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Posté(e) :

Calais, beaucoup de choses cachées, une information tronquée, des gens excédés pour qui la vie est devenue impossible , et si l'affaire dérapait, une guerre civile dans le nord?? Je vous livre tel quel le compte rendu d'un CRS engagé dans le combat journalier, à vous de vous en faire une idée.

 

Ce reportage "journal d'un CRS" que vous ne verrez nulle part ailleurs car interdit !

PAROLES DE FLIC

Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre sol. Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de « La Jungle » à Calais. Comme nous le prévoyons, attendez-vous à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation. Contre vous.

CRS :

« Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas/jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’il aient tous, je dis bien TOUS, des Smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant) les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé… »

 

La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires… De jour comme de nuit. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous sommes là et las.

En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les Pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents… Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de priorité ni le code de la route… Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste. En d’autres endroits, nous jouons les « cônes de Lübeck », ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune. À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque !

Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé, des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense. Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas !

Les réparations elles aussi coûtent une fortune.

Levés à 04:30 du matin, nous arrivons à l’heure du repas.

13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre point. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner.

15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service. La nuit prochaine, nous travaillons. Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour terminer (en théorie) à 07:00 du matin…

Arrive l’heure de reprendre le service. Les mines sont fatiguées. Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit de plus en plus sur les visages, comme une écriture. Au rassemblement, la température de la journée est donnée : quelques grenades lancées, beaucoup d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée. En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des véhicules-recueil est active : « sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact. Ils lancent des barres de fer et des pierres. Un de chez nous est touché légèrement. Avons utilisé une dizaine de grenades MP7 [1]. » […] « 2 poids-lourds accidentés à cause de blocs de béton sur les voies rapides. Les avons dégagés. Demande renfort de 2 véhicules ». Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté. Il lance des balles de caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très réglementée et contraignante. Il nous est rappelé également que dans le cadre de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo !

Anarchistes des groupes NO BORDER

Les « NO BORDER » [2] incitent les migrants à nous tendre des embuscades (bien qu’ils n’aient pas besoin de conseil pour le faire) pour prendre des photos et des vidéos pour dénoncer des “failles” dans notre manière d’intervenir ou des images pour nous mettre en cause. Mais surtout, ils espèrent faire un maximum de blessés dans nos rangs.

Le chargement de l’armement collectif se fait au cul du camion-armurerie. Des blagounettes sont lancées ici et là pour faire oublier que nous serions mieux dans un lit bien chaud, dans nos foyers et non sous ce crachin permanent qui nous recouvre petit à petit… Femmes et enfants ou parents, pour beaucoup, sont la pensée du moment, mais seront relégués au second plan dans une minute ou deux. Les rôles de chacun dans le VR [3] sont distribués. « Qui est habilité LBD [4] ? » – « Moi » répond Julien. Comme les autres, je prends un LBD. Moi, je dis : « Perso, je prends en compte le lanceur Cougar [5] ». Il lance des grenades au coup par coup mais avec de l’habileté, il se manie très bien et se recharge vite. Son bruit détonnant ressemble à celui d’un mortier. – « OK » lance le chef de bord. « Qui veut des grenades à main ? » Elles sont réparties dans les gilets tactiques (qui n’ont de tactique que le nom) censés nous protéger de coups éventuels, absorber des chocs, mais aussi permettre le transport de matériel supplémentaire. La répartition des grenades et conteneurs lacrymo faite, je m’emploie à mettre le gilet de grenades pour le lanceur Cougar. Il est lourd. Il contient des grenades avec un dispositif de retardement [6] pour les lancer à 50 mètres, d’autres à 100 mètres. La fermeture est cassée. Sur les ondes, on apprend que les effectifs que nous allons relever sont pris à partie en de nombreux endroits. Il va falloir faire vite.Les jambières sont mises, les casques vont se visser sur nos têtes rapidement… Le LBD et le Cougar sont alimentés d’une cartouche chacun, prêts à être utilisés au besoin. À la radio, la station directrice ne sait plus où donner de la tête. Il faut des renforts partout, sur presque tous les points. Ordre nous est donné, bien que nous soyons en dynamique cette nuit, de renforcer ponctuellement un point situé juste derrière le camp des migrants : « la Jungle ».

