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  1. 1 point
    Bonjour. Julien 40 ans je vais commencer le bivouac et un peu de franchissement. J'ai donc acheté un patrol Y61 en 3.0 Rehausse, gros pneus et pas trop rouillé 😁 Il y a 2,3 trucs a remettre en ordre mais il roule bien. J'étais pas mal sur les forums honda il y a quelques années, je dois m'y remettre car je ne connais pas les patrols ni les diesels. Si il y a des 4x4 près de Bordeaux faites signe ✌️ Et oui il penche 😅
  2. Bonjour tout le monde, Bon après mûre réflexion, le châssis est trop attaqué, j’en ai acheté un autre à la place, je l’ai récupéré ce matin. Il a du travail aussi mais rien en comparaison de l’autre! Ça devrait le faire gagner un peu de temps. En parallèle j’ai commandé les panhard réglable, les drops box, les flexibles rallongé et les pièces pour la remise en forme du moteur. Il me reste à définir pour le kit rehausse ce que je prend, j’étais pour le moment partis sur un +10 car j’aimerai y greffer des 35 dessus. La question va venir aussi concernant les chaussures de la bête, premièrement les pneus : maxxis trépador ou Cooper stt pro, je les ai au même prix dans la même taille donc juste à faire le choix. Si certains d’entres vous ont ou essayer les deux je suis preneur. Ensuite viendra les jantes, celles d’origine ne me conviennent pas, j’ai des jantes tôles en 15x7 qui traînent à la maison aussi mais ça ne sera pas assez large, il me faudrait des 8’ de large pour passer des 35x12.5x15. J’ai trouvé une marque qui produit des jantes « sur mesure » où on choisis la couleur, le diamètre, le déports etc, c’est gl-custom. Leur jantes sont magnifiques mais pas donné donc à voir si ça passe dans le budget!
  3. Neutralisation de la vanne Egr sur l'Y61 3l (Méthode simple pour deux mains gauches) La vanne Egr est un système antipollution qui peut générer des problèmes de dysfonctionnement en cas d'encrassement. Il est bon de savoir comment la neutraliser simplement en plein désert loin de tout concessionnaire Nissan. Principe : La vanne est fixée au bloc moteur par une patte métallique en équerre (support Egr sur la figure 1). Elle est ensuite raccordée par un tuyau rigide à l'échappement (tuyau EGR sur la figure 1) puis par un autre tuyau rigide à l'admission (tuyau guide d'Egr sur la figure 1). Pour intervenir sur la vanne il faut la désolidariser des tuyaux d'admission et d'échappement ainsi que de l'équerre support. Les vis facilement accessibles (surlignées en rouge sur la figure 1 et fléchées sur la figure 2) sont : Les deux vis de 12 qui fixent le tuyau d'admission au collecteur Les deux vis de 14 qui fixent le tuyau d'échappement à la vanne La vis de 12 qui tient la vanne sur l'équerre. (figure 1) (figure 2) A partir de ce constat la solution choisie va être de dévisser suffisamment ces vis pour avoir la place d'insérer une plaque entre l'échappement et la vanne. Nos problèmes seront résolus sans toucher à la commande de la vanne ni à l'ordinateur. Cette méthode est efficace et facilement réversible. Toutefois, le fait de neutraliser la vanne va modifier légèrement la pression d'admission et réagir sur le contrôle du turbo. Il va donc falloir modifier un peu la butée d'ouverture de la "wastegate" pour compenser cette modification. Matériel : Clef à cliquet Allonge de 10 à 20 cm Embouts de 10,12 et de 14 Clef dynamométrique Une tôle inox de 10x5 cm² en 5/10 d'épaisseur Une cisaille à tôle ou une petite meuleuse Clef plate de 8 et 10 Clef halen de 2,5 Crochet de 2,5 Eventuellement des joints neufs (suivant ancienneté) Ne pas oublier de mettre une Adelscott au frais Démontage : Laisser refroidir le moteur. Enlever le cache qui entoure l'intercooler pour plus de visibilité (c'est pas obligatoire). Désserrer de quelques tours les vis supérieures (vis de 12) du tuyau guide d'Egr (sans les enlever complètement). Utiliser la clef à cliquet munie de rallonges (figure 3) (figure 3) Désserrer de quelques tours la vis de 12 sur l'équerre (figure 4) (figure 4) Dévisser complètement les vis de 14 sur l'arrivée d'échappement. Bouger la vanne en la reculant, et récupérer le joint d'échappement. Utiliser le joint comme gabarit pour découper la tôle inox et obtenir la plaque comme (figure 5). Ne pas hésiter à la faire un peu plus grande sur le dessus, ou à faire une languette, pour la sortir plus aisément si besoin. (Inox de 5/10 mm d'épaisseur maximum pour ne pas avoir de décalage dans les plans de joints au remontage) (figure 5) On passe