Posté(e) : 25 mai 201213 a bonjour a tous je vous explique, j'ai un gars qui m'a contacter il a un navarra de 2004 avec 135000KLM. il me propose de lui échanger contre mon gros qui es de 98 et a 300000KLM. il insiste vraiment trouver vous sa normal ou sa sent l'anguille sous roche?
Posté(e) : 25 mai 201213 a La question c'est ce que toi tu serais prêt à échanger ton trol contre son navarra ?
Posté(e) : 25 mai 201213 a Modérateur "Quand y' a un doute, c'est qu' il n'y a pas de doute".... Oui, sauf dans le cas où tu doutes de ton doute.
Posté(e) : 25 mai 201213 a il y a aussi "l'ombre d'un doute", qui n'est pas tout à fait un doute mais qui s'en approche Donc en suivant l'ombre d'un doute dans le bon sens, nous arrivons au doute une fois le doute atteint, nous arrivons quelquefois au "je ne le sens pas" (et là Rocco n'y est pour rien ) et quand on "ne le sens pas", il y en a certains bizarrement qui dises "ça pue" et ainsi de suite jusqu'à l'accentuation du doute...... Perso, un gars qui veut échanger un outil récent avec 124000 contre un troll plus vieux avec 300000, je m'interroge, soit le gars et un amoureux des trolls, soit il y a pibale sous cailloux ou le cochon dans le maïs
Posté(e) : 25 mai 201213 a Modérateur il y a aussi "l'ombre d'un doute", qui n'est pas tout à fait un doute mais qui s'en approche Et, c'est lorsqu'il n'y a plus l'ombre d'un doute, que l'on est en plein dedans, probablement à midi pile.
Posté(e) : 25 mai 201213 a probleme de casse moteur dans ces années et pile poil a ce niveau de kilometrage mefiance !!! Nico
Posté(e) : 25 mai 201213 a perso moi je garde le trol car le 2.5 du navarra et tres fragile et le train AV du navarra c'est pas celui du patrol
Posté(e) : 25 mai 201213 a GAR - DE - TON - PA - TROL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Posté(e) : 25 mai 201213 a il y a aussi "l'ombre d'un doute", qui n'est pas tout à fait un doute mais qui s'en approche Donc en suivant l'ombre d'un doute dans le bon sens, nous arrivons au doute une fois le doute atteint, nous arrivons quelquefois au "je ne le sens pas" (et là Rocco n'y est pour rien ) et quand on "ne le sens pas", il y en a certains bizarrement qui dises "ça pue" et ainsi de suite jusqu'à l'accentuation du doute...... Perso, un gars qui veut échanger un outil récent avec 124000 contre un troll plus vieux avec 300000, je m'interroge, soit le gars et un amoureux des trolls, soit il y a pibale sous cailloux ou le cochon dans le maïs En même temps, le doute est salvateur. Le doute ouvre une voie. Souviens toi de Stanley: "Dr Livingstone i purpose?" (source Gotlieb, la Rubrique à Brac). Il purposait juste, le bougre! Mais il ne le savait pas, en fait il doutait, car il n'était sûr de son coup qu' à 99%. C'est vrai, imagine que c'eut été Pavarotti sortant du couvert de la jungle tropicale, il aurait dit "no, i'm Pavarotti". Et là, Stanley aurait dit "Excuse me" et l'affaire était bachée, il n'avait même pas l'air d'un clampin. Oui, le doute peut sauver. Imagine Pavarotti sortant de la jungle avec son navarra: "do you want to échange nos brouettes, i purpose?". Et là, Stanley dans son patol: "va fanc......!" Puis d'ajouter "I purpose!". Bingo, la Pavarotti qui rigole, il se dit qu' il trouvera peut etre un gars qui voudra bien échanger un troll fiable contre son moulin jouant du biniou avec ses soupapes. C'est comme ça que Livingstone c'est fait fancouler, d'abors parce qu' il parlait pas italien, mais aussi parce qu' il avait oublié de purposer.