00:15 ― À notre arrivée, l’atmosphère est tendue. Le bleu des gyrophares inonde la nuit et se reflète sur nos visages à moitié protégés. Les consignes sont prises. Nous voilà seuls. Deux VR montés de cinq hommes chacun, casque sur la tête. À nos côtés, une vingtaine de personnes viennent à notre rencontre. Certains sont en treillis camouflé, bonnet ou cagoule noire. Ce sont les hommes et les femmes du collectif « Les Calaisiens en Colère » [7]. Ils tentent de protéger leurs biens, mais donnent aussi de bonnes informations sur les événements passés ou à venir, sans avoir peur, le cas échéant, de combattre aux côtés des Forces de l’Ordre La semaine avant notre arrivée, « Les Calaisiens en Colère » ont apporté une aide considérable aux collègues présents. Assaillis de tous côtés, les policiers ont utilisé toutes leurs grenades et se sont retrouvés face à des migrants armés de couteaux et barres de fer. N’écoutant que leur courage, « Les Calaisiens en Colère » sont venus se battre au coude à coude aux côtés des Forces de l’Ordre qui, bien qu’ayant informé la hiérarchie qu’elles n’avaient plus de moyens intermédiaires pour contenir les assauts répétés, ont reçu l’ordre de rester sur place.

Ça bouge sur un petit chemin plongé dans le noir complet, longeant la voie rapide. Nous intervenons pour dégager des amas de barres de fer, de blocs de béton et je ne sais encore quels autres projectiles de fortune entassés et abandonnés par un groupe de migrants qui voulaient les lancer sur les voies de circulation. 01:20 ― La situation est calme pour nous. Les pompiers interviennent dans le camp, escortés par une de nos patrouilles (5 hommes) pour secourir un individu blessé par arme blanche.

02:00 ― Au loin, des silhouettes traversent la petite route sur laquelle nous sommes implantés en direction d’habitations civiles. Ici et là, sur les ondes radio, on entend signaler des vagues de migrants de 40 ou 50 individus.

02:30 ― Les riverains et amis du Collectif quittent les lieux. Nous sommes plongés dans le calme de la nuit, avec un éclairage faible.

02:45 ― Sur les ondes et partout alentours, on entend hurler que de nombreux camions sont arrêtés, assaillis par des vagues de 50 migrants, dont certains accidentés sur la voie rapide. À pied en courant, nous venons prêter main forte à l’effectif originaire de l’information ; dessous, une multitude de véhicules immobilisés, presque au contact les uns des autres qui, miraculeusement, ne se sont pas percutés les uns les autres.

Pareil à des gremlins, de « petits démons noirs » surgissent de toutes parts des fourrés Ils prennent d’assaut les cabines de poids lourds, armés de barres de fer.

Déchaînement de violence

La Sécurité retirée, du haut du pont, quatre salves de 3 Cougars (soit 12 grenades) arrivent à mettre en fuite les assaillants qui se trouvent à 80 mètres. Nous arrivons, malgré l’excitation collective, à ne toucher aucun camion avec nos projectiles ! Une fois les assaillants repoussés par des effectifs venus en renfort sur la voie rapide, le déblai des gravas peut commencer.

À notre tour, nous arrivons à bord du véhicule venu nous récupérer sur ce qui ressemble à une « zone de guerre », zigzaguant entre les véhicules arrêtés et des débris de toutes sortes. Sur les ondes, ordre nous est donné de remonter sur le même axe pour prêter main forte aux collègues qui se trouvent en niveau bas de grenades, à quelque 300 mètres plus haut. À leur hauteur, nous sautons de notre véhicule encore en marche car nous constatons qu’un effectif se trouve contre la rambarde de sécurité. Des projectiles arrivent à les atteindre.

Les objets sont jetés depuis une zone boisée sans que l’on puisse distinguer les individus… Seuls des cris venant des fourrés dans des dialectes inconnus. Parfois un NIQUE LA POLICE ou FUCK THE POLICE se mêle aux ALLAH AKHBAR ! et à leur slogan favori : VIVE DAESH !