au remontage : Remettre le joint en place et engager les vis (la longue à droite). Insérer la plaque entre le joint et le tuyau (figure 6) de façon à ce que le joint assure l'étanchéité entre la plaque et la vanne. Amener les vis au contact sans serrer. (figure 6) Resserrer les deux vis d'admission (en haut) à la clef dynamométrique à 2,5 - 2,9 n.m Resserrer les deux vis d'échappement à la clef dynamométrique à 5,2 - 5,9 n.m Resserrer la vis d'équerre. Procéder dans cet ordre pour être sûr d'avoir un bonne étanchéité au niveau admission (c'est là que le turbo met la pression, ce serait dommage de faire une fuite) Au tour de la "wastegate" (doigts de fée exigés) Il faut démonter la Wastegate pour accéder à la vis de réglage qui est derrière (figure 7). Surtout ne pas modifier le réglage de l'écrou peint en jaune sur la photo Elever le clips vu sur la figure 7 (gaffe ! il résiste puis ne demande qu'à sauter ... Ne pas hésiter à placer un sopalin sous le turbo pour ne pas perdre le clips) (figure 7) Pour limiter les dégâts je vous suggère d'emprunter discrètement à madame (pendant qu'elle fait les courses) un crochet de broderie de 2,5. J'ai pas trouvé mieux (figure 8). (figure 8) Maintenant vous dévissez les écrous de 10 sous la wastegate (figure 9) (figure 9) Dégager la biellette qui était tenue par le clips puis retirer un peu la wastegate (attention, c'est quand même un peu fragile : membrane élastique à l'intérieur) Le réglage demande à être fin. On va procéder par étapes. Faire une marque longitudinale au feutre sur la vis de réglage pour repérer la position d'origine Desserrer le contre écrou (clef de 8) puis visser de 1/3 tour la tige filetée (tourner dans le sens des aiguilles d'une montre avec la clef halen de 2,5) (figure 10) (figure 10) Bloquer le contre écrou Remettre la wastegate en place Clipser la biellette Fixer la wastegate Enlever le sopalin Faire un essai sur 4 ou 5 km à régime stabilisé de 2700 tr/mn Si l'Ecu ne met pas en sécurité, on touche plus Sinon 1/3 de tour de plus sur la vis (2/3 tour au total) Essai Si l'Ecu ne met pas en sécurité, on touche plus Sinon 1/3 de tour de plus sur la vis (1 tour au total) Par sécurité je vous engage à ne pas dépasser 1 tour qui est la valeur qui m'a été donnée Ne pas oublier de laisser refroidir entre deux essais parce que chauds les marrons dans le coin Cette modification ne concerne que le moteur de 158 cv mais pas le moteur de 160 cv du modèle 2005. . Avertissement . Cette modification sur votre véhicule entraîne de facto sa non-conformité au type mine homologué par le constructeur. Elle sera donc mise en oeuvre en toute connaissance de cause et sous l'entière responsabilité de celui qui la réalise. La responsabilité du site ne saurait donc être engagée en aucun cas. (c) Jeff.
  4. à par ce qui est dit page 1017 ... Mais ce n'est pas une waste-gate, c'est un poumon comme celui du blocage AR : sans dépression il doit être en position aubes ouvertes au maximum (butée du bas) et avec celle maxi indiquée sur la butée du haut Tu peux ajuster cette longueur et la position aussi du poumon pour gagner de la réaction et du couple : Y61 3.0L long BVA, que je trouvais poussif, d'ou l'idée de monter un boîtier Power-system, matériel reconnu, soit 180 ch/40 mkg sur le papier. A l'usage, le moteur est réellement transformé, les relances sont impressionnantes, c'est simple malgré la boite auto on gagne plus de 4 secondes sur un 0/100 km/h même si un GR n'est pas fait pour ce genre d'exercice, la différence est stupéfiante. Pourtant à l'usage, lors des phases d'accélération, le moulin fume à l'échappement, il y a donc des imbrûlés de mazout, signe que le gavage en fuel est trop important. 2 solutions : Réduire le débit de fuel, le boîtier est réglable mais on ne va pas tirer le meilleur parti de cette optimisation. Augmenter la pression du turbo dans des proportions raisonnables pour tout brûler, c'est bien sûr de cette solution dont on va parler Le préalable afin de ne rien casser est la pose d'un mano de turbo pour ne pas jouer à l'apprenti sorcier. La pression d'origine en crête sur le VDi est de 0.8/0.9 bar, sachant que la pompe d'injection se met en sécurité pour toute pression supérieure à 1.2 b pendant plus de 3 secondes, ce qui est une garantie supplémentaire de ne pas tout casser !! Ce moteur est équipé d'un turbo à géo variable donc le réglage se fait en retardant l'ouverture des ailettes du turbo de façon à augmenter la vitesse des gaz d'échappement. En