Posté(e) : 25 mai 201213 a Auteur je veut garder mon gros ;car je sait que les navarra sont tres fragile grosse caisse pour petit moteur. mais c est bizzard qu il veuille s'en debarasser comme sa
Posté(e) : 25 mai 201213 a Auteur il y a aussi "l'ombre d'un doute", qui n'est pas tout à fait un doute mais qui s'en approche Donc en suivant l'ombre d'un doute dans le bon sens, nous arrivons au doute une fois le doute atteint, nous arrivons quelquefois au "je ne le sens pas" (et là Rocco n'y est pour rien ) et quand on "ne le sens pas", il y en a certains bizarrement qui dises "ça pue" et ainsi de suite jusqu'à l'accentuation du doute...... Perso, un gars qui veut échanger un outil récent avec 124000 contre un troll plus vieux avec 300000, je m'interroge, soit le gars et un amoureux des trolls, soit il y a pibale sous cailloux ou le cochon dans le maïs En même temps, le doute est salvateur. Le doute ouvre une voie. Souviens toi de Stanley: "Dr Livingstone i purpose?" (source Gotlieb, la Rubrique à Brac). Il purposait juste, le bougre! Mais il ne le savait pas, en fait il doutait, car il n'était sûr de son coup qu' à 99%. C'est vrai, imagine que c'eut été Pavarotti sortant du couvert de la jungle tropicale, il aurait dit "no, i'm Pavarotti". Et là, Stanley aurait dit "Excuse me" et l'affaire était bachée, il n'avait même pas l'air d'un clampin. Oui, le doute peut sauver. Imagine Pavarotti sortant de la jungle avec son navarra: "do you want to échange nos brouettes, i purpose?". Et là, Stanley dans son patol: "va fanc......!" Puis d'ajouter "I purpose!". Bingo, la Pavarotti qui rigole, il se dit qu' il trouvera peut etre un gars qui voudra bien échanger un troll fiable contre son moulin jouant du biniou avec ses soupapes. C'est comme ça que Livingstone c'est fait fancouler, d'abors parce qu' il parlait pas italien, mais aussi parce qu' il avait oublié de purposer. je dirais le cochon dans le mais.il va le garder sont tagazou
Posté(e) : 25 mai 201213 a Modérateur il y a aussi "l'ombre d'un doute", qui n'est pas tout à fait un doute mais qui s'en approche Donc en suivant l'ombre d'un doute dans le bon sens, nous arrivons au doute une fois le doute atteint, nous arrivons quelquefois au "je ne le sens pas" (et là Rocco n'y est pour rien ) et quand on "ne le sens pas", il y en a certains bizarrement qui dises "ça pue" et ainsi de suite jusqu'à l'accentuation du doute...... Perso, un gars qui veut échanger un outil récent avec 124000 contre un troll plus vieux avec 300000, je m'interroge, soit le gars et un amoureux des trolls, soit il y a pibale sous cailloux ou le cochon dans le maïs En même temps, le doute est salvateur. Le doute ouvre une voie. Souviens toi de Stanley: "Dr Livingstone i purpose?" (source Gotlieb, la Rubrique à Brac). Il purposait juste, le bougre! Mais il ne le savait pas, en fait il doutait, car il n'était sûr de son coup qu' à 99%. C'est vrai, imagine que c'eut été Pavarotti sortant du couvert de la jungle tropicale, il aurait dit "no, i'm Pavarotti". Et là, Stanley aurait dit "Excuse me" et l'affaire était bachée, il n'avait même pas l'air d'un clampin. Oui, le doute peut sauver. Imagine Pavarotti sortant de la jungle avec son navarra: "do you want to échange nos brouettes, i purpose?". Et là, Stanley dans son patol: "va fanc......!" Puis d'ajouter "I purpose!". Bingo, la Pavarotti qui rigole, il se dit qu' il trouvera peut etre un gars qui voudra bien échanger un troll fiable contre son moulin jouant du biniou avec ses soupapes. C'est comme ça que Livingstone c'est fait fancouler, d'abors parce qu' il parlait pas italien, mais aussi parce qu' il avait oublié de purposer. En tous cas, ce n'est pas ce qui est indiqué en page 8 de l'Atlas de Paris au Moyen âge, je dirai même que l'on y trouve des informations contradictoires. En effet, Jean Veuxencor se trouvait accoudé au comptoir de la taverne, et se pintait avec application à la cervoise, lorsque Laurel et Hardi franchirent les portes du saloon. Sa vue fit naître un doute chez les compères : Est-ce un lampadaire ou un pilier ? Vraiment, les effluves d'urines qui se dégageaient de sa personne, pouvaient laisser à penser qu'un chien s'était soulagé sur ses souliers vernis, l'ayant pris pour un pilier de pont, certainement celui d'un viaduc, quoi que l'odeur n'avait rien à envier à celle d'un pilier de pont de l'échangeur du périphérique de la porte de Bagnolet. A contrario, la lumière qui se dégageait de ses yeux à travers ses carreaux embrumés par la réverbération de la chaleur de ses joues pourpres, laissaient à penser qu'il était de la famille des luminaires, sans toute fois être de celle des abats-jour, sûrement du fait de sa hauteur et de l'heure avancée de la nuit. A défaut de se faire fancouler, ils restèrent dubitatifs, preuve qu'ils ne purposaient pas eux non plus qu'à la grenadine.