M. Bernard Cazeneuve s’adressant à des réfugiés… « syriens » peut-être (?) David, l’un de ceux que nous sommes venus appuyer par le tir, braque son faisceau lumineux et me demande d’envoyer une MP7 (lacrymo) dans la direction d’où il pense que partent les lancers. Avec 3 tirs de Cougar, j’arrive enfin à saturer l’endroit et à mettre en fuite le petit groupe de perturbateurs. Le vent nous est favorable. On en profite, mais les effets psychologiques ne sont pas négligeables non plus. Juste au dessus, 300 mètres plus loin, un groupe de 20 à 30 individus virulents, armés de barres de fer, prennent le temps de jeter des panneaux de signalisation, des poteaux métalliques arrachés plus loin et des poubelles par dizaines au milieu de la voie rapide. Nous progressons avec un effectif de la section 3 : 2 Cougars et 2 agents munis de conteneurs lacrymo. La progression se fait sous la protection de tirs Cougar. Les migrants ripostent avec des objets métalliques qui s’écrasent à nos pieds en formant des étincelles et rajoutant des décibels au vacarme environnant. Certains sont presque au contact. Visage barbu pour les uns, imberbe pour les autres, âge moyen de 20 à 30 ans. Robustes. Regards pleins de haine. Des yeux à la flamme meurtrière nous font face.

Il faut prendre cette partie haute. Mais l’endroit d’où viennent les pierres nous est caché par la végétation qui les protège. Avec le Cougar, le tir devient tendu pour tenter de pénétrer l’épaisse végétation. Effet immédiat : ça les fait reculer et descendre jusqu’à l’entrée du camp. Pendant que je m’occupe de cette partie, les autres, derrière moi, protègent mes arrières et mon latéral.

La place devenue nôtre. Je me mets en protection avec le Cougar, le temps que les collègues sortent les nombreux débris accumulés. En bas, une centaine d’individus (pour beaucoup masqués) vocifèrent, tendent les poings en notre direction et des barres de fer de plus de 1,50 m. D’autres se sont regroupés sous le pont, juste en-dessous de nous. Une bonne cinquantaine, qui attendent en guet-apens et ramassent de nombreux projectiles. Un petit groupe de 5 individus rejoint les autres en courant, leur tendent les mains et se séparent à droite et à gauche du camp.

L’évacuation des gravats n’étant pas terminée, je reste sur le point fort, ce qui semble leur poser un problème quand tout à coup, venant de droite à l’entrée du camp, des projectiles sont lancés vers nous pendant que d’autres assaillants tentent de se rapprocher. Une vraie stratégie de guérilla. J’effectue un premier tir en cloche. Mais la MP7 avec un DPR 100 mètres (dispositif de retardement) – il ne me reste plus que ça dans le gilet – tombe juste derrière eux. Le vent ne m’étant pas favorable, je décide de tirer en direction des pieds à 10 mètres devant ceux qui arrivent au contact. Le tir parfaitement exécuté, repousse les assaillants. Rechargé rapidement, j’utilise une seconde fois le Cougar contre le groupe dont les projectiles arrivent jusqu’à nous. Je réussis à l’aide du rebond sur un baraquement visé, à atteindre ma cible avant que les plots de lacrymo ne soient expulsés hors du corps de la grenade. Un des individus tente de la saisir. Trop tard. Boum !

Au passage, protégeant un groupe de chez nous venu en soutien sous le pont pour couper l’assaut des migrants en leur direction, je tire une grenade qui arrive droit sur un homme en train de jeter des pierres sur l’effectif d’en bas, le percutant vers le visage. Le carton rouge étant brandi, ce dernier regagne les vestiaires sans demander son reste.

La situation est maîtrisée sur le point maintenant tenu par d’autres effectifs de chez nous.

Nous sommes requis par notre station directrice qui nous envoie en renfort d’un équipage de l’autre côté du camp, endroit où nous avons commencé à grenader en début de soirée. Sur les lieux, nous effectuons encore des tirs sporadiques de MP7 sur des migrants qui nous arrivent dessus en courant et en hurlant.

06:50 ― La nuit se termine. Nous sommes relevés. Esprit calme. Une nuit comme on aimerait passer plus souvent… (!)

La vacation suivante se révélera être beaucoup moins valorisante. Le véhicule est posé sur un rond-point donnant vue sur 2 entrées du port, avec 2 effectifs au sol de 19:30 à 02:00 du matin. Un vent d’au moins 120 km/h et une pluie battante n’épargnent même pas le dessous du pont juste à côté. En tout et pour tout, un seul migrant est venu tenter sa chance sur notre point pendant que de l’autre côté de la ville, des grenades tombent à foison.

J’en passe… C’est trop long.

Je suis fatigué.

[1] Type de lance-grenades utilisé par les Forces de l’Ordre.

[2] Réseaux anarcho-libertaires transnationaux investis dans les luttes pour la liberté de circulation et l’abolition des frontières, contre les politiques de contrôle de l’immigration. Apparition : 1999.