pratique, il faut raccourcir la tige filetée qui relie la biellette qui commande ces fichues ailettes à la capsule à dépression située sur le turbo de façon à en crête, tangenter ces 1.2 b de sural sans les dépasser plus de 3 secondes !!! J'ai essayé un peu tous les réglages pour cette tige filetée dont la longueur se règle avec une molette freinée par un contre-écrou, il y a 10 filets/cm donc chaque tour de molette vaut 1 mm. Le meilleur compromis que j'ai trouvé est de raccourcir la tige de 2.5mm soit dévisser la molette de 2.5 tours, ceci pour mon moteur (le contrôle avec le mano me semblant indispensable). Ce n'est pas tout, de façon à ce que le turbo démarre plus tôt, il est souhaitable que les ailettes soient plus resserrées au ralenti et de façon générale quand la dépression est maximale, c.à.d. à faible charge. On augmente ainsi le couple à bas régime et c'est bien ce qui nous intéresse. Ce réglage se fait au moyen de la butée sur laquelle vient la biellette de commande des ailettes. Il faut dévisser la butée pour que la biellette monte plus haut au ralenti. C'est un peu difficile niveau accès, il faut une clé à pipe de 8 pour dévisser le contre-écrou. Le bon réglage est que la pression soit de 0.5 b à faible charge, style vous roulez à 120 en 5° le pied ultra léger. Le turbo va ainsi démarrer + fort lors des accélérations car la pression de départ est déjà + élevée, pour se stabiliser à la valeur que vous aurez déterminée par réglage de la tige filetée. Un Y61 ainsi réglé a les mêmes performances qu'un HDJ 100 de poids et d'encombrement comparables... Mon 61 VDI, BVA, est équipé d'un boitier / filtre K&N / réglage "fin" des ailettes du turbo à géo variable depuis 23 000 km. L'ensemble doit sortir dans les 200 ch, cela correspond de toute façon au maximum que peut débiter la pompe Bosch VP 44 en version 4 injecteurs, et si on pousse trop le turbo, le capteur de sural coupe l'injection En fait on gagne surtout dans la plage 1500-3000 tr/min ce qui est le plus intéressant, au delà le turbo est trop petit pour délivrer plus de 1 bar de façon continue. La marque du boîtier aucune importance, l'essentiel est qu'il soit réglable (seuil de déclenchement/quantité sur-injectée) ce qui est le cas du Power-system. Sur le 61 VDI, le turbo n'est pas régulé par une waste-gate mais par les ailettes qui canalisent les gaz d'échappement sur les pales du turbo, à géo variable donc. Il me semble donc aléatoire pour ne pas dire dangereux de bricoler sans mano et ce d'autant que l'on ne peut mettre de rondelle, c'est une tige filetée réglable par une molette, bloquée par un contre-écrou. Cette molette se règle par 1/4 de tour tant l'effet sur la pression de suralimentation est important, non décidément un mano ce n'est pas cher par rapport à un moteur... Pompe VP 44 Voici en quelques lignes, les caractéristiques de la VP 44, elle représente l'aboutissement de cette génération de pompes à injection directe de 1ère génération avant l'arrivée des « Rampe commune ». Le boitier Powersystem intervient entre les deux calculateurs sur le fil de débit en demandant à la pompe d'envoyer plus de gazole que le calculateur "central" ne l'avait prévu, l'autre fil qui va à la pompe sert à l'avance à l'injection, un peu comme sur un distributeur de moteur essence. Il sont noirs tous les 2 et il ne faut pas se tromper lors du branchement car ils sont très chiants à atteindre (pas de connectique constructeur avec le boitier Powersystem) Avec une connectique constructeur (puisqu'apparemment ça existe) le principe est sûrement différent, le boîtier intervenant (à vérifier) au niveau des signaux récupérés par les capteurs en trompant le calculateur central, mais ce système ne permet sans doute pas d'aller au delà du débit prévu par le calculateur car on intervient en amont. C'est la raison pour laquelle je suis favorable à un boîtier dont le débit est réglable car j'ai aussi réglé mon turbo pour éviter les imbrûlés. Par ailleurs, si on trompe le calculateur, il doit en subsister une trace dans la mémoire du calculateur, pas si on intervient en aval, et en cas de sinistre... POMPE d’injection Distributrice VP 44 à Pistons Radiaux Applications La pompe distributrice à pistons radiaux VP 44 a été mise au point par Bosch pour les moteurs diesel rapides, à injection directe, fournissant une puissance maximale de 37 kW par cylindre. Elle se caractérise par une plus grande dynamique pour la régulation des débits et débuts d'injection, ainsi que par