Posté(e) : 25 mai 201213 a Salut, il part en live ce post ça en deviendrait presque philosophique Je serai plus "terre à terre": si tu es content de ton trol et que tu veux pas de Navarra,et bien qu'il se la garde*!!! à+ *:sa daube
Posté(e) : 25 mai 201213 a il y a aussi "l'ombre d'un doute", qui n'est pas tout à fait un doute mais qui s'en approche Donc en suivant l'ombre d'un doute dans le bon sens, nous arrivons au doute une fois le doute atteint, nous arrivons quelquefois au "je ne le sens pas" (et là Rocco n'y est pour rien ) et quand on "ne le sens pas", il y en a certains bizarrement qui dises "ça pue" et ainsi de suite jusqu'à l'accentuation du doute...... Perso, un gars qui veut échanger un outil récent avec 124000 contre un troll plus vieux avec 300000, je m'interroge, soit le gars et un amoureux des trolls, soit il y a pibale sous cailloux ou le cochon dans le maïs En même temps, le doute est salvateur. Le doute ouvre une voie. Souviens toi de Stanley: "Dr Livingstone i purpose?" (source Gotlieb, la Rubrique à Brac). Il purposait juste, le bougre! Mais il ne le savait pas, en fait il doutait, car il n'était sûr de son coup qu' à 99%. C'est vrai, imagine que c'eut été Pavarotti sortant du couvert de la jungle tropicale, il aurait dit "no, i'm Pavarotti". Et là, Stanley aurait dit "Excuse me" et l'affaire était bachée, il n'avait même pas l'air d'un clampin. Oui, le doute peut sauver. Imagine Pavarotti sortant de la jungle avec son navarra: "do you want to échange nos brouettes, i purpose?". Et là, Stanley dans son patol: "va fanc......!" Puis d'ajouter "I purpose!". Bingo, la Pavarotti qui rigole, il se dit qu' il trouvera peut etre un gars qui voudra bien échanger un troll fiable contre son moulin jouant du biniou avec ses soupapes. C'est comme ça que Livingstone c'est fait fancouler, d'abors parce qu' il parlait pas italien, mais aussi parce qu' il avait oublié de purposer. C'est un super copain, je le salue chaque fois que je vais dans un magasin de bricolage Je n'ai pas une culture philosophique trés approfondie par contre j'imagine bien Pavarotti sortant de la jungle en navara tout en entonnant rigoletto par la fenêtre pour éloigner les animaux sauvages et les traumatisés du classique (comme moi) Donc dans le doute, abstient toi mais l'abstinence est elle une bonne chose
Posté(e) : 25 mai 201213 a Vache c'est le quart d'heure poésie, j'adore ce genre de délire, à donf les copains je me régale.
Posté(e) : 25 mai 201213 a "Quand y' a un doute, c'est qu' il n'y a pas de doute".... donc pas de doute
Posté(e) : 25 mai 201213 a "Quand y' a un doute, c'est qu' il n'y a pas de doute".... donc pas de doute Salut, Tout dépend car il peut ne pas y avoir de doute mais y avoir l'ombre d'un doute.......sans parler que s'il n'y pas pas de doute, on ne sait pas sur quelle des deux possibilité et là ça laisse planer un doute pour nous...... Donc il vaut attendre qu'il n'y ait plus de vent pour que le doute arrête de planer et se pose, mais aussi qu'il soit midi pour qu'il n'y ait plus l'ombre d'un doute ça fait beaucoup mais si grâce à tout ça nous pouvons aider "MOI", je dis bravo l'esprit d'équipe et bravo PGR Sur ce, je vais prendre mes médicaments.............................
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