[3] Véhicules-Recueil.

[4] Lanceur de Balles de Défense (arme sublétale ou incapacitante, plus connue sous le nom de « Flash-Ball », marque commercialisée par Verney-Carron).

[5] Lance-grenade simple action de cal. 56 mm / portée : 50, 100 ou 200 mètres / poids : 3,7 kg.

(6] Le DPR (Dispositif de Propulsion à Retard, réglé en fonction de la longueur du lancement de la grenade).

Featured Replies

Posté(e) :

"voila une vidéo censurée par le gouvernement ....avec la police (qui sous les ordres du préfet) a du reculer et laisser les migrants dégrader le port et l'envahir..."

 

C'est terrible ! Comment les retenir le jour où ils décideront de tuer ?

Posté(e) :
Ah ouais ? ! Pauvre France ! Moi j'appelle ça un état de travers.

Bientôt le français va se faire sortir de sa maison à coups de pieds dans le cul et de bâtons sur le crâne (ou l'inverse) et il y en aura pour trouver ça normal !

 

Tiens, regarde le bien ton état de droit :2 (12):https://www.facebook.com/1527169097567078/videos/1687143768236276/

 

Que l'Etat de droit aille de travers, on ne peut qu'être d'accord, en particulier quand on voit se qui se passe dans le secteur de Calais.

Mais relis plus haut pourquoi je parle d'Etat de droit, c'est pour expliquer que l'ensemble des mesures qu'il faudrait prendre dans cette situation relève d'un ensemble de lois, de la police, du judiciaire, ce qui forme l'Etat de droit (que l'on soit d'accord avec ces lois ou pas). ça n'a rien à voir avec le fait que nous soyons dans un état laique (notion par ailleurs bien expliquer si dessus par Aerazur ou Laurent44)

 

On apprend donc bien à pensé et surtout pensé par soit même avant d'écrire.

Je te demandais quel était t'on avis si seulement t'on esprit limiter et borné te permet d'en avoir un?

 

 

limité ? ça c'est le Roquefort qui dit au camembert tu pues ! 2%20%285%29.gif

Difficile de répondre à quoi que se soit dans le gloubi-boulga qui te sert de prose !

 

[Edit Modération]: ce genre de remarque' date=' purement méchante, n'est pas acceptable. Je ne l'efface pas, vu que l'intéressé a droit de réponse au travers du fait que l'écrit est public. Merci de relire les règles d'engagement dans la partie débats. [/color']

Mais je suppose que tu fais référence à ta question sur le lien entre droit d'asile et naturalisation (et non pas nationalisation comme tu l'as écrit 2%20%2814%29.gif) : du fait de ne pas avoir de CNI, il y a forcément moins de contrôles d'identité dans la rue, voilà pourquoi j'ai cité cet exemple quand certains disaient que les papiers étaient "automatiques" en UK. Même si le fichier national que tu cites existes, il n'empêche pas le travail au black, mais seulement les clandestins d'avoir un travail déclaré. Quant aux procédures de naturalisation, elles sont peut être plus "faciles" que chez nous, je n'en sais rien.

Modifié par yvele88

Posté(e) :
voila ce que l'on pense de nous en Allemagne

 

 

 

sympa ce messieur et sacré fout rire:2 (15):

Posté(e) :

ça arrive Pierre :2 (26):

 

Mais comme disait un grand ancien :

 

lincoln_internet_quote.jpg

 

:2 (15):

Posté(e) :
Attention, ces chers migrants, ne veulent pas rester en France; Seul un nombre restreint de connards Français (qui y trouvent surement un intérêt) le souhaitent....

Juste passer en angleterre ou la, il sont accueillis à bras ouvert et papiers direct en règle! Ce qui nous fous dans la merde, c'est la politique d'immigration de ce pays...

La solution, faire 2/3 ferry et envoyé tout ces gentils migrant chez les roastbeef (j'ai pas dis couler les boat, hein) et qu'ils ce d'emmerde avec!!!.

 

Et à ton avis, une fois qu'ils ont des papiers anglais donc de l'UE tu penses qu'ils restent tous en Angleterre ???

 

Pourquoi croyez-vous qu'ils veulent poser un pied en GB si ce n'est pour avoir ensuite "librement" le droit de circuler dans toute l'UE ????

Posté(e) :
Que l'Etat de droit aille de travers, on ne peut qu'être d'accord, en particulier quand on voit se qui se passe dans le secteur de Calais.