une pression maximale de 1600 bars au niveau de l'injecteur. Fonctions Un système d'injection diesel, équipé d'une pompe distributrice à pistons radiaux VP 44, dispose de deux calculateurs pour la régulation électronique diesel : un calculateur moteur et un calculateur pompe. Cette organisation s'impose afin d'éviter, d'une part, la surchauffe de certains composants électroniques et d'autre part, l'influence de signaux parasites qui peuvent être générés au niveau de la pompe d'injection à cause des courants de forte intensité (de l'ordre de 20 A maximum). Le calculateur « pompe » enregistre les signaux émis par les capteurs d'angle de rotation et de température du carburant. Il les exploite pour l'adaptation optimale du point d'injection. Le calculateur moteur traite toutes les autres données spécifiques du moteur et de son environnement, et détectées par des capteurs externes. Comme j'aime bien savoir comment ça marche (et que je suis un peu tatillon sur les bords) je n'ai pas voulu en rester au simple montage du boîtier, mais essayer de tirer le meilleur parti de ce moteur en réglant le turbo, sachant qu'il existe une sécurité constructeur qui coupe l'injection en cas de surpression, le fameux voyant orange "défaut moteur" que certains ont vu s'allumer au tableau de bord. A la demande de l'un d'entre vous, ces réglages avaient fait l'objet de ma première inter sur le forum, c'était il y a plus d'un an. L'association boîtier/réglage du turbo permet de rétablir cette bosse dans la courbe de couple que la gestion d'origine écrête volontairement, en particulier sur les châssis courts boite méca limités à 33 mkg. Je travaille actuellement pour prolonger ce pic de couple plus dans les tours et avoir ainsi plus d'allonge sur la plage 2800-4500 tr/min, ma config actuelle donnant déjà beaucoup de couple en bas (c'est déjà bien). Mais comme la pression de suralimentation chute inexorablement par pression des gaz d'échappement sur les ailettes du turbo au fur et à mesure que le régime s'élève, on doit pouvoir améliorer ça, je vous en reparlerai si ça vous intéresse. Malgré tout aujourd'hui, je cumule plus de 2 x 25 000 km avec cette manip, et pour ma part je n'ai pas d'interrupteur pour couper, mon moteur est donc en "full power" depuis 18 mois. A ce jour, et bien que cela ne représente pas une garantie, je n'ai pas gondolé la culasse, pas arraché de soupape, pas détruit le turbo.(je vidange par précaution tous les 12500 km au lieu des 15000 préconisés) Après tout, si le moulin au final fait 200 ch pour 3.0L , il ne peut pas faire plus par conception de la pompe VP 44 en version 4 injecteurs, il n'y pas lieu de se relever la nuit, maintenant chacun est libre de faire ce qu'il veut en connaissance de cause !! Il est vrai que la pompe VP44 a été modifiée tout au long de la carrière du Y61 3.0L. Les toutes premières versions (qui équipent les modèles 2000/2001 sur nos patrol) avaient un problème de corrosion de ressort interne ; ce qui a causé quelques problèmes de grippage injecteur ou de casse pompe. Une nouvelle version a corrigé cela. Chez d'autres constructeurs, il y a eu un rappel pour ce problème, ce qui ne fut pas le cas chez nini, qui a dû juger l'occurence trop faible. Puis, il y a une mise à jour du module électronique, historiquement point faible de la VP44. Enfin, sur les derniers modèles (2005 (160 cv), plusieurs modifications internes qui permettent notamment l'augmentation de couple. Tout ceci bien évidemment avant l'ère de la « rampe commune » ! Sur les 3lVDi, le capteur de pression turbo ne sert qu'à des fins de diagnostics (seuil haut notamment); son information n'est pas utilisée par l'ECM pour la gestion du turbo. Donc si tu as une dérive fonctionnelle du capteur, tu ne dois pas constater de changement de comportement de ton véhicule, mais tu atteindras plus fréquemment la zone de diagnostic. Mais tu devrais avoir une coupure d'injection !
  5. sans vouloir contredir ou vexé personne,je me bornr a penser qu on reste vraiment plus fiable avec des couples conique et des reduction de boite,pour le trial c es suffisant,non?? pkoi voulez vous booster a ce point vos moteur,quelle en es votre utilisation?? encor une foie c es juste une question ne me
  6. Dystrophie de Bekker, 20 ou 30 bornes en voiture, ça va, plus c'est rapidement insupportable…🙄
  7. 0 point
    Je croyais que c'était le siège chauffant 😅 Bon ca va j'ai mon trol que depuis 2jours 😜

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