans une phase expérimentale. Mais à l'heure actuelle, on n'a toujours pas d'information contradictoire. » Ni de moteur cassé. « Depuis 4 ans, je n'ai aucun problème. » Alors l'aventure continue.

Pour que cela fonctionne, il faut respecter quelques règles. « En mélange, il ne faut pas dépasser les 30 % d'huile dans le fuel. C'est le système le plus facile à mettre en place dans nos régions d'élevage où on utilise le tracteurs pour de petits travaux. » Quant à l'huile pure, elle nécessite une bi-carburation parce qu'elle doit être utilisée quand le moteur est à plus de 70 % de sa puissance. Cela intéressera plus les céréaliers.

Le maïs, un gâchis d'énergie

Au-delà de ces aspects pratiques, Jean-Yves Rousselet élargit son discours. Pour lui, rien ne sert de produire de l'huile végétale si ce n'est pas cohérent avec son système d'exploitation. « Il s'agit d'une démarche globale. L'énergie la moins chère est celle qu'on ne consomme pas. Il faut oser dire que la culture du maïs est un gâchis monumental d'énergie » juge ce défenseur de l'herbe. « Il faut investir dans du gros matériel pour semer. Puis les gens passent des phytos. Puis vient la récolte, et le transport ainsi que la redistribution. Avec des pâturages, ce sont les vaches qui vont chercher l'herbe. »

Les pâturages, et l'huile végétale sont « un moyen de se réapproprier une certaine autonomie ». Si le système est bien rodé, « le cours du fuel n'a que peu d'incidence sur mon exploitation ». Idem pour la sécheresse qui a plombé le maïs.

La fausse piste industrielle

C'est cette quête d'autonomie qui fait dire à Jean-Yves Rousselet que « les biocarburants industriels sont une fausse piste. Si ça marche en huile pure (bien qu'on ne puisse encore l'affirmer à 100 %), je ne vois pas pourquoi on irait passer en industriel, car c'est sûr que le profit ne serait pas pour les agriculteurs. La profession a accepté que les colza en jachère soient payés moins chers : on est en train de se faire blouser. C'est pareil qu'avec les grandes surfaces. »

En parlant de surfaces, ce sera certainement la limite au développement des biocarburants. D'après la FDCuma de la Mayenne, compte tenu de la rotation nécessaire du colza, on ne peut cultiver que 3 millions d'hectares maximum en France (20 % des surfaces cultivées). A raison de 800 litres de carburant par hectare, cela ferait 2,4 millions de Tonne équivalent pétrole (TEP), sachant qu'une partie doit être utilisée pour l'alimentation. La consommation française de produits pétroliers s'élève à 30 millions TEP2. Pour Jean-Yves Rousselet, ce ratio de moins de 10 % permet de « rendre l'agriculture entièrement autonome. » Quand on en sera là.

Posté(e) :

Effectivement vu comme cela ça fait reflechir, je vais continuer a recycler et filtrer les huiles végétales de récupération (tant pis pour l'odeur de frite), et rouler a 30% a partir d'une température extérieure de +10°.

Posté(e) :

salut

 

Apres un essais et avoir roulé environ 10000km à 30% de colza , je vous fait part du constat fait lors du demontage de la pompe:

 

"oh elle est comme neuve !" dixit texto le dieseliste !

 

En effet en ouvrant la pompe , il n'a trouvé aucun depot ni gommage sur aucune piece , compré a une pompe roulant au gasoil pur.

 

Alors coincidence ? je ne sais pas mais en tout cas moi ca m'inciste a continuer...

Posté(e) :

La T° recommandé et d’après vous de 80°C ou 70°C ou 60°C pour l'huile

Et pour le gasoil elle est de combien :2 (18):

 

plus je cherche moins je trouve :2 (22):

 

Merci pour l'info :2 (4):

Posté(e) :

Es tu allé voir ici ?http://www.oliomobile.org/

Pose leur la question, moi je n'ai pas de réchauffeur (ca va venir)c'est pour cela que l'hiver je ne roule pas a l'huile.

Je pense que 60° doit etre largement suffisant

Posté(e) :
Es tu allé voir ici ?http://www.oliomobile.org/

 

C est une mine d information dans leur domaine ce cite

....................c'est pour cela que l'hiver je ne roule pas a l'huile..............