Mais relis plus haut pourquoi je parle d'Etat de droit, c'est pour expliquer que l'ensemble des mesures qu'il faudrait prendre dans cette situation relève d'un ensemble de lois, de la police, du judiciaire, ce qui forme l'Etat de droit (que l'on soit d'accord avec ces lois ou pas). ça n'a rien à voir avec le fait que nous soyons dans un état laique (notion par ailleurs bien expliquer si dessus par Aerazur ou Laurent44)

 

 

 

limité ? ça c'est le Roquefort qui dit au camembert tu pues ! 2%20%285%29.gif

Difficile de répondre à quoi que se soit dans le gloubi-boulga qui te sert de prose !

 

[Edit Modération]: ce genre de remarque, purement méchante, n'est pas acceptable. Je ne l'efface pas, vu que l'intéressé a droit de réponse au travers du fait que l'écrit est public. Merci de relire les règles d'engagement dans la partie débats.

Mais je suppose que tu fais référence à ta question sur le lien entre droit d'asile et naturalisation (et non pas nationalisation comme tu l'as écrit 2%20%2814%29.gif) : du fait de ne pas avoir de CNI, il y a forcément moins de contrôles d'identité dans la rue, voilà pourquoi j'ai cité cet exemple quand certains disaient que les papiers étaient "automatiques" en UK. Même si le fichier national que tu cites existes, il n'empêche pas le travail au black, mais seulement les clandestins d'avoir un travail déclaré. Quant aux procédures de naturalisation, elles sont peut être plus "faciles" que chez nous, je n'en sais rien.

 

Un grand merci Yvele88! Emporté par ma ferveur je ne prends effectivement pas le temps de me relire.

 

Comme l’ayant énoncé ci-dessus j’ai bel et bien appris à penser avant d’apprendre à écrire !

Toute fois n’est crainte j’apprends de jour en jour ! <o:p></o

D’autre part l’orthographe (et par extension la grammaire) étant la science des ânes je comptais bien sur un bourricot en ton genre pour me corriger. Désolé je me rétracte de cette dernière phrase ayant bien trop de respect pour les ânes.

Ceci étant je soulignerais que je ne fais aucune prose et la poésie n’a aucune place dans ce débat qui me touche bien plus que le vosgien écolo bobo que tu sembles être.

Après tout il y’a peu- être un espoir que tu te réveils le jour ou de la population de migrants ou «de récents naturalisés » viendront couper les arbres de tes bois pour 600 euros par mois ! A moins qu’au final cela ne fasse que t’arranger comme la majorité de ces braves pro-migrants.

C’est attristant que tu ne comprennes toujours pas mon message. Et comme l’on faits d’autres bien avant moi je vais te laisser dans ton ignorance. Et je passe l’éponge !

J’ai déjà à peine le temps de me relire quand je viens sur PGR ce n’est pas pour m’occuper en plus de ton éducation.

Ps : si le cœur t’en dit je te laisse ajouter la ponctuation manquante.

Modifié par Grampa'trol

Posté(e) :

je ne dirais qu une seule chose , c est le début de la fin !

Posté(e) :
  • Modérateur

Manifestation anti-migrants.

Arrestation du Général Piquemal, ex-patron de la Légion étrangère.

Mis en cause pour avoir eu « le rôle principal » dans cette manifestation anti-migrants, Christian Piquemal, a indiqué le parquet, passera en comparution immédiate aujourd'hui au tribunal de Boulogne-sur-Mer, aux côtés de quatre manifestants porteurs « d’armes dangereuses », de type taser, poing américain et cutter.

Le général en retraite est poursuivi pour « participation à un attroupement qui ne s'est pas dissout après sommation »

 

:2 (12):FRANCE - Manifestation anti-migrants à Calais : le général Piquemal en comparution immédiate lundi - France 24

 

 

 

 

 

 

Pétition de soutien au général :2 (12):https://secure.avaaz.org/fr/petition/President_de_la_republique_Liberation_immediate_du_General_Piquemal/?pv=1

Posté(e) :

Je ne signerai pas cette pétition : tous ceux, peu importe leur bord et leur pedigree, qui viennent mettre de l'huile sur le feu dans cette situation déjà inextricable méritent d'être sanctionnés.

Posté(e) :

J'espère que du coup la justice sera à même de coxer, juger et incarcérer les no-borders qui recourent à des actions violentes, en parfait désaccord avec la législation française, et les incarcérer le temps nécessaire. Idem pour les types qui braquent des camions, arrêtent des automobilistes, dégradent des statues, investissent des ports et prennent des ferry d'assaut. Ce qui à mon humble sens est quand même amplement plus grave que de « participer à un attroupement qui ne s'est pas dissout après sommation » (si l'on s'en tient aux faits).

Posté(e) :

Je l'espère tout comme toi.

Mais il faut rajouter que certains participants à cette dernière manifestation n'étaient pas venu les mains vides, et que cela aurait aussi pu dégénérer.

Posté(e) :
Je l'espère tout comme toi.

Mais il faut rajouter que certains participants à cette dernière manifestation n'étaient pas venu les mains vides, et que cela aurait aussi pu dégénérer.

 

Cela aurait pu, mais cela n'a pas. A Sivens, quand c'était les NPA qui molotovisaient les mobiles, on était au delà de la présomption. C'est pas pour çà qu'ils ont été inquiétés. Quoi qu'il en soit, on parle là d'un général, pas d'éventuels décérébrés autour.

Posté(e) :
  • Modérateur
Quoi qu'il en soit, on parle là d'un général, pas d'éventuels décérébrés autour.

 

Général qui se savait être dans l'illégalité puisque la manifestation avait été interdite par la préfecture du Nord,

mais qui a décidé de faire cette action malgré tout car au dessus de l'illégalité elle était légitime et ce qu'il a fait est parfaitement respectable.

 

Nous sommes dans un système d'invasion acceptée et facilitée par les autorités politiques européennes au détriment des populations des pays envahis par des migrants sans autorisation, c'est là qu'est le vrai problème et c'est sur ce point que le Général voulait alerter.

Notre pays est assez à la dérive et a assez de chômeurs pour n'avoir besoin d'être encore plus fragilisé par ce flux incessant d'envahisseurs.

 

La vérité est-elle si difficile à entendre ?

Posté(e) :

Si chacun s'arroge le droit de faire ce qu'il juge "légitime" en allant au-delà de ce qu’autorise la loi, où va-t-on ? Cela s'appelle l'anarchie.

Ce n'est pas parce que notre système est loin d'être parfait qu'il faut lui en substituer un autre bien pire.

Un général devrait savoir cela, c'est la base de l'action d'un militaire de respecter la loi, c'est ce pour quoi il a sans doute toujours combattu. Même si aujourd'hui il estime la France en danger, il y a d'autres moyens d'action que de se raccrocher à un mouvement comme Pediga.

Quant aux envahisseurs, je ne qualifierai pas avec ce terme des gens qui n'espèrent qu'une chose : partir d'ici (ce qui n'enlève rien à la gravité des problèmes qu'ils posent à Calais).

Posté(e) :
  • Modérateur

Quant aux envahisseurs, je ne qualifierai pas avec ce terme des gens qui n'espèrent qu'une chose : partir d'ici (ce qui n'enlève rien à la gravité des problèmes qu'ils posent à Calais).

 

Puisque tu parles de légalité et que tu t'insurges contre l'illégalité, sachant qu'il n'y a pas trente-six façons légales d'aller résider dans un pays,

comment les qualifierais-tu ?

Posté(e) :

Pour moi ce sont soit des réfugiés, soit des immigrés clandestins, suivant d'où ils viennent.

Posté(e) :
  • Modérateur

Un général devrait savoir cela, c'est la base de l'action d'un militaire de respecter la loi, c'est ce pour quoi il a sans doute toujours combattu. Même si aujourd'hui il estime la France en danger, il y a d'autres moyens d'action que de se raccrocher à un mouvement comme Pediga.

 

Précision du général quant à Pegida :2 (12):https://vid.me/s2Nt

 

 

:2 (12):Le général Piquemal sort du silence - Le Point

 

Extrait:

 

Le général se défend également de tout racisme : « J'ai commandé la Légion étrangère pendant cinq ans, martèle-t-il. Il y a 140 nationalités dedans, donc s'il y a bien quelqu'un à qui on ne peut pas reprocher d'être un raciste, c'est moi. »

Jugé le 12 mai prochain, l'ancien militaire entend bien rétablir « la réalité » : « On a été au même endroit que Pegida à ce moment-là, c'est une rencontre qui, pour moi, est fortuite et qui ne correspondait absolument pas à l'intention que nous avions. »

 

Je l'ai entendu sur radio classique ce matin, il n'exprimait aucun regret d'avoir participé à cette manifestation, juste que des personnes dont il n'est pas solidaire et auxquels il refuse d'être assimilé l'aient pourri.