 

 

Moi je suis à 30% l hiver et je passe à 50% l été, essaye d y mettre 1 peu d huile , maxi 30% après c est plus dure lors du démarrage, en attendant que le moteur chauffe sa ratatouille 1 peu

 

:2 (4)::2 (4):

Posté(e) :
Es tu allé voir ici ?http://www.oliomobile.org/

 

C est une mine d information dans leur domaine ce cite

....................c'est pour cela que l'hiver je ne roule pas a l'huile..............

 

 

Moi je suis à 30% l hiver et je passe à 50% l été, essaye d y mettre 1 peu d huile , maxi 30% après c est plus dure lors du démarrage, en attendant que le moteur chauffe sa ratatouille 1 peu

 

:2 (4)::2 (4):

 

A Auxerre il fait pas froid, sans réchauffeur dans le cantal c'est meme pas la peine d'essayer. :2 (14):

Posté(e) :

Voilà, je viens de ma farcir toute la lecture de ce post en intégral....OUF...

 

J'ai remarqué que les huilleux des premières heures sont moins intervenus ces derniers mois.

 

Ce serait bien si ceux-ci nous faisaient un petit bilan (technique) : toujours pas de pb ? pour ceux qui comme moi hésite encore à franchir le pas.

Je parle d'un bilan d'utilisation par exemple à 30% qui me parait le plus simple. Je ne parle pas du point de vue lesgislatif ou on le voit, c'est pas encore très clair (pour moi, c'est l'Europe et pas le France qui a raison et çà m'arrange). :2 (14):

Posté(e) :

Ben moi j'ai juste eu le temps d'essayer a 30% avant le froid (sur le Patrol), j'ai roulé environ 1000Kms donc ce n'est pas tres représentatif. Par contre j'ai fait pres de 15000 km avec ma 406 TD à 30% (elle a 140000km) et je n'ai pas eu de problème, j'ai juste remplacé le filtre a gas oil apres 1000kms car l'huile végétale te dégomme les canalisations et les saloperies restent dans le filtre. Je n'ai pas de réchauffeur c'est la raison pour laquelle je ne met pas d'huile végétale l'hiver.

Je vais commencer a recycler des huiles de récup, j'ai des potes qui ont un resto et ils me stockent les huiles de fritures que je vais filtrer avec un fitre a je ne sais pas combien de microns, je l'ai acheté sur le site "Oliomobile".

Juste une reflexion, le moteur est plus onctueux et parait moins bruyant.

Voila pour mon experience perso.

Posté(e) :

Pour moi ca roule, aucun souci sauf l'approvisionnement de plus en plus difficile et de plus en plus cher.

Posté(e) :

je continue moi aussi, avec de l'huile de récup (je préfère), ou du tournesol en bouteille l'hiver à 0,85€.

je ne calcule plus les % mais ça doit être entre 0% et 30%, selon l'approvisionnement en huile usagée et mon courage pour la filtrer (pas facile, je filtre dans la cuisine où il ne fait pas trop froid, j'ai tendance à en mettre partout et madame n'est pas contente).

aucune modif sur le moteur pour l'instant.

une petite fuite de la PI au début, j'ai fait changer les joints.

je n'ai pas encore essayé dans le KDJ95 à pompe haute pression

Posté(e) :

A Auxerre il fait pas froid, sans réchauffeur dans le cantal c'est meme pas la peine d'essayer. :2 (14):

 

des fois ça caille 1 peu :2 (15)::2 (15): le matin même avec des -7 et -10°c , j arrive à demarrer mais après ????

 

:2 (20)::2 (20): effectivement zavais pas vu ta loc......... :2 (20)::2 (20): mais a paris ça doit le faire , si tu as le Trol là bas....

Posté(e) :

De mon coté, çà fait 15000 que çà dure, à 30% en moyenne....

 

Tout baigne... :2 (15):

  • 1 mois plus tard...
Posté(e) :

c'est vrai que ce site est super moi il m'as permit de rouler un peut plus ecologiquement et a moin cher...

 

et cette ptite odeur de frite est pas desagreable du tout ca donne meme faim a certaine heure :2 (15):

Posté(e) :

Quelqu'un se fournit dans le 06 ?

Posté(e) :
Quelqu'un se fournit dans le 06 ?

 

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