 

Alors, maintenant que les choses sont claires et qu'il y a eut cette mise au point, merci de ne plus faire l'amalgame,

et de bien vouloir reconsidérer son action pour ce qu'elle était, et je me répète, légitime pour la France.

Posté(e) :

La réalité est on ne peut plus claire! 66% des français sont contre une islamisation de leur pays.

Ceci étant, une nation se compose et évolue avec différents flux d'imigration. Mais c'est au peuple français de choisir comment la nation sera composé demain. Et là c'est sans apel avec deux français sur trois je pense que les choses ne peuvent être plus clair! NON à l'islame!!!!

Et si le gouvernement ne l'entend toujours pas il ne faudra pas s'étonner de voir des mouvement comme le PEGIDA prendre de l'empleur.

Comme la dit Piquemal et bien d'autre dirigeant militaire français, nous allons droit vers une guerre civil.

 

D'autre part n'oublions pas que la légion étrangère, dont les soldats par définition peuvent être de nationalité étrangère, peuvent devenir Français, non pas par le sang reçu mais par le sang versé. Alors comprenez bien l'éxaspération de ce commandant de troupe d'élite qu'est le générale Piquemal face à ces "sous merdes irrespectueuses de migrants et réfugiés" alors qu'il a vu des légionaires dont certains étrangers tombés pour la france ....

Posté(e) :
  • Auteur

Communiqué du Général Antoine MARTINEZ Le 09.02.2016

 

 

Devant l'invasion migratoire planifiée que subit l'Europe depuis le « printemps

arabe », devenue massive depuis plusieurs mois, des citoyens européens

commencent à réagir et à s'opposer aux tenants de l'idéologie multiculturaliste

que de nombreux dirigeants veulent imposer aux peuples européens.

Cette réaction traduit la prise de conscience des européens patriotes de toutes

tendances, attachés à leur civilisation, à leur culture façonnée par le

christianisme, à leurs traditions et modes de vie, du danger qui menace l'Europe

face à cette intrusion incontrôlée et massive sur nos territoires de populations

dont la majorité ne peut pas être considérée comme réfugiée et doit être renvoyée

car motivée par des raisons économiques. Par ailleurs, la majorité de ces migrants

est composée d'hommes jeunes dont certains infiltrés par l’État islamique, les attentats de Paris du 13 novembre le démontrent clairement. Enfin, à quelques rares exceptions, ces populations sont de culture modelée par l'islam dont on voit bien qu'il est d'essence violent et donc incompatible avec nos démocraties.

Alors, ces patriotes européens ont voulu se manifester le 6 février sur l'ensemble du territoire européen et, pour la France, quatre manifestations étaient programmées à Saint-Brieuc, Calais, Bordeaux et Montpellier.

Un meeting au cours duquel je suis intervenu était organisé à Rungis, près de Paris, le 7 février.

A Calais, cette manifestation était interdite par le ministre de l'Intérieur pour des raisons fallacieuses et de simple impuissance devant des événements qui dépassent totalement le gouvernement incapable de faire régner la légalité sur notre territoire. Le général PIQUEMAL le savait. Il a toutefois considéré que l'intérêt supérieur des peuples européens, et particulièrement du peuple français et de cette France charnelle qui nous unit, lui commandait de braver cette interdiction. Je salue son courage et appelle les Français à lui manifester maintenant leur soutien et leur solidarité.

L'arrestation de ce serviteur de l’État et de la Nation, comme le sont tous ceux qui servent ou qui ont servi sous l'uniforme, constitue une manœuvre d'intimidation d'un gouvernement aux abois qui tente de bâillonner la liberté d'expression de patriotes qui ont une vision de la France et de la Nation française dont ceux qui nous gouvernent sont incapables, leur seule préoccupation étant de gagner des élections. De plus, ils n'ont pas conscience que leur réaction irréfléchie favorise la radicalisation des esprits.

Cette manœuvre d'intimidation s'inscrit dans une démarche totalitaire que le Chef d’État-major des Armées a pu lui-même relever lors de sa dernière audition au Sénat lorsqu'un sénateur lui a demandé de faire taire certains militaires en retraite. Il en est de même lorsqu'on reçoit d'un autre élu du peuple un message assassin qui se termine par « avec le regret que la France ait pu vous compter parmi ses généraux » Il faut qu'ils sachent qu'un général n'est jamais en retraite, même s'il n'est plus en activité, car il continue de servir la France d'une autre façon, même s'il est évident qu'il prend parfois des risques. Mais comme l'a dit le poète « un général ne se rend jamais, même à l'évidence ». Seule compte la France. Nous sommes les sentinelles et les gardiens de la mémoire et de l'histoire de la Nation que nous avons le devoir de défendre et de transmettre. Et si nos camarades d'active sont soumis au devoir de réserve, et c'est bien compréhensible, ceux qui ne le sont plus ont un devoir d'expression, comme tout citoyen, et même plus en raison de leurs expériences diverses au service de la France et de son peuple.

Alors, face à ces provocations grossières d'un gouvernement nerveux et contesté, seulement capable d'intimider les vrais patriotes, mais incapable, par manque de courage politique, de faire appliquer la loi sur l'ensemble du territoire, il nous faut rester calmes. Mais nous devons également être déterminés et résister pour redonner leur fierté aux Français au lieu de les maintenir dans la haine de soi injustifiée afin de leur rendre l'espoir pour redresser cette France que nous aimons tous. Nos gouvernants qui confondent la France avec la République la guident vers le chaos. Ils ont oublié que l'essence du politique c'est d'assurer la sécurité à l'extérieur et la concorde à l'intérieur. Ils devraient savoir qu'ils ne sont que les fondés de pouvoir d'un souverain qui s'appelle le peuple. Et en démocratie le peuple est souverain. Alors, qu'on lui donne la parole.

Ensemble pour notre patrie charnelle. Vive la France éternelle.

Général Antoine MARTINEZ

Posté(e) :

la gestion de cette crise migratoire est calamiteuse et surtout dangereuse pour l'équilibre du pays. pourtant compte tenu de notre histoire avec la Syrie ( il faut lire cette histoire ) nous avons un devoir, mais un devoir maitrisé et humain. En France il y a 36.000 communes si chacune d'elle accueillait une famille de réfugiés il n'y aurait aucun problème d'intégration ou de ghétoïsation. Bien sûr il faut fermer et interdire le passage des " migrants économiques" aux frontières françaises, nous n'avons plus les moyens économiques de les intégrer dans notre pays. La situation catastrophique des SDF et des familles pauperisées par ce gouvernement, décidément lamentable et d'une incurie totale, est prioritaire.

comment va se terminer ce drame humain ?

Berg69

  • 4 semaines plus tard...
Posté(e) :
la gestion de cette crise migratoire est calamiteuse et surtout dangereuse pour l'équilibre du pays. pourtant compte tenu de notre histoire avec la Syrie ( il faut lire cette histoire ) nous avons un devoir, mais un devoir maitrisé et humain. En France il y a 36.000 communes si chacune d'elle accueillait une famille de réfugiés il n'y aurait aucun problème d'intégration ou de ghétoïsation. Bien sûr il faut fermer et interdire le passage des " migrants économiques" aux frontières françaises, nous n'avons plus les moyens économiques de les intégrer dans notre pays. La situation catastrophique des SDF et des familles pauperisées par ce gouvernement, décidément lamentable et d'une incurie totale, est prioritaire.

comment va se terminer ce drame humain ?

Berg69

 

En effet nous avons eu un rôle de 1920 à1946 lorsque nous éions mandataire mais de 1946 jusqu'au rapel de l'ambassadeur francais en syrie les relations ont toujours été plus que houleuse. Se soldant par l'expulsion de l'embasadeur de syrie en france en 2012. La SDN il y'a bientôt 100 ans a décrété que la syrie ex territoire de l'empire Otoman était en bonne direction pour devenir un état indépendant , ca fait presque 70 ans que l'on est plus mandataire et on trouve encore le moyen de se résponsabilisé de ce qu'elle est devenue!!! D'autre part ce n'est pas notre rôle d'absorber la misére du monde. Car si les 36000 communes doivent acceuillir chacune une famille de migrant il n'y aurait aucune raison pour qu'on n'ajoute pas à la charge des municipalités une famille malienne, soudanaise, ethiopienne, Indienne, surinamienne...ect Sans compter les réfugier climatique qui on encore plus de raisons de nous demander asile.

Le royaume unis veux sortir de l'europe, ces chère migrants qui voulaient demander asile en angleterre changent désormais et demande asile en france.... Que leurs premier choix soit exaucer et que les mignrants soit le parachute doré de la GB.

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